Esclave d'un Prince ZIAM

chapitre 18

C'est un cauchemar dite moi que c'est un cauchemar! Dite moi que des gardes bedonnant Puan l'alcool n'est que le produit de mon imagination et qu'ils ne sont pas vraiment en train de me déshabiller pour l'un et m'enfoncer sa queue dégueulasse dans ma bouche pour l'autre. Pourtant quand le garde me gifla tellement fort a m'en faire rougir la joue après que je lui ai mordue la bite, je compris fataliste que ceci était la réalité et que d'un prince je suis passé a des gros porcs. Putains de karma de mes deux ou alors est-ce parce que dans une autre vie j'aurais volé la sucette d'une petite fille et l'aurai peut-être même violé après pour que je passe mon temps maintenant à me faire prendre sans mon consentement.
Liam: non ,non !
Je criais et implorais mais peu importe mes pleurs personne ne vins. Un des gardes força l'entrer de ma bouche avec sa queue et commença de violent va et viens m'étouffant presque alors que l'autre commençai a deziper son pantalon, puis baisser pantalon et son caleçon. Je serrai fort les mains en poing et malgré que je gigotais je sentis mon entrer être titiller. Des larmes infinies coulaient le long de mes joues et je perdis tous espoir qu'on me sauve. Je mordis durement la queue tant pis pour l'autre, quand je sentis qu'il poussait plus fort et quand je crus que je serais de nouveau souillé, la pression disparu de même pour le truc dans ma bouche puis suivi des plaintes de douleur et des hoquets de surprise. En ouvrant un œil je découvris le prince plus impressionnant que jamais, une rage sans nom courait sa peau. C'était limite si ses yeux ambre ne devenais pas noir tellement il s'assombrir. Les deux gardes était tous les deux assommé dans un coin de la pièce, dans une posture de parfaite douleur.
Liam: prin-prince couinais-je piteusement, les larmes ne voulant s'arrêter.
Le prince ne m'adressa pas un regard par contre il alla jusqu'au gardes et leurs administra a chacun des coups chaque fois plus violent et de plus en plus précis allant de la tête à l'entrejambe. Il allait les tuer !
Je voulu me lever mais je fus prit d'un vertige qui me fis tomber pitoyablement au sol
Liam: princ...ce essayais-je de l'appeler avant de tous simplement m'évanouir.

Une main douce et chaude me réveillait de manière totalement agréable. En ouvrant les yeux je tomba nez à nez avec les yeux ambre du prince.
Prince Z: ça va ?
Liam: eu oui que s'est-il passé
Demandais -je complètement perdu
Les yeux du prince se durcirent et il serra les poings
Puis comme un putain de boomerang tout me revins en pleine gueule sans même que le prince ai à m'expliquer. Comme si des mains fantôme appartenant au gardes continuait de parcourir mon corps je fus pris de tremblement et comme un rejet de mon esprit, je me penchai sur le côté et vomis le peut que j'avais eu dans les cachots. Le prince passa sa main dans mon dos et me le caressa gentiment attendant que je me vide
Ce qui fut le cas après 10 bonnes minutes. des servantes arriver je ne sais quand se jetèrent à terre pour nettoyer le sol et me donnèrent un verre d'eau pour au moins avoir quelque chose dans l'estomac même si ça ne doit être que de l 'eau
Prince Z: je vois que tu t'en souviens mais ne t'inquiète j'ai régler le problème ,viens essaye de te lever.
Je fis comme demander car ce n'était pas une demande mais bien un ordre. Je me tins avec mal sur mes pied, je pris la tunique rouge carmin que me tendais un servante et lui donna la sale. Puis je suivis le prince qui marchait de façon assez pressé comme si un cadeau l'attendait dans une autre salle, pourtant il s'agissait d'une surprise pour moi ,j'essayais de ne pas penser au garde ou mon estomac ne garderais pas longtemps l'eau que j'avais avaler. Après des minute qui me parure des heures dans cette immense palais il finit par s'arrêter sur ce qui semblait être un balcon. Mettant plus de temps, je pus voir le prince trépigner d'impatience que j'arrive puis quand ce fus fait il me pointa quelque chose du doigt en bas. Je me rapprochai jusqu'à la limite puis jeta un coup d'œil vers ce qu'il me montrait et je m'étranglai avec ma salive.
Oh mon dieu !