Chapitre 27

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Stiles

Je ne me rappelais plus que c'était aussi loin la frontière de la ville, ça doit faire au moins plus d'une heure qu'on roule et ça doit bien faire au moins 1 heure que j'observe Spencer entrain de chanter toutes les chansons qui passe. Elle à vraiment l'art de me faire tomber sous son charme au moindre mouvement de son corps. Je ne dirais pas qu'elle est parfaite mais mais je suis vraiment chanceux d'avoir une aussi belle fille à mes côtés. Quand je m'arrête au panneau "stop", je prends le temps de la regarder bouger la tête au rythme de la musique, elle remarque que je l'observe et elle commence à rougir légèrement des joues. Elle est vraiment magnifique. Quand je la regarde, tous ce que je vois c'est une fille qui a sût se durcir avec toute cette pagaille et qu'elle à l'air de tenir le coup malgré tout. Ce que je vois aussi c'est une fleur douce qui apprend à avoir du caractère mais qui sait rester sensible.

Sp- Qu'est-ce qu'il y a? Pourquoi tu me fixes? J'ai quelque chose sur le visage?
S- Non, non. Tu es superbes.

Elle rougit face à mon compliment. Je lui remets une mèche de cheveux derrière l'oreille et lui souris. Je redémarre la voiture et je pose ma main sur celle de Spencer, qui se trouve sur sa cuisse et elle pose sa deuxième sur la mienne. Finalement, j'aimerais que ce moment soit éternel, elle et moi, moi et elle, là dans cette voiture, heureux, loin de tout. On arrive à la colline. La vue vraiment belle, l'air frai, la verdure, j'aime ça. Spencer regarde l'horizon, inspire et expire l'air.

Sp- C'est super beau, ici.
S- T'as pas encore vu la vue d'en haut
Sp- On va monter?
S- Et bien oui

Elle faut une petite moue mais elle reprend vite son sourire. Je prends le sac que j'avais mis à l'arrière de ma voiture, je l'attrape, me dirige vers Spencer et je lui prend la main. Je nous emmène au chemin qui nous mène jusqu'au sommet de la colline. Quand on atteint le haut, on reprend notre souffle. Spencer utile sa main comme part-soleil pour mieux regarder la vue qui s'offre à elle.

Sp- C'est magnifique, Stiles. C'est vraiment merveilleux.

Elle est tellement belle quand elle sourit de toute ses dents, quand elle s'émerveille à la vue de toute la verdure, des fleurs et des rayons du soleil qui reflètent dans ses yeux marrons. Je lui tiens toujours la main mais je lui lâche pour attraper son bras et l'attirer contre moi. Je la regarde droit dans les yeux.

S- C'est le moment de tout oublier. Tous ce qu'il y a de mauvais dans nos vies vont rester une journée derrière nous. Aujourd'hui, on profite tous les deux.
Sp- Ce programme me plais.

Je sais qu'il n'y a rien à faire ici mais pour être tranquille, se reposer ou être face à soit même. Il n'y a pas mieux. En venant ici, j'espère qu'on fera encore plus connaissance comme par exemple, savoir ce qu'elle a vécu dans le passé ou des choses basiques comme quelle est ça couleur préféré. Je la serre dans mes bras et on contemple le paysage puis on finit par s'assoir sur la couverture que je viens de sortir de mon sac.

Sp- T'as mis toute ta cuisine dans ton sac? Il est vachement gros.
S- Non. J'ai mis la couverture, les sandwichs, des gâteaux, des boissons, fruits...
Sp- Ok... Donc, c'est bien ce que je dis, toute ta cuisine.
S- Tu préfères mourir de faim?
Sp- Bien-sûr que non.
S- Bien. (Je marque une légère pause en attente qu'une question à lui poser me vienne à l'esprit.) Tous ce que je connais sur toi c'est les déménagements et quelques petits trucs mais dis-moi en plus. Tout ce que t'as vécu, ce que tu aimes, t'es passions,...
Sp- J'aime la peinture, la musique, la danse, enfin pas genre suivre des cours mais j'aime bouger au son de la musique. J'aime les couleurs pâles, n'importe lesquels. Bon s'il te plait, ne te moques pas de moi mais j'adore les peluches, j'en ai énormément dans ma chambre et à chaque fois que j'en vois une, je suis comme une gamine. Je déteste par dessus tout les moustiques, ça à vraiment le don de m'énerver.
S- Les nounours? Vraiment?
Sp- Ne te moques pas. Je suis sûr toi t'es fan de Star Wars ou Spiderman.
S- Ne touche pas à Star Wars, c'est sacré.
Sp- Bien. Je ne touche plus à Star Wars, si tu ne touche plus à mes peluches. Bon, aller à toi, dis-moi des choses.
S- Je sais pas si t'as remarqué mais j'aime les chemise à carreaux, la nourriture en particulier les frites du fastfood de Beacon's wood. J'ai pas de préférence au niveau des couleurs, peut-être le rouge, j'aime m'amuser avec mes amis mais ce que j'aime par dessus tout, c'est embrasser ma copine.

Je m'approche d'elle et colle mes lèvres aux siennes, quand je décolle mon visage du sien, elle sourit. Je veux la voir touts les jours sourire. Ce magnifique sourire qu'elle affiche sur ses lèvres en ce moment même.
On continu toujours de parler un peu de tout et de rien. Je sors de quoi manger. Moi, perso, je dévore mon pain, j'en suis déjà à mon deuxième sandwichs alors que Spencer n'a toujours pas finit son premier. C'est parce j'ai faim que je mange vite.
Quand on fini de manger, je m'allonge sur le dos et je regarde le ciel. Il y a pleins de nuages et le soleil brille beaucoup. Je ferme les yeux quelques secondes et je sens le poids de Spencer s'étaler sur moi. Elle a posé sa tête sur mon ventre, je passe ma main dans ses cheveux puis on reste comme ça au moins 10 bonnes minutes avant qu'elle se redresse et se retourne vers moi, puis se penche au-dessus de moi, en appuyant légèrement sur mon ventre en posant ses avants-bras.

Sp- Quand j'étais petite, -je devais avoir l'âge de 5 ans-, moi et mon père allait dans le jardin de la maison où j'habitais puis on regardait les nuages et on disait chacun notre tour ce qu'on voyait, puis j'ai grandi et avec le temps on ne passe plus trop de temps ensemble.
S- Faisons le, ensemble.

Elle se remet sur le dos puis on commence à dire tous ce que l'on voit dans les formes de nuages. Le temps passe super vite, il est déjà bientôt 16 heures et le temps qu'on le temps qu'on rentre, il sera dans les alentours de 18 heures.

S- Je suis vraiment désolé, je vais complètement gâcher ce moment mais va falloir qu'on retourne à la réalité.
Sp- Tu as raison. Allons-y.

On remballe la couverture et tout le reste, puis on se dirige vers ma Jeep. Avant de démarrer le moteur, je regarde une dernière fois le paysage vert, puis je finis par allumer la voiture et on part pour au moins 2 heures de route.

On s'en sortira? (en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant