Chapitre 19 :

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C'est grave une blague là. Je tapa contre la porte après m'être relevé. Pourquoi il m'a poussé comme ça ? Et pourquoi il m'emferme dehors alors que à l'intérieur de la pièce il y a les deux personnes que je déteste le plus au monde ?

-TAEHYUNG OUVRE MOI !

J'essayais de claquer mon épaule contre la porte pour l'ouvrir comme dans les films mais ça me faisait plus de mal qu'autre chose. Je colla mon oreille à la porte.

-T'as compris ou t'as besoin qu'on te fasse un dessin ?

Ça c'est Hyosoung.

-C'est bon.

Qu'est-ce qui est bon ? Pourquoi TaeHyung dis ça ?! Je tenta une nouvelle fois d'ouvrir la porte.

-ARRÊTEZ DE LUI DIRE DE LA MERDE ! Criai-je à plein poumon.

J'en suis sûr qu'ils disent de la merde sur moi à TaeHyung. Je ne veux pas le perdre à cause de deux gros bâtards. Pitié rendez moi Tae...

La porte s'ouvrit me faisant tomber en avant. Je tomba nez à nez avec des converses noires et blanches. Je leva la tête et me leva.

-TaeHy..

Il me poussa , pas très fort mais assez pour que je recule de lui. Il a quoi ? Je le retena en serrant sa veste de l'uniforme entre mes doigts.

-Qu'est-ce qui ne va pas ? J'ai fait quelque chose de mal ?

Il me regarda mais détourna vite le regard en se mordant la lèvre. Il se retenait de me parler. Je le savais , ça se voyait.

-TaeHyung parle moi !

Il commença à partir , je voulu le suivre mais on me retena en me plaquant contre un mur.

-Le Kim va faire une petite visite au directeur et ne remettra plus jamais un pied dans cette école.

Mes yeux doublèrent de volume. Je le repoussa et voulu une nouvelle fois courir vers la personne que j'aime mais on me poussa par terre. JE NE SUIS PAS AMOUREUX DU SOL MERDE ! QU'ON ME LAISSE TRANQUILLE !

-Byun BaekHyun , si je perds TaeHyung de ta faute je me suicide et te tue avant.

Hyosoung sortit de la pièce le sourire au lèvre en sautillant sans même me regarder et partit.
BaekHyun s'agenouilla à côté de moi en prenant mon visage entre ses doigts.

-Mon pauvre Jimin. Sache une chose.

Il se lécha les lèvres avant de continuer. Je déglutis.

-Tu es à moi.

Ses lèvres d'enfoiré se posèrent sur les miennes ou plutôt il venait de me gober les lèvres. Je gémis de dégoût en essayant de le repousser comme je peux. Sa langue força la barrière que mes lèvres formaient pour lui , contre lui. Il me dégoûté. C'est affreux. En plus de ça , je manquais d'air. Sa main se faufila sous la chemise de mon uniforme tandis que sa langue jouait à un jeu de roulade et de tourniquet avec la mienne. Un hoquet de surprise s'échappa d'entre mes bâtons de chairs souillées par sa salive , dès que je sentis ses doigts pincés un de mes tétons.

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