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AIYA

Aymen vit tout ce qu'il y avait sur mon lit.. je ne savais pas quoi faire, ou bien quoi dire..

- Aymen : C'est à toi Aiya?

J'en perdais les mots, lui aussi maintenant aller devenir un homme désagréable avec moi ? Lui aussi aura comme seul but de me ba*ser ? C'est vrai que j'aurai préféré qu'il ne sache rien.

- Ilyès : Oh vous faites quoi ici !?

Viendrait t'il de me sauver de cette situation gênante ??

- Ilyès : Aiya cette chambre je l'ai réservé pour les clients avec leur pute..

J'étais tellement surprise.. comment? Pourquoi  n'a t'il pas seulement dit que j'en était une ? Pourquoi devient il si gentil ?..

- Aymen : Bon venez on sort de cette chambre.
- Ilyès : Ouais.
- Aymen : et désolé Aiya t'avoir  poser cette question avant tant de colère..
- Moi : C'est pas grave. C'est oubliée.

Si Aymen tu le savais.. j'aimerai tout lui dire à cœur ouvert.. malheureusement même de ça je ne suis pas libre.

AYMEN

Pour moi c'était impossible, j'étais pas fou d'une pute quand même?.. quand je l'interrogea elle ne répondais pas.. elle avait l'air très gênée..

Je peux pas m'imaginer qu'Aiya soit une pute, pour moi c'est pas possible.. mais d'un côté ça semble cohérent.. mais pourquoi Ilyès dit que c'est sa sœur alors ?.. se sont vraiment tous des gens accros à la prostitution dans leur famille ?
Elle a commençait à manger les petit peau qu'on a sur les doigts..

Ilyès arriva, et nous expliqua à qui appartenait ces affaires..
J'étais saoulé à vrai dire.. mais pourquoi elle a eu tant d'hésitation ?

J'ai pu observer un regard d'incompréhension..
Ilyès et ensuite sorti et m'a dit de le suivre.. Je m'étais excuser au près d'elle..

Je suis ensuite rester un peu avec Ilyès et je suis parti.. je suis parti chercher Sofia, je la voit arriver toute contente.

So'-Wallah 'jsuis contente que tu soit venue me chercher.
- Moi : ça se voit t'aime pas les cours toi.
- Sofia : Non franchement cava.. juste quelques filles qui m'énervent.
- Moi : Faut frapper ceux qui nous casses les couilles, mais avant pense à bien sécuriser ton voile.
- Sofia : Si faut frapper je frapperai t'inquiète.

Je rigole, je la dépose dépose chez nous, on rentre. Maman était à la maison.

- Moi : Zeyneb n'est pas là maman?
- maman : Non, elle est sortie faire les courses.
- Moi : c'est donc pour ça que tu es la maison !
- Maman : Bon les enfants vous avez faim !?

On a tous dit oui !! On était à table, on mangeais.

- Mama : Mes fils, c'est quand que je vais avoir une belle fille !?
- Kaïs : ..sûrement dans très longtemps pour ma part.
- Moi : je suis pas prêt moi à avoir une femme, ensuite des enfants..

Je ne me sens pas assez responsable, je n'ai pas une situation stable.. rien n'est correcte dans ma vie, donc une femme viendrait seulement ajouter des problèmes.

- Maman : en vrai vous êtes tout les deux près. Si vous épousez une femme qui sera là pour vous pour vous soutenir, même si vous avez aucun argent aucun travail, une femme vous soutiendra mes fils.
- Kaïs : C'est quand même compliqué..
- Maman : qu'est ce qui est facile dans ce monde dit moi?

Ma mère a dû élevé trois enfants toute seule suite à la mort de mon père.. cette femme ja l'admire.. jamais elle s'est plaint de quoique ce soit ! Toujours était une bonne mère, et on a toujours eu le ventre pleins.

- Sofia : Aymen il a une fille en vue mama !
- Moi : tais-toi Sofia ! Tais-toi.
- Maman : je suis vexée Aymen.. pourquoi tu m'as pas dit ?
- Moi : parce que y'a absolument rien entre elle et moi c'est pour ça.

Elle n'a pas insisté plus. Après avoir finit de manger je suis parti dans ma chambre et j'ai appelé Aiya :

- Aiya : Aymen.. ça va ?
- Moi : Ouais et toi ? J'espère que ton frère ne t'a rien dit.
- Aiya : Non ça va, ne t'inquiète pas.
- Moi : Alors Sally Bollywood ?

On a beaucoup rigoler au téléphone.. c'est là que j'ai senti le rapprochement entre elle et moi..

Pute à hlel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant