Brainless

Chapitre XII

Pour une fois je me reveillais doucement et sans mal. Masha toujours collée à moi, dormant et bavant sur mon pullover.
Je la déplaça délicatement pour rejoindre le salon. Je me posa alors sur le sofa puis alluma la télévision, la première chaîne ne diffusait que des informations en temps réel, la deuxième et la troisième de la propagandes, la quatrième diffusait l'histoire du pays tandis que la cinquième tranmettait des dessins animé pour les enfants, avec des massages de propagande dissimulé ici et là.
Je restais sur la première chaîne et regarder les informations durant trois bonne heures, ils parlaient de la soi-disante grandeur du parti en place, des guerres et guerria au bordure frontalière du pays, le dirgeant élu démocratiquement avec cent pourcents des voix, des hommes dit politique se disputait si il fallait augmenter ou baisser le taux de natalité chez les femmes puis vint le tour du projet anti-SCP, ils ne disaient que peu d'information sur lui qui n'aurait pas déjà été évoqué Hier. Seulement, ils ajouterent qu'une fois la cible SCP trouvée elle serait éliminée par cet être chirugicalemt conçu. Ils répétaient à tue tête qu'il était dénué de défaut et que rien ne pourrait le nuire.

Le clocher sonna les neuf heures et Masha sortit de la chambre les poings aux yeux, la bouche baillente et les Cheuveux en chiffon.
Avec son regard matinal vitreux elle me demanda si mère grand était levé, je ne m'étais pas posé la question, alors j'allais dans sa chambre et ne la trouvis pas, donc je cherchais à la cuisine et je la vit préparer à manger, l'odeur n'était pas désagréable et la forme ressemblait beaucoup au gâteaux de type Cookies que l'on ne ne trouvait plus, sûrement interdit par le régime politique en place. On s'installa à la table en mangeant ses cookies avec du lait de chèvre. Masha avait du mal à manger proprement et elle en avait mis partout autour de sa bouche. Mère grand la sermona avec de vieux mot de l'ancien temps tout en lui essuyant la bouille. Masha et moi laissèrent un petit rot de satisfaction.

Quelque vingt minutes avant de partir, Mere grand me disait qu'elle ne pensait pas revoir Masha et m'en remerciait, elle disait que comme tout Brainless, nous avions des dons différent. Masha pouvait sûrement rendre les gens heureux et les rassurer quoi qu'il advienne, quant à moi, elle me contais que j'etais un cas appart et que j'etais pourvu de parfaite caractéristique quant aux qualités cérébrale que corporel et physique. Cela paraissait facile dit ainsi le répétait-elle. Mais la vérité était exposé et inebranlés.
Mère grand pris sur son bureau un revolver et me le donna, il était plein.

On repartit sur l'asphalte et nous devions trouver cette base que je ne saivais comment la débusquer. Il fallait donc que ne reste attentif à la moindre information.

On arrivait à Grosseland sans encombre particulier. Je m'encastra dans une voiture pour me garer et des ballons blanc s'extirpaient du volant et des sièges. On sorti et la voiture fumait légèrement.
J'avais encore en tête cette immonde musique soit disante populaire, composé de terme et parole des bas quartier que j'avais entendu en prison et dans pauvres banlieues.

On était rendu au centre ville et là, nous pouvions entendre des pas et chant de l'armé en démonstration, ou bien une ronde mais cela me paraissais gros tout de même.

Je remmettais ma capuche et Masha sur mes epaules qui là encore ne voulait pas marcher. Mais cela ne me derangeais pas plus que cela.
On approchait les onze heures et demi du matin, quand tout à coup un fort vrombissements se fit entendre, un hélicoptère de l'armée se montra et se stabilisa au dessus d'un immeuble là où dessendaient en rappel quatre militaires lourdement armé avec une arme de poing et un Samaf*, un dernière homme descendit du l'engin volant, il n'était pas armé, grand, blond, musculeux et pantalon militaire couplé de bottes cirées noire et d'un marcel puis recouvert d'une casquette verte d'officier. Il avait des cicatrices et des sutures au niveau de ses bras nue, sûrement partout sur le reste de corps également. Il me posa un regard froid et déterminé. Je posa Masha au sol et il serra les dents tandis que je me grattais le nez qui me demangeais depuis cinq bonnes minutes.

*Samaf (ouai c'est un Famas en fait hein. Mais comme ça se passe dans un monde imaginaire tout doit être cohérent).