chapitre4

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Le jour se lève sur ma tours de verre d'où je bâtirai ma futur empire .
Aujourd'hui se trouve être le jour de mon entretient avec le propriétaire d'une agence de publicité, j'ai rende-vous exactement a 11h30
De tout mes nombreux défauts j'ai aussi des qualités que j'exploite parfaitement. J'ai beau être un play-boy riche et snob comme le dit cette fille je suis qu'a même un travailleur, l'argent de mon père m'aide a réalisé certaine chose comme quoi même si on ne s'entend pas son argent m'aide beaucoup.

- Christian tu sort? me demande ma mère .

- Oui maman j'ai un entretient avec le propriétaire d'une agence de publicité je serai de retour à 15 heures.

- Un entretient! comment ça mon fils.

- Oui maman il faut bien que je travail pour gagner mon pain. Travailleuse qu'elle est je devrais pas avoir de problème a ce niveau.

- Bonne chance et bonne journée ,au faite je sort aussi, je vais voir une amie de longue date Sabrina tu te rappelle ?

- Oui maman très bien, et même que sa fille était amoureuse de moi, elle se prenome Melissa je crois. On avait que 10 ans à cette époque mais bref tu lui passera le bonjour de ma part

- D'accord à plu-tard .

J'ai comme l'impression que cet entretient se passera à merveille, je suis de très bonne humour accompagné d'une très bonne mine
Je marche en direction de ma voiture mais la vibration de mon portable fini par m'arrête  mais le contact qui essaye de me joindre est un contact qui m'est inconnu, je décroche malgré moi

- Allô .

- Bonjour c'est Whitney.

- Oui bonjour que me vaut cet appel .

- Heu Christian tu sais j'ai été très blessé par ton comportement vendredi dernier et.

Je ne lui es même pas donné le temps de finir sa phrase Je vais le faire pour elle.

- Et moi je m'en bas les couille que tu es été blessé ou pas à vrai dire c'est le dernier de mes soucis sourire moqueur d'ailleurs bonne journée. Je raccroche sans même prendre la peine d'écouter le reste de ce qu'elle avait dire

Veut-elle me gâché ma journée. De toute les façon, j'en es finis avec qu'elle tout ce qui m'importe à cet instant c'est mon entretient avec Mr Carter





- Pourquoi tu ne me laisse pas y allée toute seule .

- Par ce que c'est dangereux .

-Non c'est pas dangereux, tu veux pas que j'y aille pour pas te volé la vedette .

- Quoi t'es folle de penser ça de moi.

- Pas assez pour savoir que je suis meilleur que toi .

Elle a peine finis sa phrase qu'une merveilleuse gifle lui es donné par l'homme avec qui elle est venue à la fête de Màel .
Ses yeux sont remplit de larmes, elle se retourne et court jusqu'à atteindre le cèdre qui est juste devant le magasin a chaussure, pour la première fois Je ressent de la peine a l'égard d'une personne. En plus une personne comme elle, je suis totalement surpris par ce sentiment qui me traverse à cet instant, l'envie d'aller lui parlé me succombe .
Je la regarde essuyant ces larmes, je descente de ma voiture. Je marche d'un pas nonchalant vers ce très grand t'arbre .

- Bonjour Je peux m'asseoir prés de toi si ça ne te dérange pas bien-sure .

Elle ne m'adresse aucune parole ni aucun regard, mais obstiné que je suis. Je m'assois sans même faire attention a la réaction qu'elle pourrais avoir .

- Je t'es pas autorisé a t'asseoir a ce que je sache .

- Je sais mais j'ai les jambe très fragile, rester debout pendant plus de trente minute m'est impossible .

- Elle se met a rire, menteur dit plus tôt t'es q'un faible Mr. Bourgeois .

Mr. Bourgeois ai-je des air de bourgeois, avec tout l'effort que je m'efforce de donner pour pas ressembler à ma famille c'est raté.

- Une joie indescriptible me traverse a cet instant. Son sourire illumine son visage et fait disparaître sa tristesse .

- Et pour quelle raison? Son regard est totalement plonger dans le miens .

- J'ai enfin put t'arraché un sourire .

Elle s'éclate de rire.

- Mais ton prénom C'est quoi déjà .

- Tu l'as déjà oublier, c'est normal vue que tu me detesse .

- Je m'en rappelle c'est Christian, et non je ne te detèsse pas c'est juste que tu es trop bourgeois, faux et tout .

Ces mots me transperce tel des lames me poignardant dans le dos ,sa repartie est plus tôt fougueuse. Elle ne pense pas un mot de tout ce qu'elle vient de dire enfin je crois, je reste septique. Je préfère ne pas y prêté attention .

- Mais dit moi vous parliez de quoi avec ton copain, par ce que c'est ton copain n'est ce pas? Elle me fixe bizarrement elle semble surprise .

- Mon copain non, c'est mon grand frère et melle toi de ce qui te regarde c'est pas tes affaires. Son agressivité refait surface que dire qu'elle a une personnalité propre a elle .

- Désolé.

- Bon il faut qu'y aille, j'ai des chose a faire .

- Euh Je te dépose si tu veux, elle me fixe aussitôt et semble surprise par ma proposition .

- D'accord. Maintenant c'est moi qui suis surpris par son accord Je vais enfin connaitre la maison ou elle vie si on peut appeler ça une maison .

- Alors allons-y monte dans la voiture.

Elle monte au siège passager mais semble avoir peur, son regard est vide. Je décide de briser le silence .

- Luna sa vas?

- Euh ou..... oui. Elle bégaie piteusement et sert le poignet jusqu'à ce qu'il en devienne tout blanc ,Elle fais des gestes apeuré.

- Qu'es ce qui ne vas pas, tu es toute pâle. La peur la rend aussi faible ,crisper. Je ne sais quoi faire pour la soulagé .

-Heu tu peu ralentir s'il te plait .

- Tu as peur en voiture?

- Oui, ralentis je t'en supplie  Je ralentis aussitôt sans réflechire pourquoi a t'elle peur, la vitesse lui rappel des souvenirs douloureux mais que dire ce ne sont pas mes affaire. Son silence en dit long a mon avis.

- Tourne a gauche et continue tout droit tu apercevras une grande maison blanche gare toi devant.

Une grande maison blanche. Vit-elle dans une villa, non je crois pas .

- Alors merci de m'avoir raccompagner mais la il faut que tu t'en aille maintenant .

- Tu ne veux pas me faire entré OK je comprend. Elle me sourie et se retourne, marche vers la porte l'ouvre et la referme derrière elle .

Mon regard est fixé sur cette porte de peinture blanche aux motifs noir, je me dis qu'elle pourrais ressortir mais sans espoir, c'est impossible!

L U N A†

Cheick Faïsal Diop Où les histoires vivent. Découvrez maintenant