Chapitre II

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Je baillais de nouveau et m'étirais. C'est à ce moment là que je compris que je n'étais pas attaché. J'avançais vers la sortie, non chalament. Le garde brodé de jaune. S'accouru et me mis arme dans mon dos en me disant de ne pas bouger sous peine de tirer, je me retournais, de toute façon ce n'était qu'un douze millimètre ça ne ferais pas grand mal. Je le fixais dans les yeux, ils se demandait pourquoi je n'avais pas peur, il ne devait pas être au courant. Une soudaine envie de bailler m'envahis. Alors je lui baillas dessus, il n'appréciait pas. Mais il ne tirais pas, alors je tournais les talons
et parti. Plusieurs gardes se mirent enjous devant moi et m'interpellaient, je ne pouvais les conter vu leurs nombres.
Je ne m'arretais pas. Ils tireraient, je decallais la tête. alors toutes les balles s'écrasaient sur le mur.
Ils s'agissaient d'un type de fusil à pompe à une cartouche, environ quatres secondes trente-trois pour recharger. Mais je detestais quand les gens tente de me faire du mal, alors j'arrachais un morceau de bois qui dépassait d'une vielle poutre porteuse en eben sur le côté, ce qui me faisais une sorte de pique à glace. Ils finissaient de recharger, alors je pris appuie sur le mur de gauche et tua le premier d'un coup de pique dans la tempe droite, ils s'écroule puis je craqua les servicales du plus proche et tomba sur son compère. Ils en restaient alors douze, je lechais mon piquet, il avait un sang O+, je m'en contenterais. Les autres me regardaient appeurés, l'un d'entre eux s'évanouit et les autres fuyaient.
Je sortais, alors de la prison, puis escalada le mur. Un autre détenu me suivi, un chauve au grand air, un petit mètre soixante-trois. Il grilla au contact du grillage. Ça me donnais envie d'un hot-dog.

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