*HOMME - Dilemma *
Right from the start
You were a thief you stole my heart
And I'm your willing victim
I let you see the parts of me
That weren't all that pretty
And with every touch you fixed them
PDV Min Yoon Gi :
Je suis assis sur ma chaise, faisant tourner entre mes doigts un stylo. C'est lundi soir. Personne n'est entré depuis le début de la soirée et ma collègue s'occupe de nettoyer les chambres. Je m'ennuie et n'ai rien à faire.
Je soupire, fatigué.
Mon service se terminer à minuit. Je baille. J'ai sommeil. Je jette un œil à ma montre. 22 : 41.
Je souffle. Le temps passe lentement. Y a même pas de clients.
Je travaille dans un hôtel de Gangnam, le Novotel Seoul Ambassador.
En attendant de trouver mieux, ce job paye bien et me plait assez. Quand il y a des clients. Sinon, c'est un peu ennuyant à mourir.
Je baille encore, attrape ma tasse de café et en avale une gorgée.
Sans mon mug rempli presque à ras bord de caféine, je plongerai la tête dans mes bras et pioncerai comme dans mon lit.
Je suis tellement fatigué à cause de ce job. Heureusement, je n'y suis qu'à mi-temps et travaille les trois premiers jours de la semaine, de dix-huit heures à minuit.
Ce n'est pas vraiment des horaires qui m'arrangent mais ils me permettent de travailler dans une association qui aide les enfants handicapés, la journée.
Je vais encore vérifier les mails de l'hôtel quand la sonnette de l'entrée résonne.
Je lève la tête, soulagé qu'un client m'enlève enfin de l'ennui dans lequel je nage depuis le début de soirée.
Mes yeux s'écarquillent en en croisant d'autres, plus clairs. Les mèches rousses retombent sur son front et il a l'air frigorifié de froid. Je me redresse, ne sachant pas si je dois aller l'aider, car il a l'air gelé sur place. Puis je me souviens de notre altercation chez Nam Joon et ne me lève pas, me contentant de le suivre des yeux alors qu'il se poste face à moi.
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Embrasse Moi y.min
Ficción General~~The higher I get, the lower I'll sink. I can't drown my demons, they know how to swim~~ Il avait tout perdu. Mais y avait encore ce gars qui portait du gloss et qui l'avait embrassé. Y avait peut-être encore un espoir.