Forêt ~One Shot

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Bonjour/ Bonsoir. Avant tout de chose, je vous préviens que l'image n'a strictement rien à voir avec le One Shot. Je l'ai écrit en étude, quand je me faisais un peu chier du coup voilà ._. . A part ça, j'essaye de faire autre que des Drabbles/Textes pour vous fournir plus de "contenue" différent. Je vais vous laisser en signant pour une fois en début d'histoire. Bye !

~Pangouin.

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 Il est 22 heures, ça fait maintenant plus de 4 heures que l'on marche dans cette putain de forêt. Pourquoi a-t-il eu la magnifique idée d'aller dans un endroit qu'il ne connaît pas ! Il est complètement con ou quoi ?

"Pierre.. j'ai froid..

-Bah réchauffe toi.

-Mais j'ai perdu ma veste.." Désespérant. Ce mec est désespérant. Je m'arrête; me retourne et lui donne ma veste. Il l'enfile, elle est beaucoup trop grande pour lui. En temps normale j'aurai dis qu'il était trop mignon ou quelque chose du genre, mais là non. Juste non.

[23 heures] 

 On continue de marcher, on ne se parle plus. Je suis devant lui, j'avance d'un pas ferme et déterminé et je ne fais plus attention à lui. Mais d'un coup, j'entends quelque chose de tomber, comme un corps. Il vient de se casser la gueule. Sur le coup, je rigole avant de réaliser qu'il ne se relevait pas. Je l'attrape et le mes debout. Ce que je vois m'horrifie. Il a la bouche ainsi que le haut du crâne en sang. Par réflexe je lui fou une claque pour qu'il puisse se réveiller; pas de réponse. Je le mes donc sur mon dos et je marche encore plus vite qu'il y a 5 minutes.

 [00h00]

  Ça fait encore une heure que j'avance avec l'autre tardos qui ne se réveil pas. Au moins il ne saigne plus enfin je crois. Je commence à tomber de fatigue quand je remarque une lumière au loin.

"Une route !" m'écriais-je, fou de joie

Avec une poussée d'adrénaline, je cours jusqu'à arriver devant un lampadaire. C'était mieux qu'une simple route, c'était une ville avec du réseau ! Je pose mon ami sur le bord du trottoir et appel le Samu. Je leur ai expliqué la situation et ils arrivèrent vers 00h30, soit 15 minutes plus tard. Ils m'expliquèrent qu'il était possible qu'il ne s'en sorte pas à cause du sang perdues et de ses plaies. Je leur dis qu'il était impossible qu'il m'abandonne, je commence à pleurer et hurler que tout ceci était de ça faute. Les urgentistes le prirent et partirent me laissant seul en larmes, au milieu de cette rue fantomatique.

"S'il te plaît, ne m'abandonne pas.."

Recueil d'OS,...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant