Chapitre 7

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5H du matin, environs 1 semaine après l'agression de Calypso

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Il faisait encore noir mais j'entendais des voix, des brides de conversations. Il me fallut une concentration et de l'énergie à en revendre pour pouvoir comprendre ce que j'entendais.

Une voix de femme disant que je restais dans le coma car mon corps était encore en état de choc dû au traumatisme que j'avais subis –mais bizarrement je n'étais pas effrayée par ce que j'avais vécue mais plutôt par les paroles qui avaient été prononcées ce jours là- et que mon réveil était normalement pour bientôt. 

Puis j'entendis une voix masculine –je me posai intérieurement la question de qui cela pouvais bien être ? Mais je me la posai seulement car je n'avais pas la force de faire appel à mes souvenirs- qui demandait si je me rappellerai de quelques choses ou non ?

La voix féminine repris –j'en déduis par son intervention que cela devait être le médecin qui m'avait pris en charge-  tout cela dépendra de comment son corps réagira, elle aura peut-être une amnésie ou non qui pourra être permanente ou de courte durée.  Je ne peux pas me prononcer sur cela car personne ne peut savoir, pas avant qu'elle se réveille en tout cas.

Puis je me perdis à nouveau dans les abîmes de Morphet.

 

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1 jour plus tard, dimanche 11 septembre dans les environs de 8H du matin

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Je commençai tout doucement à me réveiller, j'entrepris d'essayer de bouger mes doigts puis mes orteils avec succès. J'ouvris alors difficilement les yeux, je fus immédiatement ébloui par la lumière venant de la lampe de chevet. Il me fallu un peut de temps pour que mes yeux s'habituent à cette lumière artificiel. 

Une fois les paupières levées, je pus observer le lieu où je me trouvais, j'étais dans une chambre d'hôpital. La chambre était déserte, bizarre.

Je décidai de me lever pour aller voir si je trouverai un visage familier, je sortis mes pieds un à un de sous la couverture et je fus secouée d'un frisson dû au froid qui régnait dans la pièce.

Je posai la plante de mes pieds sur le sol gelé puis pris appui sur celles-ci, je fus prise d'un vertige, je me rattrapai alors in extrémiste  au bord du lit. Une fois le vertige passé je me décidai à m'avancer jusqu'à la porte, je l'ouvris et vis un couloir désert, de plus en plus étrange.

J'arrivai à une bifurcation, quand une personne me sauta dessus. Je n'eu même pas le temps de voir qui c'était.

-Tu m'as tellement manqué, j'ai eu si peur.

Prise au dépourvu, je lui demandai :

-Excusé moi mais qui êtes vous ?

La personne se crispa alors puis me regarda droit dans les yeux c'est alors que je la reconnu, Rubis mais vu sa tête je ne pus m'empêcher de faire durer un peut le plaisir -oui je suis un peut sadique sur les bords mais je venais de passer un peut plus d'une semaine dans les vapes j'avais bien le droit de m'amuser un peut, non ? Et bien moi je considérai que oui et en plus vous devriez voir sa tête, à en mourir de rire- :

-Tu te fous de moi la, hein ? me dit-elle avec une petite voix.

-Heu... Je devrai ? Je tentais de me retenir de rire mais c'était difficile.

Elle me regarda avec des yeux ronds comme des billes puis se tourna pour faire face a Rick –que d'ailleurs je n'avais pas encore remarqué -qui lui aussi me regardai choqué et inquiet mais je le rassurai vite en lui faisant un clin d'œil. Il laissa échapper un souffle de soulagement avant de lui aussi réprimer un sourire et un fou rire qui n'était pas loin.

Rubis se tourna vers moi puis vers Rick, elle répéta se geste plusieurs fois. Puis d'un seul coup se mit à crier sur Rick :

-Non mais tu es taré ou quoi, ta plus chère amie et soit dit en passant ma meilleure amie ne se souvient plus de rien et toi tu reste planter là ??!! Mais tu es débile ou quoi ce n'est pas possible d'être aussi abruti !!

Et la je ne pus me retenir plus longtemps et éclata de rire suivi de Rick, Rubis nous regarda chacun notre tour puis devint toute rouge dû surement à la colère.

Mais je fus bien vite rappelé à l'ordre par une crampe à l'estomac qui coupa net ma respiration ainsi que mon rire. 

Tous deux s'arrêtèrent net de rire puis se précipitèrent vers moi, des points noirs commençaient à apparaître devant mes yeux.

-Respirer ! Aller respirer mademoiselle ! dit une voix masculine.

Je pus néanmoins apercevoir le visage de la personne qui me parlait avant de sombrer dans le néant.

C'était...

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J'espère que ce chapitre vous aura plus, n'hésitez pas à voter et à laisser un commentaire ça fait toujours plaisir.

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L'inconnuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant