Chapitre 9

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Précédemment :

-Vous avez été empoisonné. Tout ce cinéma pour ça. Tu es sérieuse là ?! Tu te rencontres que quelqu'un à essayé de te tuer ? Oui je sais mais... Il n'y a pas de mais, tu es suicidaire ou quoi ? Ah non ne me répond pas à cette question car tu serais encore capable de sortir je ne sais quoi encore.

-Ben, voilà ce n'était pas si compliqué !

Ils me regardèrent tous avec des yeux de merlan fris. Ben qu'est ce qu'il y a ? J'ai un truc sur le visage ?

-Quoi...

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-Quoi....? Qu'est-ce que vous avez ? Vous devriez voir vos têtes.

-Tu es sérieuse ? Tu nous demandes ce qu'il y a ?! Mais bon sang quelqu'un veut te tuer ! Tu t'en rencontres au moins ? Dit Rick ou plutôt me hurla Rick.

-Bah qu'est-ce que tu veux que je te dise, je le savais déjà que quelqu'un voulait me tuer, ce n'est pas nouveau. Et figure toi que mon agresseur me la bien fait comprendre, et puis quoi ? Tu voudrais que je m'effondre comme une petite fille ?  Que je me mette à pleurer ou je ne sais quoi d'autre ?

-Non mais tu t'entends la ?

Je ne répondis rien pendant quelques secondes perdu dans mes réflexions quand tout d'un coup j'entendis une voix dans ma tête, la seule pensée qui me vint à l'esprit au moment même c'est «ça y est je suis devenu dingue ». Elle me disait :

-J'ai essayé de te tuer deux fois mais pourtant tu es toujours dans mes pattes. Tu résistes incroyablement bien pour une humaine mais tu devrais arrêter si tu ne veux pas souffrir d'avantage.

Je laissai échapper un hoquet de surprise à ces paroles, tout le monde me regardai avec un regard inquiet – Putain ! Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ? Je ne comprends plus rien- .

Un homme que je n'avais pas encore remarqué me dit :

-Vous allez bien ? Vous êtes blanche comme un cachet d'aspirine, on dirait que vous avez vu un fantôme ?

Je répondis sans même réfléchir :

-Si seulement ce n'étais que ça... Il me regarda surpris et je pus apercevoir les autres se raidirent Sauf Mr charmant  –oui j'ai décidé de l'appeler comme ça le temps que je connaisse son prénom-, lui avait plutôt l'ai d'être inquiet et en colère surtout. Mais j'en fis abstraction et continua de regarder l'individu qui m'avait posé cette question et renchéris :

-Puis-je savoir qui vous êtes ?

Bien qu'il fût étonné et inquiet par ma question, il dit :

-Vous ne savez pas qui je suis ? Je le regardai toujours incrédule. Voyant que je ne disais rien il reprit :

-Je suis le chef de chirurgie où vous faites votre apprentissage.

QUOI ? NON MAIS IL DÉBLOQUE LA ! COMMENT AURAIS-JE PUS OUBLIER UNE TELLE CHOSE !

-heu... Vous me faites une blague c'est ça ? Parce que c'est franchement pas drôle mais alors pas du tout. Il me regarda Peiné mais il répondit quand même :

-Non mademoiselle je vous dis bien la vérité, je suis navré.

-Et vous êtes navré de quoi ? Répondis-je sur la défensive.

Mais c'est Mr Charmant qui répondit à sa place :

-C'est ce que nous redoutions le plus, vous êtes amnésique.

-Quoi ?! Mais non ce n'est pas possible je me rappel de tout c'est juste un visage que j'ai oublié.

-Arrête de te voiler la face, tu sais très bien que c'est vrai. Tu l'as même remarqué à plusieurs reprise déjà, n'est pas peur c'est tout à fait normal après ce genre de choc à la tête et tu es la mieux placé pour comprendre ça. Je n'ai pas peur, ok ?! Et je sais très bien que certaines choses m'échappent mais ça ne veut rien dire.-

Voyant que je ne disais plus rien, le divin médecin accouru à mon secoure – n'exagère pas non plus hein- et il demanda à tout le monde de partir.

La dernière personne avait enfin franchit la porte mais elle se referma avec un médecin –« mon » médecin, tu ne crois pas que tu rêve un peut trop là ?- toujours immobile dans la chambre, son regard était fixé sur quelque chose. Je regardai autour de moi et  ne voyant rien qui puisse l'intéresser c'est alors que je me retournai vers lui  et que je compris, c'est moi qu'il regarde comme ça. Je décidai alors de briser le silence devenu un peut trop pesant.

-Vous allez bien ? Il secoua alors la tête comme pour chasser de son esprit le sujet qui le préoccupait tant.

-Heu...Oui pardon. Je voulais vous parlez seul à seul.

-Oui... Je laissai ma phrase en suspend pour l'inciter à continuer et c'est ce qu'il fit.

-Est-ce que vous vous rappelez votre agression ? 

Si je m'en souvenais ? Bien sûr que j'en m'en souvenais même un peut trop bien.

-Oui pourquoi ? Mais au lieu de répondre à ma question il reprit :

-Et de quoi vous souvenez vous exactement ?

Je lui racontai tout de A à Z mais bien sût en omettant certain détail comme le fait qu'elle ressemblait à une bête et j'en passe. Son visage resta impassible tout du long. Une fois que j'eu terminé, de nouveau le silence se réinstalla dans la pièce. Mais il le brisa vite :

-Bien je vois...

-Vous voyez quoi ? Demandai-je incrédule, alors là j'étais définitivement perdu.

-Rien ..., rien excusé moi.

Il commença à se diriger vers la porte, non mais oh il n'allait pas me planter comme ça après tout ce que je lui ai dit. Mais au lieu de le lui reprocher je décidai de lui poser la question qui me turlupinai bien que je ne savais pas si il se souvenait de moi je n'allais pas laisser passer une occasion pareil de savoir son nom.

-S'il vous plaît avant que vous ne partiez puis-je savoir votre nom ?

-Heu... Oui bien entendu, je m'appel Adame Lensler .

-J'aime bien c'est original.

-Merci, dit il avec un petit sourire aux lèvres que je ne comprenais pas très bien puis il me demanda –ce qui m'étonna d'ailleurs puisqu'il était mon médecin à moins que... Non n'importe quoi- Et vous ?

-Vous devriez connaître mon prénom puisque je suis votre patiente.

-Heu... Oui bien sûr, excusé moi.

-Cela fait beaucoup « d'excusé moi ». Il me regarda comme si j'avais dis quelques choses de choquant. Je rigole détendez-vous dis-je hilare.

Le pauvre il ne savait plus quoi dire alors pour dissiper son malaise je décidai de lui dire mon identité.

-          Calyspo Grant mais tout le monde m'appel Caly.

-          J'aime beaucoup aussi – Tu as entendu il aime bien mon prénom !! Houlà, redescend d'un cran là ! Quoi ? Je n'ai pas le droit d'être contente ? Pouff désespérante-.

-          Vous n'êtes pas médecin n'est-ce pas ? Mais pourquoi j'avais dis ça et j'eu confirmation que ces mots n'aurai pas dû franchir mes lèvres car Adame –et oui maintenant je pouvais l'appeler par son prénom. Calyspo se n'est vraiment pas le moment !- était devenu livide.

Et a ma plus grande surprise il répondit :

-Non en effet, je ....

L'inconnuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant