🇦🇱 • 12. Avoue qu'il y a rien à voir, que l'avenir tu veux pas y penser, parce qu'ici c'est noir et qu'Iblis nous fait tous danser. • 🇽🇰
J'ouvre la porte, et qui voilà ? —-> ABEDIN
en me regardant de haut en bas il me dit :
Abedin : *souris* bukurosheeeee (ma belle)
Géniale... Il était bourré.
Il se jeta sur moi, mdr il est drôle celui là.
- mais casse toi, me touche pas wsh
Abedin : *rit* t'es..trop... belle
- lâche moi je t'ai dit
Il veut pas me lâcher ? Y'a pas de soucis, je l'ai laisser tombé moi j'ai pas son temps hein, y'a mon lit qui m'attend.
J'étais sur le point de monter à l'étage, mais je me fais retourner par Abedin. Il me poussa contre le mur et me tenait le coup.
Abedin : *rire* tu sais pas de quoi je suis capable
- *rire*
Abedin : rigole pas bouffone
- mddr
Abedin : sale pute !
Il commença à m'étrangler, mais vraiment j'arrivais plus à respirer. Je faisais des bruits pire bizarres, en même temps il me coupait la respiration.
Abedin : mais qu'est ce qui t'arrives ? t'as peur ?
- enlèves.. ta main..
Je crois que j'étais en train de pleurer là, et merde ! Je sais pas ce qui m'arrive wsh ! J'suis une bouffone je pleure jamais oim
Abedin : pleurer ça va te mener à rien Habibe..
Mdr il me donne des conseils lui mtn ? Mais il me dégoûte ce gars.
[...]
Il me lâche enfin. J'étais assise part terre à pleurer comme une vielle meuf, j'avais un trop gros manque de ma famille. C'est très dure, je souhaite à personne d'être séparer de ses parents w'Allah.
Abedin part dans le jardin pour fumer une clope. Moi j'étais encore assise, j'essayais de reprendre ma respiration mais avec mes pleurs, c'était encore plus dure. Je respirais très fort, et très vite surtout.
Après un long moment, j'arrive enfin à m'arrêter de pleurer et à reprendre ma respiration correctement. Au même moment Abedin avait terminé sa cigarette, je me dépêche de monter en haut, j'ai surtout pas envie de rester auprès de ce fils de chien.
[...]
Arrivée enfin dans ma chambre, Abedin rentre lui aussi à son tour, je commence à avoir de plus en plus peur de lui. J'ai l'impression que je deviens de plus en plus faible. Je suis plus comme avant. (J'fais pitié un peu)