Psycho.25

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PDV Harley


Ce fut des cries de colères qui me réveillèrent en ce beau matin... pluvieux. Quelqu'un semblait s'époumoner pour je ne sais quel raison.

J'étais seule dans le grand lit, comme d'habitude...

Je me levais rapidement, encore étourdi de sommeil. Je sortis précipitamment de la chambre et essayait de localiser d'où les bruits venaient.

Je trouvais finalement cette fameuse personne dans un des salons. On dirait qu'une tempête y faisait rage.

Pudding criait et détruisait tout ce qui lui passait sous la main. Je ne l'avais jamais vu comme cela... Il semblait bouillonner de l'intérieur. Complètement coupé du monde.

Il n'entendis même pas le cris étouffés qui sortît de ma bouche. C'était horrible pour moi de le voir dans cette état.

Sauve toi Harley! Sauve toi pendant qu'il est encore temps...

Non! Je ne peux pas le laisser comme ça! Je m'avançais rapidement vers lui et, pendant qu'il était dos à moi en lançant une lampe au mur, j'entourais de mes petits bras blanc sa taille musclé.

Je pensais qu'il se serait calmer, qu'il se serait retourné vers moi et m'aurait embrasser avec douceur tout en me regardant amoureusement. Il m'aurait ensuite expliqué la cause de cette subite crise de colère.

Si j'avais su...

Il se retourna en effet, mais pas doucement, plutôt violemment. Il ne m'embrassât pas mais me poussa avec force loin de lui lorsqu'il vu que c'était moi.

Mon corps heurtait le mur derrière moi dans un gros boom. Je m'effondrât au sol. Ma tête avait pris un gros choc. Elle me lançait et des larmes dévalait déjà sur mes joues.

Je sentis un liquide chaud couler sur mon front. Du sang.

Il m'attrapa par le col alors que je serrais les dents, dû à la douleur. Il me mis à genoux, me tenant toujours.

Je vis soudainement, à travers mes larmes qui me brouillaient la vue, son point se fermer et se diriger vers mon visage.

Une horrible douleur à l'œil gauche m'asseyat. Ma tête tomba mollement vers l'arrière.

Je n'entendais plus rien, je ne voyais plus rien.

Je me sentis retomber au sol avant qu'il ne me donne un coup de pied au ventre. Me coupant ainsi de ma fragile respiration durant quelques instants.

J'entendis la porte d'entrée se fermer avec fracas.

Je me sentis finalement sombrer dans le néant, stoppant enfin mes souffrances...

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Je me réveillât en toussant. J'étais entrain de m'étouffer avec quelque chose de liquide.

Je me rendus rapidement compte que je m'étouffait avec mon propre sang coulant de mon front.

Je relevais la tête d'un geste brusque mais une grimace de douleur traversa mon visage dû à la forte douleur qui traversait tout mon corps.

Follement amoureux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant