La cinquième partie de la lettre

30 4 0
                                    


L'entente existait parce que Länder et Yuric étaient vraiment frères depuis l'enfance, Länder n'avait jamais tenu compte qu'il était son demi-frère car l'amour avant tout prenait toute sa place. Ils réussissaient à arranger la situation et tout redevenait normale à la fin. Yuric continuait à se battre pour sa passion. Quand est il de Kevin !? Merci à vous !!!!!

        Point de vue Kevin

" Ta présence commençait à m'être très familière, je te côtoyais le plus possible. Tu avais finit par devenir la personne voulue, bon pas complètement la même personne que je rêvais que tu sois, mais quand même une qui est mieux et avec qui je n'avais pas peur de me sentir proche.

La vérité était déjà là, je voulais te montrer à quel point tu étais magique Yuric. Devant tous les (Yooooo) que tes admirateurs( admiratrices) pouvaient avoir à ton égard, mais malheureusement le football te pêchait sérieusement sur ton chemin et je te comprenais car en face de tout ce qui se passait, je voulais te comprendre en premier et je finissais par rien te dire.

Je boitais avec mon être, je ne sais plus quelle bêtise n'ai je pas commis pour te satisfaire !? C'était si bon de te voir après toutes ces années d'amitié, me rappelant en tout moment la personne que tu étais devenue après tant d'efforts, je ne savais plus par où commencer pour te dire que je t'aime pour de vrai , et je me taisais, mais plus le temps passait, plus mon amour pour toi s'épanouissait.

J'étais là pour te conseiller quand tu avais une dispute avec de tes supposés prétendantes, car oui ce qui me faisait le plus plaisir, c'est le faîte que tu avais commencé à te faire confiance et ouvrir ton cœur pour les autres personnes.

Marie-Jeanette était là à mes côtés, je ne lui cachais rien, et grâce à sa tendresse, elle voulait toujours le meilleur pour toi, même si ça n'était pas avec elle. Elle voulait te voir heureux .

Sans mâcher mes mots, Marie-Jeanette fût et restera comme une princesse pour moi, qui a décidé de faire tout pour t'aider, toi qui voyait ailleurs, toi qui le prenait pas en considération mais elle qui te soutenait et t'acheter à chaque fois un Malti (Ton jus préféré avant et après ton match) . Elle qui s'inquiétait, et qui te demandait à chaque fois après le match si tout allait bien, si tu n'avais pas besoin d'une chose !?.

Elle est cool la blague de la vie, pas vrai !!!!!

Et dans ta semaine libre, je te voyais presque cinq jours sur sept, et tu me laissais avoir une grande part dans ta vie.
J'étais si fier car la mienne tu l'avais déjà acquise depuis le début, j'étais très confus de jouer cette comédie entre me couler une rivière de silence sur mes propos à ton égard face à Marie-Jeanette, ou laisser l'histoire telle qu'elle est puis continuer . C'était trop fort pour moi !!!!!!

Jusqu'au jour où j'avais décidé de briser le faible, et prendre mon courage à deux mains et parler à ma meilleure amie "

Chez Marie-Jeanette, nous étions assis sur le balcon entrain de parler mais l'atmosphère n'était pas bonne,

Kevin : Je crois qu'il est temps que je m'explose sur un truc qui me tracasse depuis longtemps.

Marie-Jeanette : Enfin, tu te décides à parler finalement,

Kevin : Tu vois, ça doit faire beaucoup de temps que tu sois devenue une famille pour moi, une amie et au delà une personne dont  je serais même  prêt à épouser -

Marie-Jeanette : Haaha, je t'assure que tu me fais peur par là !? Tu as un problème c'est ça, pour penser à me draguer !?

Kevin : Non non, ne t'inquiète pas ! Je ne veux pas que tu achètes mes compliments, je veux juste te le dire, entre rester ou mourir , mais avancer quand même dans la vie tout en sachant que je ne te dois rien.

Marie-Jeanette : Bah vas y je t'écoute mon chéri, accouche avant qu'il ne soit trop tard.

Kevin :  Je suis très amoureux de Yuric, et cela depuis mon enfance, depuis que j'avais mes 11 ans !

" Elle semblait ne pas être très étonnée de découvrir cela, car selon elle, elle le doutait depuis un temps, et était très fière quand même face à ma franchise . Cette femme est une vrai bijou du Burundi.

Je n'avais  plus de choses à dire, pour toi qui habitait mon cœur et qui séchait mes blessures et toi qui est à l'origine de ces dernières. Je t'assure que l'amour que je portais pour toi, me faisait non seulement voyager, au delà d'une barre de rêves ou de paradis et je n'y pouvais rien changer car la seule principe qui m'intéressait se baser sur le faîte que tu m'attaches au moins un peu à moi, ou penser que quand même tu ferais au moins une chose pour me sauver d'une situation ( J'étais fou).

Mon rêve restait clouer dans l'espoir, à te regarder comment tu marches, tu joues, tu souris, tu réussis dans la vie, sans faute ni dérangement, s'il aurait suffit que tu m'aimes au moins une seule fois, je serais déjà loin .

Et voilà ce jour où notre amitié s'était un peu renversée, à cause des gaffes que j'avais commis dans la famille de Marie-Jeanette, et qui involontairement t'avais affecté, je me rappel d'avoir senti qu'il n'y avait rien à récupérer . Au moins Länder faisait semblant de me comprendre et vouloir jouait comme si de rien ne s'était passé (Et j'admirais mais je savais que c'était pour de faux )!!!

Je t'ignorais tout le temps, c'était moi le fautif, mais quand même c'est moi qui ne voulait jamais accepter la réalité , j'aurais fait que ma vie soit  un rêve pendant cet instant pour que je me réveille et analyse que je faisais un cauchemar, que c'était des cris à l'absurde et non une chose présente et réelle.

J'avais taché mon corps avec le sang du cœur, ma vie n'était plus rassurante et je stressais tout le temps. Pourquoi avais je fait cela !?? Certainement une chose longue à expliquer et une histoire un peu floue dont je préfère garder pour moi.

Dans la solitude et dans le silence qui abritait ma garde, je grimpais jusqu'au plus haut des courages que je me suis retrouvé à arranger notre histoire grâce à un de tes meilleurs amis Charles, et qui au moins une seule fois dans la vie, avait finit également à avoir une raison de conserver son amitié( Il m'expliquait qu'on a beau tout avoir, l'argent, l'amitié ou la gloire mais que ça n'évitait pas qu'avec tout ça, la vie nous impose un choix, un choix de rester seul pendant un moment et penser comment recouvrir les tôles cassées ).

Je l'aimais beaucoup car pendant un moment quand tu étais absent, lui quand même était présent et si disponible. Je l'accompagnais à ses entraînements et de loin je te voyais mais pendant cet instant pour me calmer , il restait avec moi et décidait de te zapper. Tu venais, je te regardais dans les yeux, et j'y voyais tout le mal que je t'avais commis à travers, c'était trop franchement, tu nous saluais et était étonné de constater qu'il existait une familiarité entre moi et Charles . Tu lui parlais et il souriait en retour, je lui regardais embellir ses lèvres avec un si bon sourire , et oui car je m'évitais de te regardais , et je contemplais  quelle chance tu avais à avoir à tes côtés un bon ami comme lui.

J'avais finit un peu par avoir des sentiments pour lui "

La voie de la vie est infinie, si longue, si fatigante et si déshonorante qu'on pense réellement des fois à couper pour de bon avec nous-mêmes . Et se condamner pour personne sans chance, mais quelle punition se donner !? "

Voilà la fin du cinquième partie de la lettre. Je sais que ça semble floue le penchant que la lettre soit écrite par diverses personnes . Mais cela c'est pour aider à mieux connaître l'histoire , les scénarios rebelles et réels ne sont pas loin d'être lus. Soyez patients.

Je vous remercie infiniment pour vous qui lisent l'histoire et me laisse un commentaire en privé . Ça me touche énormément

Ma plus longue lettre d'adieuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant