Au delà des limites.

Chapitre 7

Yo !

Je suis désolé de ce retard, je pensais poster le nouveau chapitre mi-décembre mais finalement, je n'ai pas vu le temps passé et en plus, j'étais malade (malade pour les vacances, vous imaginez l'horreur?!).

Bref, je suis heureuse de vous poster le chapitre 7 de ma fiction, qui j'espère, vous plaît ! Je prends un réel plaisir à l'écrire et en plus, j'ai des chapitres d'avance (j'ai écrit plus de la moitié de ce que j'ai déjà posté). Donc, comme je passe des concours important cette année, j'essaye de poster un chapitre par mois et à chaque fois, j'écris un bout de même longueur !

J'espère que ce chapitre aussi vous plaira, je m'excuse d'avance pour les fautes,

LOVE, Animophilenrose 

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¤ Chapitre 7 :

Je suis mitigé à l'idée de sortir de mon lit. Au vu des événements d'hier, l'envie d'aller en cours n'est franchement pas au rendez-vous. Je n'ai pas envie de revoir tout le monde et de sentir leurs regards moqueurs. Mais en même temps, il est hors de question que je me laisse abattre par ces débiles et que je gâche mon année à cause d'eux.

Je me douche, m'habille puis descend dans la salle à manger où Léa est déjà attablée. Je ne pense pas que ma sœur se lèvera, elle est pire qu'une marmotte en hibernation.

Je me sers un café dans l'espoir de réveiller le maximum de parties de mon corps. Une fois le petit-déjeuné terminé, nous nous dirigeons vers le bus que nous amène dans cet enfer.

Je ne veux vraiment pas y aller. Même si je dois être fort, j'ai peur de revoir tout le monde et de vivre encore et toujours les mêmes humiliations. Il faut que je me ressaisisse avant d'arriver sinon, je ne tiendrai pas la journée.

Arrivé devant les portes du lycée, je souffle un bon coup pour me donner du courage. Je regarde droit devant moi, faisant fis des regards moqueurs et haineux qui me visent. Je vais directement à mon casier, Léa dans mon dos. Je prends mes affaires pour la journée et je dis au revoir à Léa, car je n'ai pas de cours en commun aujourd'hui. Cette pensée fait descendre mon moral encore plus bas. Au moins, avec Léa, j'ai du soutient, mais là, je dois faire face à tout le monde sans elle.

Elle me fait une bise sur la joue et me glisse un petit mot d'encouragement à mon oreille. Prenant mon courage à deux mains, je me dirige le plus vite possible vers ma salle de cours. Comme je suis arrivé en avance, il n'y a personne devant la classe, je peux donc souffler deux minutes. Je mets mes écouteurs et ferme les yeux.

Il faut que je trouve un moyen de me rapprocher de lui, sous ma « vraie » apparence pour mettre en marche ma vengeance. Le meilleur moyen d'y parvenir, c'est de le suivre où il va, je me demande s'il y a une soirée de prévu ce week-end. Il faut que j'aille fouiné même si à mon avis, arrogant comme il est, il le clamera à un moment ou un autre.

Je relève la tête légèrement en entendant des bruits de pas dans le couloir et je me lève quand je vois le professeur arriver. Je rentre dans la classe pour m'asseoir à ma place et attendre que le cours commence. J'espère passer une matinée calme et sans problème, même si, au vu des regards qui me sont lancés, c'est raté. Heureusement que je ne suis pas tout le temps dans sa classe, parce que je serais parti depuis longtemps déjà. Subir ses amis et non lui, ça reste une bonne chose.

Je suis les cours de la matinée calmement pour éviter de me faire remarquer.

À la fin de la journée, je suis mort de fatigue. Entre les cours et ces gens qui me regardent, je me demande parfois si je vais tenir jusqu'à la fin de l'année. Je me dirige vers mon casier en traînant des pieds. J'envoie un texto à ma meilleure amie pour lui dire de me rejoindre quand j'entends des voix de plus en plus fortes qui se dirigent dans ma direction.