Chapitre 8

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Je me réveille une nouvelle fois dans cette chambre d'un blanc immaculé, une odeur de... Je ne sais quoi , certain diront que c'est un mélange d'odeur d'incertitude et d'angoisse avec un soupçon de douleur et de larme et pour d'autre –comme moi- que c'est l'effluve de l'endroit où je me sens utile avec une touche d'émanation de plâtre et de Bétadine régnaient dans la pièce. Et les seuls bruits qui brisaient le silence était le bip incessants des machines et ma respiration lente mais régulière.

Je me relevai pour me mettre en position assise dans mon lit malgré la douleur qui me vrillait le ventre, bien que celle-ci fût moins intense que l'autre fois dans le couloir.

Au bout d'environ une demie heure je commençais à perdre patiente alors je décidai, allant contre ma résolution de sortir de la chambre.

Après quelques instant de combat contre moi-même pour ne pas flancher et m'effondrer sur le sol dur et froid, je me retrouvai dans le couloir –cette scène était un peut trop familière à mon goût -.

Je commençai à avancer quand j'entendis des exclamations de voix alors je me cachai, dos contre le mur. Je m'avançai encore un peut pour pouvoir distinguer les deux personnes qui tenaient cette conversation très animée. Je les reconnu en moins de deux, c'était Rick, et le beau et charmant médecin –vous savez le jeune homme qui m'avait secouru dans le parc ainsi que quand je me suis écroulée dans le couleur dû à une extrême douleur-.

Rick disait que c'était inadmissible que j'ai été agressé de la sorte dans un hôpital et lui a répondu que c'était certes inadmissible et que la personne serait plus que sanctionné et qu'il en faisait une affaire personnel - je ne cernai pas vraiment le sens de cette remarque ce qui me fit parcourir des frissons le long de ma colonne vertébrale et le plus bizarre c'était que je ne savais pas pourquoi peut être que tu te doutes de quelques choses,non? Oui sûrement - et qu'il ferait tout pour que je sorte le plus vite possible et que j'y revienne pour les bonnes raisons.

Bien que je ne comprenne pas la moitié de leur conversation je restai tout de même immobile en essayant de comprendre qui était la personne qui avait été agressée, pourquoi ? Comment ?...

Quand je me rendis compte que les bruits de fond (la conversation entre les deux jeunes gens) avaient cessé, je couru comme une malade jusqu'à ma chambre mais trop tard la porte était déjà entrouverte et on pouvait entre des pleures, des cris s'en échapper –mais pourquoi pleurent-ils tous ? Pourquoi ils sont tous si énervé ? Et a ces questions je ferai tout pour avoir les réponses, soyez en sûr-.

Alors je pris mon courage à demain et poussai la porte tout doucement, quand celle-ci fût ouverte en grand je vis plusieurs personnes certaines que je connaissais et d'autre non.

Sur leur visage on pouvait voir deux sentiments ; l'inquiétude, la colère ainsi que le soulagement quand ils me virent.

Rubis me sauta dans les bras, j'eu le temps de rien faire qu'elle me serra déjà comme une folle contre elle. Je grimaçai de douleur, son geste avait réveillé les douleurs à mes côtes ainsi que celle de mon abdomen. Rick intervenu et demanda gentiment mais ce qui sonnait plutôt comme un ordre de me lâcher et de me laisser tranquille.

Je me dirigeai alors vers mon lit calmement, je sentais tous les regards sur moi mais je m'en fichai et pris tout mon temps.

Puis je lançai comme ça sans mâcher mes mots –parce que oui je dois bien l'avouer je commençai légèrement à perdre patience -:

-Bien, maintenant que tout le monde est là ou presque –oui car le charmant médecin n'était pas là... Bizarrement le fait qu'il soit médecin et donc qu'il fait parti du monde médical me faisait plaisir, me réchauffait le cœur même. Cela voulait dire que nous avions au moins un point commun.- je voudrai des explications.

Tous le monde se regardai dans le blanc de l'œil et ne disait mots tout en baissant la tête. Là c'était la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase.

-Mais merde ! Parlez à la fin je ne suis pas une petite chose à qui on aurait peur de dire quelques choses sous peine de la blesser ! Alors parlez ! Et oui j'avais dis tout cela en hurlant car comme je vous l'ai dit je suis très explosive et donc n'arrive pas vraiment à contrôler ma colère ni ma frustration d'ailleurs.

Toujours rien, personne ne parler. Ils avaient juste un masque d'étonnement, ils étaient choqué par mes propos –et oui car même si je n'arrive pas à me contrôler les « vilains mots » comme ma mère les appel, ne font pas partie de mon vocabulaire- Ce qui m'agaça encore plus, puis d'un seul coup la porte s'ouvrit sur un petit médecin diablement sexy tout paniqué –et oui satisfaction personnelle (imaginez moi avec un sourire vainqueur à m'en faire mal au joue plaqué sur le visage) c'est bon n'en fait pas tout un plat non plus hein ! Cela ne veut rien dire. Oh ! Si au contraire pour moi ça veut tout dire et arrête de briser mon rêve ! AH ! Tu vois tu as dis un « rêve » ! Pouff... Vous devez me prendre pour une folle et vous avez surement raison mais il va falloir vous y habituez car c'est une habitude chez moi-

Bon revenons-en à nos moutons, je repris sur un ton que je voulais le plus neutre possible :

-Et bien voilà quelqu'un que j'espère compétant en même temps c'est un peut son métier –Merde ! J'avais dis ça à voix haute. Quelle saute ! Mais je pus vie tout de même un début de sourire se dessiner sur ses divines lèvres - Enfin bon pourriez-vous répondre à la question qui d'après toutes ces personnes –je les jauges des doigts, je sais c'est ma polis mais bon dans certaines situations... Tu vas te taire oui ! Tu ne vois pas que tu les saoules là.- n'a aucune réponse.

-Heu...Oui. Quelle est-elle ? Il était trop chou, j'en fonds.

-Je voudrai des explications. Que m'arrive t-il ou m'est-il arrivé ?

Il commença à baisser la tête comme honteux mais je le stoppai net dans son élan en lui disant –oui bon d'accord peut-être en lui hurlant dessus- :

-Ah non ! Pitié ne faite pas ça et répondez moi pour l'amour de Dieu !

Il me regarda surpris mais repris vite contenance comme si mes paroles l'avaient giflé.

-Bien, alors vous êtes arrivé ici avec de nombreuses blessures plus ou moins graves. Vous aviez plusieurs cotes cassées , plaies sur les bras ainsi que sur le visage, une contusion assez grave à la tête suite à votre agression. Zut, j'aurai presque oublié avec toutes ces histoires. Puis il reprit :

-Mais dans l'ensemble vous vous en êtes bien sorti. Pourrait-il me dire quelques choses que je ne sais pas déjà.

-Et à quoi est dû ma douleur à mon abdomen ?

-Heu...Et bien... Mais ce n'est pas possible il va cracher le morceau bon sang. Il avait dû remarquer que je n'aimais pas que l'on tourne autour du pot car il me dit :

-Vous avez été empoisonné. Tout ce cinéma pour ça. Tu es sérieuse là ?! Tu te rencontres que quelqu'un à essayé de te tuer ? Oui je sais mais... Il n'y a pas de mais, tu es suicidaire ou quoi ? Ah non ne me répond pas à cette question car tu serais encore capable de sortir je ne sais quoi encore.

-Ben, voilà ce n'était pas si compliqué !

Ils me regardèrent tous avec des yeux de merlan fris. Ben qu'est ce qu'il y a ? J'ai un truc sur le visage ?

-Quoi...


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         Je tiens à m'excuser pour se chapitre je n'avais pas beaucoup d'inspiration du coup il est                                    pas top mais je tenais quand même à poster quelques choses.

                                    Et encore et toujours désolé pour les fautes d'orthographe.

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L'inconnuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant