Elliana Adams quitte Chicago, sa ville d'adoption, pour retourner à Beacon Hills, sa ville natale, chez son oncle et son cousin. Seulement, elle ne se doutait pas qu'une fois arriver à destination, sa vie allait être autant chamboulée.
Elliana&Scott...
Cela faisait une semaine que je vivais chez Lydia, suite à mon accident de voiture, et la douleur de mes côtes avait presque disparût. Une semaine que mon père m'appelait tout les jours pour prendre de mes nouvelles alors que du côté de ma mère, c'était silence radio.
Cela faisait une semaine que je sentais que Lydia, Scott et Stiles me cachaient quelque chose d'important mais j'avais beau les harcelé de questions, aucun d'entre eux ne voulaient me dire la vérité. Même si je ne le montrai pas, j'étais blessée par leur comportement à mon égard, alors je les évitai, préférant passer mon temps libre en compagnie des jumeaux.
Ma voiture était arrivée hier, alors que j'étais en cours, et aujourd'hui, j'allai enfin pouvoir reprendre le volant. C'est avec hâte que je me levai du lit que j'occupai depuis une semaine et que je me ruais vers la salle de bain, affaire de rechange sous la main.
Je ressortis de la pièce habillée (média ci-dessous), coiffée d'une que de cheval haute et maquillé avec seulement du mascara noir et une trait fin d'eye-liner. Je retournai dans la chambre d'amis puis, après avoir attrapé mon sac de cours, ma veste et mon iPhone, je descendis rejoindre les deux femmes Martin dans la cuisine pour le petit déjeuner.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
« - Bonjour ! M'exclamai-je en m'installant aux côtés de ma meilleure amie après avoir embrasser sa mère sur la joue. - Tu es de bonne humeur aujourd'hui, remarqua Natalie en me souriant. - C'est la joie de pouvoir conduire à nouveau, souriais-je en retour. D'ailleurs, faudrait se dépêcher si on ne veut pas être en retard. - Tout ça pour montrer ta nouvelle voiture, fit Lydia en secouant la tête, faussement désespérée. - Et alors ? Rétorquai-je en lui tirant la langue d'une geste puérile. »
Elle rigola légèrement face à mes gamineries puis, d'un même geste on se leva de nos tabourets respectifs et, après avoir embrassé Natalie sur la joue à tour de rôle, on sortit de la maison. Sautillant comme une puce à cause, ou grâce, à l'excitation, j'ouvris ma voiture (média ci-dessous) et m'installait derrière le volant, soupirant de contentement.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.