Chapitre 7

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Nous sommes jeudi, des jours ont passés depuis la nuit que j'ai passé chez Luna. Une image ne cesse de me hanter, l'image de la fille sensible, émotive, protectrice qu'elle s'efforce de cacher.
Elle joue la forte qui n'a peur de rien mais au font , elle est si fragile tel la fragilité d'une porcelaine.

J'ai tant envie de la voir, elle me manque. Peut-être dois je aller lui rendre visite, non ce serait trop con de faire ça. Elle me déteste, même si elle en dit le contraire .
Je ne l'aime pas non plus, je la détesté  aussi, mais j'ai vraiment envie de la voir. Je me décide et commence a descendre les escaliers d'un pas nonchalant.

A peine ai-Je le réflexes de tenir le manche de la porte que la voix de ma mère finis par m'arrêter.

- Christian tu sort? J'ai fais a mangé, mange d'abord . Tu n'as rien avalé depuis cet matin, j'ai fais du caloutet. Dit elle en essuyant ces mains dans un torchon.

- Merci mais j'ai pas très faim, je le mangerai à mon retour. J'ai a peine finis ma phrase que le bruit de la sonnerie de la porte attire mon attention. Qui ça peu bien être, je me redirige vers la porte et l'ouvre.

- Qu'es ce que tu fais encore là? Dis je en serrant les dents.

- Un bonjour papa!, ne serait pas mal tu trouve pas .

- Je m'en fiche, qu'es ce que tu fais ici?

- Christian calme toi s'il te plait, ne t'ennèrve pas. Dit Elle

- C'est ta mère qui m'a invité à mangé avec vous, en famille . Dit il avec un sourire que je trouve vraiment sadique.

- C'est une blague là, maman tu peu m'expliqué ce qui se passe. Dit Je en me tournant vers elle.

- Euh Christian c'est t'a dire que. Elle begait tout le long de la phrase.

- Ça vas. En me remettant fasse à mon père. Part de chez moi s'il te plait, je n'es vraiment pas envie de te voir

- Chez toi, mais tu oublis une chose mon fils. Dit il toujours avec ce sourire qui me sort par les pores.

- Quelle chose?

- Cette maison, tu arrive à la loué grâce a mon argent. Alors j'ai autant le droit que toi de mettre mes pieds ici. Disons quelle m'appartient en quelque sorte . Il n'a pas tort, il a tout à fait raison. Cette maison n'est pas vraiment à moi, et quand j'y pense cela me met encore plus en colère. Je sort aussitôt de là sans me retourné, qu'es ce que j'ai bien pu faire a cet homme pour qu'il n'éprouve ne serait-ce qu'un peu d'amour a mon égard .



J'arrive devant chez elle, je gare la voiture. J'hésite encore a rentré mais j'entre malgré moi avec un peu de peur au ventre. Il y'a des vélo qui encombre l'entré , un homme est assis sur une chaise essayant tant bien que mal d'éteindre son cigare dans un cendrier. J'avance vers lui.

- Euh bonjour, est ce que Luna est là?

- Et qui la demande? Dit il toujours la tête baissé, regardant dans le cendrier.

- Je suis un de ces amis. Dis je difficilement.

- Luna n'a pas d'amis, mais je vais qu'a même la cherché . Je reviens.

Il rentre dans la maison et revient quelque minutes plu-tard accompagné de Luna, elle est très bien n'habiller. Elle porte un slim jeans bleu un top manche longue Ralph blanc et des basket blanche en dessous. Elle sort à mon avis.

- Salut !

- qu'es ce que tu fous là!

Ça y est elle est semble énervé . Le gars lui chuchote des chose du genre <qui sait> <il a l'air d'avoir assez de thune>

Elle ne m'adresse aucun regards, et se dirige vers la sortie. Je la suit sans dire un mot.

- Tu vas quelque part!?

- Oui!

- Je te dépose si tu veux. J'ai envie de passer plus de temps avec qu'elle.

Elle ne répond pas, mais monte dans la voiture. Je prend ça pour un OUI.

- Euh ou on vas?

- A l'hôpital .



On arrive a l'hôpital, on rentre à l'accueil.

- Bonjour, je suis venue voir ma mère s'il vous plait.

- Votre nom s'il vous plait.

- Luna Ortega, mais ma mère s'appelle Béatrice Ortega. La secrétaire de l'accueil tape sur son ordi et relève la tête.

- A je vois, attendez que j'informe le médecin qui s'occupe d'elle.

Quelque minutes plu-tard, on l'aperçoit qui arrive. Arrivé a notre niveau il nous demande de le suivre, enfin il le demande à elle. Je l'es suit sans dire un mot jusqu'a la chambre où se trouve sa mère.

- on vas vous demandez de prendre quelque précautions car ici est un milieu très sensible. Comme on vous l'avait déjà dit, malheureusement madame Ortega sera bientôt débranché si vous en décidé ainsi. On sait tous que c'est très difficile les moment comme ça

-

Elle l'écoute sans dire un mot.

Arrivé dans la chambre, ces larmes coulent toute seul. Ça vient du plus profond de son âme a mon avis. Elle n'arrive pas à la regardé sans pleuré, je ressent une grande peine en la voyant ainsi. Sa mère est allongé sur un lit brancher à une magine, elle respire a l'aide d'un appareil, elle est si pâle. Elle est vraiment inconsciente.

Luna s'approche de son lit, caresse un instant ses cheveux. Touche son corps, son front, ses mains en pleurant au même moment. Elle commence a lui parlé mais je crois qu'elle ne pourra pas l'entendre.

- En tenant sa main. Pourquoi le malheur s'abat toujours sur les personnes comme toi, les personnes qui ont un bon cœur comme toi. Tu ne peu pas t'en allée pas maintenant ,non
Tu ne peu pas me laissé comme ça maman, tu peu pas nous laissés comme ça , ta présence est devenu indispensable a notre vie. Ces yeux sont remplit de larmes. Qui va me prendre dans ces bras, avec qui je vais rigolé. Ma joie c'est toi, ma raison de vivre c'est toi , ma meilleure amie c'est toi, tu es mon tout maman ,sans toi je ne peu pas vivre ,je ne veux pas vivre sans toi. Je regrette tellement d'avoir été si chiante avec toi, de d'avoir fait tant de mal ,de ne pas avoir était une gentille fille . Je regrette de ne pas avoir prouvé a quel point Je t'aime, je sais que tu ne peu pas m'entendre mais je veux que tu sache que je t'aimerais a Jamais, tu seras toujours dans mon cœur. Je prierai pour toi. Ma seul prière est que tu reste en vie même si les médecins ont prédit ta mort, je sais que le Tout Puissant n'a pas dit son dernier mot il te délivrera par ce que tu es une maman en or. Je te promet de prendre soin de Trevor, d'Ursula, de Dylan, de Lenny, de Kaleb ,de Margo et même de moi, je te promet de Jamais baisser les bras .Je te jure peu un porte le nombre heures, le nombre de jour qui passera, le nombre d'année je resterai forte. Je t'aime ma maman. Pardonne moi, pardonne moi car ce que je fais pour toi est un grand pêché. S'il te plait Pardonne moi.

Je ne sais que faire fasse à une tel situation, je suis complètement perdu. J'ai envie de la prendre dans mes bras

- S'il te plait, ne me quitte pas, non pas maintenant. Maman je t'en supplie

L U N A†

Cheick Faïsal Diop Où les histoires vivent. Découvrez maintenant