Et si le coeur t'en disait?

Une autre chance?

BONNE ANNÉE TOUT LE MONDE 🎉

(j'aime le fait que je sois plus de 18 jours en retard, mais bref)

Je voulais prendre quelques secondes pour vous remercier de lire mon histoire, ça me touche beaucoup! Comme mentionné au début, je ne sors jamais mes textes pour les publier, c'était ma première fois! Je dois avouer que j'aime ça, beaucoup même ! 😉
Bref, sans vous retenir plus longtemps, voici la suite de ma fanfict!

Pardon pour mon inactivité je suis parfois un peu en manque d'inspiration... J'espère que vous comprenez! 😘

J'essaie de composer une réponse par message texte, mais aucun mot ne vient à mon esprit. Comme si soudain, ma peine s'emparait de mon cerveau.

Je sais que je l'aime encore Antoine au fond de moi. C'est la relation qui m'a le plus atteinte.
Mais le problème, c'est qu'à force de s'accrocher à quelqu'un aussi intensément, on en fini toujours déçu.
C'est ma mère qui m'a toujours appris cela.
Pourtant, elle qui est si heureuse aujourd'hui.

Je soupire puis décide d'appeler Karl, le bon Jack du groupe. Il a eu des amours compliqués lui aussi et je sais qu'il pourra m'aider à y voir plus clair.
Car à l'intérieur de moi, ce n'est qu'un trou béant. Un gros mélange d'émotions. J'ai pensé consulté un psy mais je n'ai pas la force de me laisser guider par un inconnu. Ni l'envie d'ailleurs.

Karl me répond surpris. Notre conversation est courte mais sincère.
Il sait qu'Antoine m'aime encore plus que tout, il a sombré dans la dépression en raison de la peur de me perdre.
Il s'est expliqué avec Julianne et ne veut rien de plus que de l'amitié.
Karl m'a dit d'écouter mon coeur, comme tout le monde dirait.
Mais je me suis laissée guider.

J'ai appelé Antoine, il a répondu aussi rapidement que je l'ai appelé.
Il s'emblait à bout de souffle.
On s'est donnés rendez-vous dans un petit café à Montréal qu'on avait l'habitude d'aller avant.

Je suis arrivée 5 minutes d'avance et je me suis installée à une table. Peu après, Antoine est arrivé.
Il était encore plus beau que dans mes souvenirs.

Je voyais son regard triste et en même temps une petite lueur d'espoir.
Je sentais qu'on vivait la même chose.
J'ai pris la parole en premier. Je ne crois pas avoir été déjà aussi directe avec lui.
Il m'a écouté sans dire un mot.
Il s'est confondu en excuses, encore une fois.
Il m'a dit qu'il était prêt à tout faire pour me ravoir. Je sais que n'importe qui peut me dire cela mais j'ai vu le combat qu'il voulait pour me gagner.
Je suis allée aux toilettes pour y réfléchir.
2 minutes ont suffi et j'avais pris ma décision.