Chapitre IX

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Je baillais fort et longtemps, serrée contre moi, Masha et sa peluche. Le train venait de s'arreter et c'est cela qui m'avais sûrement réveillé. Maintenant que j'y pense, Masha se comportait comme une enfant plus jeune que son âge mais a une connaissance et psychologie digne d'un adulte.
J'entendis alors un des gars disant à un autre à un autre que nous étions arrivé Grosseland.
Je tappota la petite tête de Masha qui se reveilla difficilement, une fois sur pied, entre les caisses et les cartons on se leva et attendis que le porte s'ouvre. Deux homme se montraient et l'un d'entre eux, brun avec un uniforme gris et jaune, des bottes noires cirées. J'avançait doucement en  contournant les caisses, quand le deuxième partit avec son chariot plein de boîtes et caissons, l'autre me tournant le dos, il avait un talkiwalki à la poche, ne prenant pas le risque d'être repéré, je mis un sec coup de paume dans sa nuque, il tomba lourdement au sol, je mis ma capuche et prena Masha sur mes épaules. On marchais le long du quai en cherchant la sortie.
On sortie dans la rue et on entendait énormément de son et bruit drivers, des voitures et piétons en passant par les tramway et marchand qui vantaient leurs produit à tue tête. Une marre de foule s'entendait tous aux alentours. Masha avait très faim me disait elle, mais nous n'avions plus d'argent, enfin si mais seulement pour acheter un simple Kunder...
Alors je m'approchais d'un homme qui m'était de dos, son porte feuille dans la poche arrière droite. Je lui subtilisa rapidement et pris l'argent à interieur, il y avait 4 billets de monnai équivalente, donc ça me faisais alors 80. Je lui remis son porte feuille dans sa poche mais soudement il se retourna, il s'écria:
- Non mais c'est qu...
Il devint blanc comme un cachet à ma vue. Silence radio, on aurait dit une statue. Il était blond aux yeux gris avec un herpès bien développée. Je le remercia et reparti.
À la vue de l'épicerie je dis à Masha de descendre et de mon dos et d'aller acheter ce qu'elle lui plaisait car avec moi les gens deviendrait blanc et ne me repondrait plus. Alors elle s'éxecuta. Je m'adossa au mur en l'attendent. Quand elle fut revenu, elle avait pris deux sandwichs jambon beur pour moi, un éclair au chocolat et une bouteille d'eau pour elle.
On se remit en route. Dans la foule supergéante de gens plus ou moins semble et différent il devrait être compliquer de me retrouer et de m'embêter. Mais quelque minutes plus tard, apres avoir traversé le pont se situant devant la place du marché à droite de la mairie, des sirènes de type force de l'ordre retentissant avec un aigüe crève-tympan. Des policiers en tenu de service bleu aux bottes noir cuir et horné d'un képi. S'armaient de leurs 8mm. Ils semblaient chercher quelque chose, ou quelqu'un. Les voitures se stopèrent et je mavança Masha sur les épaules vers les agents pour leurs demander ce qu'ils avait l'air de chercher. L'officier, décoré de bandelettes verticale rouge sur ses longues manches. Me remarqua et pris d'un air proccupé la parole en parlant à son subordonné:
- Que veux cet homme?
- Savoir ce que nous cherchons. Dit-il.

Il pris alors une voix grave et pensive. - Nous cherchons un homme dangereux. Avant même qu'il ne prononce la suite, je vis en lui qu'il s'agissait de moi.
Suite à cela il me m'ordonna d'enlever ma capuche car cela l'offençait. Quand il aperçu mon visage, ses mousatache grise se crispèrent et ne dit plus un mot.
- Qu'avez vous officier Duckers? Avez vous vu un fantôme. Dit un agent.
- C'est lui! Rétorqua immédiatement le papi.
Il gueula à tue tête de m'attraper et de mettre les civiles à couvert.
Alors je lui mis une claque magistrale pour qu'il arrête de me siphonner mes tympans. Il tomba sèchement au sol une larme à l'œil.
Masha me suggéra de partir dans la ruelle à côté d'une boucherie, passer entre les civils était simple. Des policiers me suivaient hurlant à leurs tours.
On fini dans un cul de sac. Après une course effrénée...

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