CHAPITRE 8

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(photo: les montagnes de l'histoire)

La légende des montagnes... Mais qu'est ce que c'est ?

"Zoé de quoi il parle quand il dit "égorger avec des griffes" ?me demanda Julie pour briser ce lourd silence

-Peut être de l'animal qui l'a attaquer, suggérai je un peu à l'ouest

-J'ai l'impression que tu me cache des choses Zoé...j'ai raison ?

-Oui tu as raison...".

Jamais je ne lui raconterai mon gêne mais je peux peut être lui parler de mon adoption sans montrer la lettre bien sûr.

"Je t'écoute, me dit elle en me fixant

-j'ai été adopté...".

Elle me regardait avec des yeux ébahie. Elle exigea toute l'histoire alors je la lui raconta sans prononcer les mots "lettre", "loup-garou" ou bien "meurtre". Je lui expliqua la blessure causer par un "animal", l'adoption improviser de mon père et lui dit également que Adrien avait lui aussi était adopté. A la fin de mon récit elle me regardai avec un regard que seule elle avait le droit de me lancer: un mélange de compassion et de tristesse.

"J'suis vraiment désolé, me dit elle enfin en me prenant les mains, j'aurai dû être là pour te remonter le moral

-Antoine était là t'en fais pas, dis je en forçant un petit rire, et puis je l'ai appris le soir donc j'allais pas te déranger

-M'en fou de l'heure je pourrais être là à 12h comme à 1h, me dit elle fièrement

-Parce que t'es la meilleure, soufflai je en la prenant dans mes bras

-Pour la peine tu viens à la maison se soir et c'est pas négociable, me fit elle en croisant les bras sur sa poitrine

-Très bien madame Castiel je serai là".

Nous rentrâmes chez moi pour préparer mon sac et repartîmes vers la maison de Julie. Etant des froussardes, nous avons demander à ma mère de nous déposer, ce qu'elle fit sans hésiter.

(Ellipse du trajet)

En entrant dans la chambre de mon amie je découvris un bon stock de gâteaux, de chocolat et autres conneries de ce genre. Nous nous regardâmes et sourîmes en même temps. On ne voulait pas penser à cette journée plutôt inhabituelle. Nous ne parlâmes pas de la légende, ou de l'homme, mais nous nous concentrâmes plutôt sur le film que nous regardions: fast and furious 7. Un pur chef d'oeuvre !

(Ellipse du film et de quelques heures)

Je regardai mon téléphone: 3h46, je ne dormais pas. A côtés de moi Julie dormait à point fermer. Les paroles de l'homme restaient imprégner dans ma tête et ça me torturé l'esprits de ne rien comprendre. Comment a t-il pu me rencontrer ? Je n'ai croiser que des chasseurs la dernière fois et il n'était pas dedans... Mais comment est-il au courant ? Et c'est quoi cette légende ? Mon cerveau est en surchauffe, mon cur bat vite, trop vite. Je m'extirpa de ma couverture et sortis par la fenêtre sur la pointe des pieds. Max n'est jamais là quand j'ai besoin de lui...

Au même moment j'entendis des pas derrière moi. En me retournant je vis Max, un air grave collé sur le visage.

"Qu'est ce qu'il y a ?demandai je doucement en me rapprochant

-Zoé il faut qu'on parte...tous ensemble, dit il en appuyant sur les derniers mots

-Ensemble c'est à dire ?...

-Toute la meute

-Quand ? dis je angoisser

-Dans une semaine tu devras être prête à partir, me dit il en s'approchant

-Mais pourquoi ? dis je un peu perdue

-Je t'expliquerai tout c'est promis mais il faut partir avant

-Julie devra venir, décrétai je

-Et pourquoi ça ?

-Elle seule révèle mon côtés humain et m'aide à me contrôler, essayai je

-Et si je refuse ? me dit il avec un petit sourire

-Je ne partirais pas, déclarai je en croisant les bras. (Il semblait hésiter)

-Très bien c'est d'accord, conclut il en commençant à partir

-Attend deux minutes, l'arrêtais je

-Quoi ?

-Tu me diras tous ce que je veux savoir ? Promis ?

-Tout ce que tu voudras maintenant va dormir

-Oui chef, dis je en ouvrant doucement la fenêtre

-A demain princesse".

Ai-je bien entendu ? Princesse ? J'aime bien, je pourrais y prendre goût. Je referma la fenêtre et me glissa sous les draps aux côtés de Julie, qui dormait comme un bébé. Partir, mais partir où ? Et pourquoi ? Il se passe quoi ici ? C'est plutôt flippant de ne rien savoir... Dés demain je raconterai tous à Julie dans les moindre détails. Je n'aurai plus de secrets pour elle, je déteste lui mentir autant. Mon cerveau tournait à deux mille à l'heure, je vis le sommeil m'emportait doucement. Je fermai les yeux et tomba dans les bras de Morphée.

(Ellipse du matin et du midi)

Dans ma chambre je faisais les cent pas, inquiète. Comment réagirait-t-elle en apprenant la vérité ? Elle me fuirait certainement... Être séparer d'elle c'est comme couper mon cur en deux: impossible de survivre. Les coup contre ma porte me sortis de mes pensées.

"Oui ?

-C'est moi, me dit Julie

-Vas y entre, m'empressai je

-Alors dis moi tout tout tout, dit elle en insistant

-Alors puisque je ne sais pas comment te raconter tout ça je suis aller chercher la légende des montagnes et on va lire ensemble O.K ?

-D'accord allons y".

Je tapai sur le moteur de recherche le nom de la légende et cliqua sur un lien.

"La légende des montagnes

Cette histoire débute dans les Alpes, dans un endroit cacher de tous. Il y avait là bas 4 jeunes amis: Peter, Marie, Suzanne et Pierre. Les jeunes gens étaient très doués pour s'attirer des ennuis ensemble et cette nuit là, ils ne l'oublieront jamais. C'était un soir d'automne, il régnait une atmosphère lourde et étouffante. Les amis avaient décider ce jour là de partir découvrir les alentours des montagnes. Ils montèrent au sommet de la plus grande montagnes et s'arrêtèrent près d'un vieux chênes centenaire. Ils connaissaient la légende de ce chêne mais ne la prenant pas au sérieux, coupèrent les branches pour faire un feu. Cet arbre était en réalité le puissant symbole d'un esprit angélique: Agaria, déesse du surnaturel et du fantastique.

La déesse ressentit la douleur du chêne et se précipita sur Terre. Elle vit le feu de camps et les jeunes rigoler et danser. Prise de rage par tant d'irrespect, Agaria se matérialisa devant les 4 jeunes gens. Débordante de haine, elle leur jeta un sort irréversible qu'ils transmettront malgré eux de générations en générations. Les amis virent pousser au bout de leurs doigts des griffes, sentirent des canines dans leur bouche et sentirent des picotement dans leurs yeux. Des loup-garou, voilà leur punitions après avoir oser blesser le symbole du ciel, le symbole de la déesse des montagnes. Peter devint un alpha de feu, Marie une alpha d'eau, Suzanne une alpha de terre et Pierre un alpha de l'air.

Chacun se dirigea vers une montagne, et les montagnes portent dés à présent leurs noms. La morale de cette histoire est la suivante: l'irrespect sera toujours rattraper par le destins.

Des centaines de loup-garou vivront dans les années qui viendront et auront tous le même but: rattraper les échecs, sauver des vies, venger les morts innocentes."

Des griffes et des crocsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant