Hers ➳ Camren ( traduction française)

Six

Lauren

Point par point, je couds son bras pour le refermer. Je ne la veux pas morte, non, pas si je peux l'aider. Je ne suis pas autant un monstre, et il y a quelque chose dans son visage qui me donne envie d'en savoir plus à son sujet. De toute manière, je peux toujours la tuer plus tard, si je décide que je le dois. Le verre a tranché la partie inférieure de son bras, presque jusqu'à l'os. Elle a eu de la chance que l'artère ne soit pas toucher. Heureusement, aussi, que je sois là. Je suis sur qu'elle le ne pense pas comme moi.  Est-ce la chance, alors, qui me l'a amené ? Stupide, le hasard aveugle qui l'aurai mis devant ma fenêtre ? Non, je ne pense pas qu'il y a quelque chose de plus que ça. Même si je suis une abomination dans tous les sens du mot, un péché au-delà du péché normal, je ne peux pas le croire dans un monde qui est si froid et inconsidéré. Il doit y avoir quelque chose derrière cette fille, cette belle jeune fille apparaissant à ma porte. La diable apportant la tentation. Oserais-je cueillir cette fleur ?

Je tire l'aiguille à travers sa peau. Pas pour la première fois, je me demande ce que ça serait d'être dégoûtée par le sang. Beaucoup de gens l'étaient après tout. C'est une peur normale. J'ai toujours aimé les corps, la composition pure de leur chair, l'os sur attachés ensemble avec des tendon noués épais, des tissus collants. Et son corps... Elle dort et n'a rien senti, mais je me sens toujours d'une étrange nervosité quand je passe mes mains sur les courbes d'une personne qui respire, encore vivante. Ses hanches arrondis, ses cuisses bronzés et lisse. Sa poitrine se déplace en légère bouffées d'haleine. Inspire. Expire. Ses mains, petites et délicates, ses doigts sensible, coupés. Son poignet- Ses poignets.

Je me penche plus près de son corps, je sens son parfum. Tournant sa paume vers le haut, je passe ma main sur la sienne et caresse sa peau le long de son poignet. Cicatrices, qui longe le canal carpien. Ligne blanches venant du bord d'un couteau. Je savais qu'elle est ce genre de cicatrices. Mais ces cicatrices sont attachés à un corps, je suis beaucoup intriguée par celle-ci, je ne peux pas lâcher sa main une fois que je les ai vus. Mes doigts remontent la ligne de ces cicatrices blanches, encore et encore, comme si je pourrais obtenir la vérité hors de son corps en les caressant.

"Dis-moi, chaton" je murmure, même si elle ne peux pas m'entendre. "Pourquoi as tu essayé de te tuer ? "

Camila

Quand je me réveille à nouveau, je suis couché Sur une surface sure. J'essaye de lève la tête mais il y a quelques choses qui me retiens. Je me tord la tête et regarde vers le bas. Il y a une sangle qui maintien mes poignets et le bas de mon cou. Sangles contre ma peau nue. Je suis sur la table de la cuisine. Vêtue uniquement d'un soutien-gorge et d'une culotte. Elle a enlevé le reste de mes vêtements.

"Réveillée ?"

Je crie. La femme se lève vers moi, son visage regarde le bas du mien. Je suis prise au piège. Oh Jésus, je suis attachée. Je crie à nouveau, gémissant en sanglot, mon cri sort en spasmes. Elle attend que j'ai fini de crier et elle se baisse vers ma partie inférieur de la tête. La sangle serré autour de mon cou se relâche. Je lève la tête. Elle met sa main autour de l'arrière de mon cou, tenant ma tête. Sa main est forte autour de mon cou et le bout de ses doigts effleurer ma gorge.

"Ton bras a eu un vilaine coupure." Dit elle. "Il fallait suturer."

Je regarde vers le bas pour voir mon bras bandé. Des tâches rouges de sang se trouvent au somment du bandage. Je relève la tête en arrière, mise de nouveau dans sa paume.

"Tu m'a de nouveau coincé avec la seringue."

"Je ne pense pas que tu m'aurais laissé te recoudre si tu étais conscient. Tu semble être trop désireuse de saigner à mort pour t'échapper."