Première partie du lettre

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     POINT DE VUE  KEVIN

" L'histoire n'est pas à oublier mon cher Yuric, tout commence quand je venais d'atteindre mes onze premières années  de vie , j'étais loin d'être une personne intéressée par  une activité physique. Je vivais ma vie, je l'adorais avant que tu ne puisses tendrement poser tes pieds sur mon chemin . Pourquoi n'ai je pas cherché à t'éviter depuis le début !? Pourtant je savais déjà que j'allais vivre mes pires regrets car à l'époque, sans démesurée mes mots, je me questionnai en tout moment ce que j'avais fait à la vie, pourquoi ces ressentis.

Avant mes jours étaient remplis de rêves coloriés et moins nostalgiques de la vie triste loin de tous pleurs vues dans ma période infantile.

Ce si beau soleil, cet si tendre sourire que je portais pour la vie , ce beau pays que je ne cessais admirer , ces voix que j'embellissais au fond de ma gorge. Toutes ces belles choses, j'avais décidé de les mettre de côté pour t'accueillir dans ma vie, dans une vie propre éloignée de fausses éloges ni de mauvais tourments.

Pendant ce moment là, à mes onze ans , je t'aimais pour toute la vie. Je ne voulais pas  être avec une vie sans toi . Et derrière ma petite cave, dans ma douceur erronée, j'appelais une de nos employés pour lui faire part que je ne pouvais pas me passer de chaque souvenir ( Trace de rencontre, que ça soit près du boutiquier où on achetait des tunes ou tout autre marchandise) . C'était si fort pour une fragile mentale que je possédais , je bavais sur mon sort , je n'avais rien d'autres choses à faire à part emmerder la pauvre employée, et qui par malheur, a été bannie de la maison à cause de la stupidité ( Chose déraisonnablement logique) de parler du mal de toi .

Si moche que je surnomme l'amour, l'amour n'est rien qu'un long chemin qui ne vaut jamais la peine d'être usé. Oui quand l'amour signifie tout sacrifier jusqu'à ton temps tout en sachant que tu n'obtiens absolument rien en retour que de courir après le temps et ne pas te décourager pour simple raison de  garder cette envie d'aimer avec tout ampleur. L'amour m'a transformé en une personne amère, suffisamment portée par l'instinct de vouloir être jaloux des autres couples qui sachent savourer leur bonheur de vouloir dire oui, aimer c'est la plus belle des choses "

Yuric : Oui,

Kevin (Tremblant) : Oui, est-ce que je parle à monsieur Länder !?

Yuric (Étonné) : Non, ce n'est pas lui !

******* Un ange passe*********
Yuric : À qui ai-je l'honneur !?

Kevin ( Un peu titubant) : C'est Kevin Brine. Je vous dois mes excuses car ça doit être un faux numéro.

Yuric (Rit ) : Non . Mon frère doit être un peu idiot. Il t'a laissé croire que ce numéro était le sien, mais ne vous inquiétez pas. Je vous les passerai dès qu'il arrive à la maison.

Kevin (Un peu soulagé) : Je ne veux pas déranger !

Yuric : Tu ne me déranges pas

" Mon excuse avait très bien fonctionné à côté de ce mensonge, qui m'avait pris disons une semaine de sommeil . En réalité, j'avais une connaissance absurde avec ton frère Länder et je me suis servi de son natel pour chiper tes coordonnées. Après notre discussion, le ciel caressait mes pensées, j'étais en gros hors de ma joie . Nul ne pouvait pas comprendre que c'était pour de vrai, que j'avais réussi à te parler , et toi qui croyait que j'étais si innocent ( Certainement je le suis), mais que voulais tu que je fasse !?. Je semblais m'étouffer,  calmer ce désir d'affronter le vrai , ce vrai qui consiste de dire que je dois te parler coûte que coûte .

L'excès de régal, l'excès de merveille, l'excès de meilleure position, l'excès de joie . Ça n'existais que dans le faite que tu sois toi .

Si j'aurais su à l'époque que tu serais devenu dix milles raisons de cauchemars aujourd'hui. Peut être que j'aurais retiré mes pieds du courant "

Voilà la fin du première partie de la lettre, je ne sais pas si vous aviez pu vous régaler ou si je dois rectifier quelque chose !?
En tout cas, de tout cœur, j'espère que vous allez laisser des commentaires pour me guider( J'en ai besoin ). La suite de l'histoire c'est demain

Ma plus longue lettre d'adieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant