La coloc || CD

O

Le grand aéroport de New York est immense je viens tous juste de passer les contrôles de sécurité  que je me sent envahi par la foule. J'ai perdu mes valises qui ne sont pas arriver j'ai fait un pataquès à une hôtesse d'accueil afin qu'elle fasse quelque chose, elle a passer beaucoup d'appel puis elle m'a annoncer que mes valises n'étaient pas dans le bon avion, elle a passée encore des appel m'a fait signer un vingtaine de papier et a fini par me dire que si tout ce passe bien j'aurais mes bagages en fin de semaine prochaine. Je m'éloigne du guichet d'entrée, mais recesis-toi MERDE soit forte un peu Abby tu peux dépasser ça, ai une réaction mature, ne t'effondre pas au premier problème, respire, reste ZEN tous vas bien.

Je n'arrive pas a joindre Sidney qui était sensée venir me chercher à l'aéroport. Je regrette déjà d'être partis. Je décide d'aller me chercher un Starbucks et de me poser dans un coin.
Mon téléphone se met a sonner, je fais un geste brusque et me reverse mon gobelet dessus SUPER je lâche tous pour répondre à mon appel:
"- Allô ?!
- Salut Abby c'est Sidney, je suis chez moi, je dois garder ma fille la nounou est malade. J'ai envoyer ton coloc venir te chercher
- Ah... Okay...
- Désolé vraiment, c'est nul de ma part
- Ne t'inquiète pas je vais me débrouiller.
- Il m'a dit qu'il t'attendrai dans le HAUL A, normalement il devrait être arrivé, à l'heure qu'il est.
- Ok j'y vais !
- D'accord, encore désoler envoie moi un message quand tu l'auras trouver
- Ok merci bonne après-midi !"
Je raccroche, je suis au bord de la crise de panique. Pourquoi as tu fais se voyage Abby tu sais très bien que tu ne sait pas te débrouiller toute seule !!!
Je me dirige vers le HAUL A il y a un nombre incalculable de chauffeur en costard tenant une pancarte avec écrit je ne sait quel noms extravagant. Je ne sais pas qui chercher à vrai dire je ne sais même pas quel âge à mon colocataire ni rien, enfaite je ne sais absolument rien. T'es quand même drôle Abby dans la lettre que tu as fait à papa et à maman tu leur dit que tout est planifier, que rien n'est laisser au hasard alors que depuis tout à l'heure rien ne se passe comme tu l'avais prévu. Ferme la conscience !

Je m'écarte du troupeau pour respirer un peu d'air neutre. J'inspecte les alentours et vois un vieux monsieur qui cherche quelqu'un des yeux c'est peut être lui ! Mais il se fige sur lui même et se met à sourire comme un con quand une vieille femme bien trop maquillé lui saute dans les bras. Je désespère et fini par m'assoir sur un banc. En face de moi un beau jeune homme un petit peu plus vieux que moi tien une feuille à l'envers je me plis le cous et fini par lire "ABBY MA NOUVELLE COLOCATAIRE" je souris et m'avance vers lui...