Loup garou [ titre provisoire ] Pause Et Réécriture

9 Tentative de fuite

PDV : Hez

Je sortis du bain juste après que l'Alpha est lancé des vêtements dans la pièce.

Après mettre habillé je vis mon reflet dans le miroir au dessus de l'évier. Quelle tête horrible !

Mon visage était pâle, ma peau flasque, et mes cheveux ternes, je manquais cruellement de soleil.

Je sortie précipitamment de la salle de bain, un sentiment d'angoisse et de peur montait en moi sans aucune raison, j'avais soudainement besoin d'air et d'espace. J'ouvris la fenêtre de la chambre est laissé le vent matinal m'enveloppait.

Habituellement quand de telles angoisses se faisaient sentir, dans le coin de ma cellule, je me roulais en boule et criais dans mes mains en pleurant.

Ici, dans ce nouveau lieu, je pouvais respiré, mais je voulais plus, sans réfléchir plus que ça j' enjambais le balcon, me suspendis par les bras et me laissé tomber sur l'herbe verte du jardin.

Des sensations exquises me firent soupirer, l'herbes entre mes orteils étaient fraiches,  la robe rouge que je portais facilité mes mouvements.

J'entendais de l'autre côté de la maison des voix et des couverts pourtant je me dirigeais vers la forêt verdoyante face à moi.

J'inspirais et expirais, je ne sentais pas les feuilles et les brindilles sous mes pieds, ma courte angoisse avait disparut aussi vite qu'elle était arrivée.

Arrivé dans un prés, je me mis à courir, en sautant par dessus les terriers de taupe, les bras écartés, je me sentais envahie d'un sentiment étrange: la paix.

Depuis ... je ne sais pas une éternité pour moi, je ne mettais pas sentis aussi bien, je riais en m'éloignant de plus en plus du domaine de l'Alpha.

Après une heure de course à travers les bois, entrecoupé de fou rire solo, de dégustation de baies rouge, je cherchais un point d'eaux pour me rafraichir.

Finalement,  je m'allongeais sur la mousse au bord d'un ruisseau et repensais au sensation que j'avais éprouvé quand l'Alpha était entré dans mon bain, un subtile mélange de gène, de chaleur et de timidité. J'étais intimidée par sa carrure et sa force, pour moi un tel physique était toujours accompagné d'un caractère similaire, pourtant son regard était remplis de douceur.

Je m'assoupis quelque instants, qui se transformèrent en heures, me glissant dans un cocon aussi doux que la voix de l'Alpha à mon oreille.

Je me fit réveillée en sursaut, par les hurlement de loups au loin, une panique familière me serra la gorge, la lumière avait décliné, et la forêt avait maintenant un aspect sinistre.

Un second hurlement, me fit tremblée, j'avais l'impression d'être de retours sur l'île au milieu des montres carnassiers, je me levais et tendis l'oreille, les quartes sens aux aguets.

Des bruits de course me parvenais, je soufflais pour empêcher la panique de me paralyser et me concentrais sur mon instinct.

Les loups se rapprochaient, je me mit à courir, pas de joie cette fois mais de peur.

Je serais les dents et accélérais, j'arrivais sur une piste d'atterrissage, enfin de compte cette forêt n'était pas si grande. 

Plusieurs loup m'encerclèrent, , ma robe volait dans tous les sens alors que je me débattais, je ne remarquais pas que mes assaillants reprenaient forme humaine, pour me tenir.

Tous ces contactes inconnue me brûlé la peau, je criais pour me dégager, ne supportant pas qu'on me contrôle, pas après le court moment de liberté que je venais de vivre, non je ne voulais pas retourner en cage !

Une décharge électrique me parcourue et je tombais dans les pommes, j'eus le temps de sentir les multiples mains se refermaient sur moi comme un cauchemar vivant.