Que dire ?

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Ces derniers temps, j'ai envie d'écrire mais trouver le sujet, l'inspiration, met impossible.

Devrais-je parler de l'égoïsme que je sens propre à l'espace humaine ? Le fait que tous les faits et gestes, les paroles, les actions et les pensées des humains ne soient en lien qu'avec leur propre personne. « Arrêtes de pleurer ça me rend triste » ou encore « Ne meurs pas sinon je serais triste ». Vous voyez ce genre de terme qui renverse la situation, en faisait passer la victime pour le responsable d'une action qui va perpétuer chez l'autre sujet un sentiment désagréable, mais pourtant bien moins moindre que ce que vit la réelle victime.

Sinon je pourrais parler de mon hypothèse tout à fait absurde sur notre existence ? Et si nous n'étions finalement que des cellules cancéreuses chargées de détruire une autre cellule ou molécule. Ça pourrait expliquer que l'on détruise tout autour de nous dès que nous entreprenons une action... Oui, je pense que nous sommes qu'une immense cellule cancéreuse en train de détruire une molécule ou une cellule (donc la planète terre) d'un énorme corps étranger. Oui, comme si nous étions dans un immense corps vivant encore plus intelligent que nous. Une sorte de monstre immense qui puise son énergie des multiples soleils qu'il a dans son corps. Et nous, sur la terre, simple petite cellule qui nous nourrissons de l'une des cellules du corps du gros monstre spatial.

Enfin, je pourrais aussi très bien vous parler de cette catastrophe qui est arrivée aux États-Unis, quand se drôle de bonhomme orange est venue au pouvoir... Comment il a fait pour prendre le pouvoir avec tous les propos, aussi choquants et absurdes les uns que les autres, qu'il a dits ! Vous voyez, c'est comme si on revenait à l'époque de la seconde guerre mondiale. Ils avaient un ennemi en commun : les Juifs. De nos jours, l'ennemi en commun c'est le réfugier, l'immigré, l'étranger (peu importe le nom, il doit avoir une barbe ou porter le voile). Comme si les erreurs mondiales que nous avons faite ne nous avaient rien appris.

Triste monde, à relativiser avec l'hypothèse que nous ne serions que des minicellules destructrices dans un corps immense.


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