chap.3 ~ la panther et les calibres 9

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Je regarda mon téléphone et il m'annoncea qu'il était 18h. Les personnes travaillant à Boattex commençais à partirs les uns après les autres, tout comme Adèle et David. Je le regarda de nouveau, et cette fois, il y était inscrit 20h17. J'éteignis mon ordinateur et abandonna mon travail malgré les trois piles de dossiers qui me restés. Un baillement s'échappa de ma bouche en passant la porte de sortie. Mon patron travaillé encore. Je m'étira et regarda le ciel. Quelques nuages étaient présents mais la pluie n'allé pas montrer le bout de son nez cette nuit. Parfait. Je partie chez moi pour me changer, car la soirée, pour moi, ne fait que commencer.

J'enfilla mes bas de dentelle noire, ma jupe noire, mon haut en cuir avec en bas de celui-ci, une bande de dentelle noir pour que l'on puisse apercevoir mon tatouage. Je mets mes gants de dentelles toujours noirs et m'attache les cheveux en queue de cheval haute. Pour finir j'accroche mon masque de dentelle sur mon visage pour que personne ne me reconnaisse puis je prend mes poings américains à lames que je positionne au niveau de mes cuisse pour avoir une prise facile.
Je sors enfin enfin de chez moi par le toit pour ne croiser personne, et enfin arrivée en haut, je regarde la ville qui allume ses lumière et je me redis une fois de plus dans ma tête cette phrase:< maintenant, Louise est morte, la panther revis, à toi la ville de la nuit.>

Je suis la panther.

Ce soir je ne me douter pas que j'allais faire le plus grand combat de ma vie.

Je m'élanca et couru sur les toits à la recherche de proies ou de futurs abonnés. Quand tout à coup, je vis 9 personnes sauter en faisant quelques acrobaties. Je me randis a leur poursuite. Quand enfin je réussi à les rattraper, je me fis plus discrète que jamais, ils parlés entre eux. Je pouvais apercevoir qu'ils porter tous une veste en cuir sans manche, une veste de sweat en dessous sans manche aussi, avec un jean noir et des rangers cloutées. Ils avait tous la capuche de leur veste de sweat sur leur tête et ils portés tous un foulard avec une bouche de squelette qui cache les trois quart de leur visage appart les yeux. Leurs vestes de sweat et de cuir étant ouverte, on peut alors apercevoir leur pectoraux et leurs abdominaux parfaitement dessinés. Ils n'avaient pas le tatouage de la permission. C'était des antis-permis mais pas n'importe lesquels. Les calibres 9. Ce sont les plus coriaces antis-permis de tout les temps. Leur foulard n'avais pas tous la même couleur, il y en avait un vert, un bleu, un jaune, un rouge, un violet, un noir, un blanc, un gris et un marron. Tout le monde dit que celui avec son foulard noir c'est le chef. C'est donc lui que je vise.
Quand je sens le moment venue, et que le chef est un peu plus écarté des autres, je saute du deuxième étage pour arriver parfaitement sur ses épaules. Je sers mais jambes autour de son coup pour qu'il ai moins de faciliter à respirer et surtout pour que je ne tombe pas. Ce serai pas classe. Ensuite dans toute l'action je lui enfonce mon poings américains à lames dans l'épaule droites. Aïe. D'un seul coup je me sens être tiré par deux personnes. C'est amis je suppose. Alors je prend mon deuxième poing américain et me laisse tombé en arrière, je me claque le dos par terre mais me relève immédiatement.
Un autre me saute dessus par derrière. Mes coudes me font horriblement mal mais l'autre est assis sur moi ! Il me tire alors lentement la tête en arrière grâce à ma queue de cheval. Je décroche alors mon regard du sol pour fixer les paires de pieds qui sont face à moi. Je n'y vois que des clous. Je crains le pire. Mais pour me sortir de là, j'essaye une autre technique que le combat: le dialogue:

"- Ce n'est pas une façons de traiter une dame"

Stupéfaits, il baissent tous leur garde. J'enfonce mon poing américain droit dans la cuisse du gars lourd qui est assis sur moi et le pousse de telle sorte que je puisse me relever. D'un seul coup, le chef commence à parler avec une voie grave qui sans aucun doute est modifiée:

"- les gars, j'aimerai combattre enfin avec celle que je cherche depuis plus de deux ans. Disparaissez.

Pas de doute, c'est bien lui le chef. Les huits hommes grimpèrent en haut d'un immeuble pour nous observer sans nous gêner.

- C'est donc toi la panther ? Me lance-t-il avec un ton de défi

- Je suis celle que tu attends depuis deux ans...hum...on en apprend chaque jour. Toi aussi tu es celui que je traque depuis de ans. Mais pas en vain comme je peux le voir.

- Tu viendra pas pleurer pour que je te laisse la vie sauve car j'aime faire des sacrifices.

- Quels sacrifices? Lui demandais-je.

- Celui de ne plus te chercher chaque nuit ! Es-tu si peu intelligente que ça ? Ricana-t-il

- Je crois que c'est moi qui vais devoir faire ce sacrifice mon beau !"

D'un bon je fis un Saltos arrière pour éviter ses sabres. Je ne les avait même pas remarquée jusqu'à maintenant. Puis quand je voulu faire une sorte de croche-pied pour le plaquer au sol et avoir l'avantage il me prie la jambe et me la souleva le plus haut possible, mais manque de chance, mon autre jambe s'élanca et mon talon aiguille rencontra son menton. Ouille. Quand enfin je m'étais sortie d'affaires j'ésquiva ses sabres et planta mon poing américain dans son abdomen puis le ressortit en diagonale pour faire de magnifiques griffes profondes. Il me regarda mais il m'était impossible de déchiffrer son regard. Puis, il tomba en arrière.Je regarda sa plaie, trop fière de moi. Les autres dessendirent aussitôt. Ils pointèrent tous leur sabres sur mon cou. Je me serai crue une fraction de seconde à la permission. Mais je n'y etais pas. Une contre huit, je n'avais aucune chance surtout face à eux. En trois petit coup de pied je retira tout les sabres de mon cou et m'emnala.
Ce n'est pas que je me dégonfle mais je ne connais absolument pas leurs méthodes.il faut d'abord que je les observe, pour ensuite frapper plus fort là où sa fait mal.

Game OverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant