Toutes ces fausses promesses, encore un qui m'a quitté, je n'ai que l'alcool pour me réconforter.
Ma famille, mes amis, ils ont tous ce regard dédaigneux. Vous avez beau prétendre que tout va bien mais vous entendez les horribles cris de supplice de ce monde agonisant que vous essayez de bloquer avec vos mains, en vain. On dit que tous les Hommes meurent mais que peu d'Hommes vivent. J'y crois, pourtant vous autres menteurs refusez d'admettre la réalité et quand cette dernière vous frappe d'un coup vous subissez l'atroce vice du mensonge. Bande de faibles, vous osez me regarder de haut mais vous êtes plus bas que terre plus bas que moi. Je suis un gamin effronté vous dîtes? J'en ai strictement rien à foutre de ce que vous pensez, vous ne faîtes que de juger alors que bande de chiens que vous êtes vous vous enfuyez la queue entre les jambes. À l'aube de ce nouveau monde je continue à courir. Si j'echoue, si je tombe, je me releverai et je vous laisserai derrière.
Peu importe combien la route est tortueuse, je cours ce n'est pas grave.Je goûte à l'échec, à la frustration et je baisse la tête mais je continue à courir.
À l'aube de ce nouveau monde je serai le soleil devant lequel vous plisserez les yeux.
VOUS LISEZ
Agust D.
General FictionVous avez besoin de gens comme moi, Vous avez besoin de gens comme moi pour pointer vos p'tain de doigts et dire "C'est le mauvais garçon."