Deux

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Attention âmes sensibles mention de torture.

Lauren

Je viens d'arriver au quatrième étage et passe à côté de l'homme que je vais tuer plus tard. Son eau de Cologne est horriblement accablante; je peux la sentir quand je passe derrière lui, ainsi qu'une rangée de livres plus loin. L'ombre est venu avec moi, me poussant à le faire. Je la repousse en arrière. La patience. Oui. Nous devons être patients. Mais alors que je marche dans l'allée, je pense que je pourrais peut-être le tuer une semaine plus tôt. Il fait exactement les mêmes mouvements, comme ils les avaient fait la semaine précédente et la semaine d'encore avant. Peut-être une mort précoce. Si le parking était dégagé. Si j'en ai l'occasion. Je souris, heureusement j'ai pensé à apporter la seringue avec moi. J'ai essayé de tout suivre les étapes autant que possible comme si que c'était le vrai moment. Préparation. Oui. Voilà ce qui séparait le bon tuer du meilleur. Je choisi un livre au hasard et l'ouvre par le haut, en le tenant en face de moi sans regarder les mots. L'homme traîne ses pieds et se lève, indécis devant les étagères.
Choisis en un, pensais je. Tu ne pourras pas le lire de toute façon. L'odeur du livre dans mes mains est une vieille odeur, l'odeur du papier qui pourri. Les bibliothèques restaient des maisons pour que tous les livres meurent. Livres morts, auteur morts. Incroyable que les caractères pouvaient vivre beaucoup plus longtemps que les personnes qui les ont écrits. Un personne dans un livre peut vivre éternellement, tant qu'il y avait quelqu'un pour le lire et se souvenir de lui.
Nous, cependant, sommes mortels, et je ne m'attendais pas à ce que quiconque se souvienne de moi. Et certainement, personne ne vas se souvenir de lui.

L'homme pris un livre sur l'étagère et je le suis attentivement, prenant les escaliers sur le côté opposé. Je ne voulais pas voir de nouveau la jeune fille car elle pourrait se souvenir de moi. La jeune fille qui m'a embrassé. Je ne me souviens que de ses yeux. Ils étaient bruns et triste. Je ne peux pas vous dire quoi que ce soit d'autre sur elle, cependant. Elle allait et venait comme toute autres femmes dans ma vie, et partait avant que je puisse prendre le soin de m'en rappeler. Mes pensées étaient tournés uniquement sur la seringue dans ma poche et l'homme dont je vais dérober la vie avant qu'il puisse blessé plus de monde qu'il a déjà fait. Peut-être que sa femme se souviendra de lui pensais je. Je souris. Je pense à moi comme une sorte de bon assassin celui qui travaille gratuitement. Un tueur à gages bénévole. Travail de Charité, pas d'assasinat. Nous étions en bas des escaliers. Je le suis jusqu'au comptoir et à la porte. Il a le livre dans ses mains. Il n'auras jamais la chance de le lire. Pauvres caractères dans le livre. Ils allaient mourir aussi, étant laissé sans avoir été lu. Il traverse le parking et je le suis, je contrôle les alentours de la bibliothèque. Il n'y a personne. Je pourrais le faire ce soir, oui. Les préparatifs étaient presque fait. Pourquoi pas ? Je méritais un peu de répit de la part de l'ombre.

Parfois, le monde est juste. Le vent souffle d'une certaine façon. Les gens marchent avec des chaînes de marionnettes attachés à leurs membres et je me sens comme le maître de la marionnette. Ce fut la façon dont il marchait, en face du parking vers l'endroit où je le prendrais. J'avais pris ma décision. Je le ferai ce soir, une semaine plus tôt. Ce fut l'occasion parfaite, et je ne la laisserais pas passer.
Il est à sa voiture et j'y suis aussi à ma voiture, a côté de lui où je l'ai laissé, le coffre déverrouillé. Avant qu'il ne puisse ouvrir la porte, je parle à voix haute, en colère.

"Avez-vous vu qui c'était garé de l'autre côté de moi ? Un certain trou du cul a tapé dans la porte de ma voiture."

L'homme leva ses sourcils et fais le tour pour venir de mon côté de la voiture. Il est curieux. Parfait.
Nous somme tous impatients de voir la destruction, bien sûr. Nous voulons tous regarder les dégâts que quelqu'un d'autre à causé. Je suis plus honnête que tout le monde. Je n'attends pas que les dommages vienne à moi. Je sors et les trouvent. Oh, l'homme. Oui. Lui. Une injection de la seringue est tout ce qu'il fallait, et il était déjà inconscient. Il m'a fallu qu'une seconde de plus pour le jeter dans le coffre. Le livre est posé au-dessus de son corps inanimé. Patiente était sorti par la fenêtre. Je suis tellement chanceuse d'avoir eu un coup rapide et l'adrénaline qui se précipite à travers moi quand je l'ai pris n'est comme rien d'autre.
L'excitation pompe à travers mes veines quand je suis dans la voiture et je me met à conduire loin, le corps dans le coffre. Ce soir, je couperai ses mains abusives et tailladerai profondément sa peau avec mon couteau jusqu'à que les tendons lâches. Je pense qu'il va pleurer. La plupart d'entre eux le font. Je pense qu'il va prier pour obtenir la miséricorde. L'ombre se retirerait avec les sons de ses cris. Je vais lui faire du mal pour moi-même, et pour les gens à qui il a fait du mal. Il me suppliera de le laisser vivre. Et puis, plus tard, il me supplierait de le faire mourir.

Hers ➳ Camren ( traduction française)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant