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Partie 34 :

Je voit mon père.. Ilyès était assis avec lui ainsi que Naïm. Ils se sont levés.

- Ilyès : On va vous laissez.

Ils sont parti. J'étais seule avec mon père.. il y avait un malaise..

- Moi : Tu veux quelque chose à manger ?
- Mohamed : Non. Je veux simplement qu'on parle.

..j'en perdais mes mots vraiment. Avant d'être face à lui j'me disait que j'avais pleins de question, que je serais ferme et que j'lui dirais tout sans bégayer.

- Moi : Pourquoi ?..
- Mohamed : j'étais jeune Aiya. Je  manquais beaucoup de maturité.. j'ai abandonné ta mère.. je t'es séparée de ton frère..
- Moi : Quoi ?.. mon frère ?..

J'avais un frère..

- Mohamed : j'ai refais ma vie aiya... avec ta mère nous étions parti sur de mauvaise base.. on a jamais était mariée..
- Moi : C'est pas possible.. il y a trop de chose.. je pensais que vous étiez mariée.
- Mohamed : Mes parents n'ont jamais accepter ces différents d'origine. Pour eux c'était une turque et rien d'autre. On a donc fuit.. on est venu s'installer ici, en France. Mais y avait trop de soucis entre nous deux.

J'ai verser une larme.. j'ai toujours penser être fille unique..

- Mohamed : Aiya, j'te demande pardon pour tout. Absolument tout ce que j'ai pu faire..
- Moi : ..c'est compliqué.. 
- Mohamed : je comprend. Tu dois sûrement avoir la haine.
- Moi : La haine, non. Mais je vais avoir du mal à accepter tout ça..
- Mohamed : il faut aussi que j'te dise quelque chose.. avant que je rencontre ta mère, j'étais marié.
- Moi : ..Quoi...
- Mohamed : j'ai tromper ma femme avec ta mère.. je voulais faire d'elle ma deuxième femme, elle était d'accord mais ma famille ne voulais pas. Et comme je t'ai dit on s'est enfuit tous. J'ai eu deux enfants avec ta mère. Et avec ma femme j'en ai eu 3.
- Moi : .. s'en ai trop Mohamed. Tu peux t'en aller ?

Il se lève et me tend un papier.

- Mohamed : Ici, il y'a mon numéro, celui de ton frère.. et celui de mes trois autre enfants. Si jamais tu veux prendre contact.

Je ne lui dit rien. Et il s'en va.. je m'écroule au sol.. tout ces mensonges d'un coup dans la face ça fait mal.. ma mère m'a menti aussi.

Naïm est arrivé, il s'est assis au sol.

- Naïm : hé.. princesse faut pas pleurer.
- Moi : Toute ma vie a était mensonge Naïm.. ce que je pensais être était en réalité faux.. j'ai un tas de frère et sœurs, alors que je pensais être fille unique.
- Naïm : j'te comprend. Ça doit être très compliquée Aiya. Mais sache que je serais toujours là. Je sais je le dit souvent, mais c'est la réalité. N'hésite jamais à me demander quoique ce soit.

J'le regarde.. et l'embrasse.. il réponds mon baiser.. trois fois déjà qu'on s'embrasse..on se regarde droit dans les yeux.. il a pris ma main

- Naïm : Quoiqu'il arrive je serais là.
- Moi : Merci Naïm.. je t'aime vraiment bien.
- Naïm : Aiya.. ça signifie quoi tout ces baisers qu'on s'échange ?

J'ai stresser.. je ne voulait peut-être pas me l'avouer.. mais j'étais entrain d'avoir des sentiments pour lui.. mais j'avais toujours peur.. ce que Aymen m'a fait m'a détruit.

- Moi : ..c'est juste que j'étais mal. Ne fait pas attention.
- Naïm : Alors cesse ça. Cesse de me faire des baisers insignifiants.
- Moi : Bien sur.. je comprend.

Pute à hlel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant