Aequilibrium: Où se rencontrent les anges

Chapitre 14 ( partie 2 )

Hey ! Merci à toi qui est entrain de lire cette partie, j'espère qu'elle te plaira et si c'est le cas n'hésite pas à me le faire savoir :) Il m'a fallut pas mal de temps pour pondre cette deuxième partie mais je vais essayer de poster un peu plus régulièrement maintenant que les examens sont passés! En tout cas merci encore une fois et j'espère que tu passeras un bon moment . Bisous ! :D 

CHAPITRE 14 ( partie 2)

Je tâtonnais le sol sablonneux, tentant de trouver quelque chose auquel me raccrocher. Mais il n'y avait rien d'autre que du sable et des graviers. Tout d'un coup, alors que j'étais à bout de souffle, la pression se relâcha et je retombais au sol, faible.

« Georgia ! »

C'était Clément. Que faisait-il ici ? Il devait s'enfuir ! Je voulais lui crier de fuir, de courir, de me laisser et de sauver sa peau mais tout ce que je parvins à faire fut de tousser bruyamment.Les secousses accentuaient la douleur que je ressentais depuis qu'Arzhel m'avait lâché.

J'étais étalée par terre, incapable de faire le moindre mouvement. Dans un ultime effort et avec toute la force qu'il me restait, je tournais la tête en direction de Clément. Il tendait son pistolet de service en direction d'Arzhel, qui ne semblait pas le moins du monde effrayé.

Arzhel s'approcha à pas réguliers de Clément, la tête haute, le regard confiant. La cage thoracique de Clément montait et descendait rapidement, il semblait sur le point de reculer, il baissa la tête et lorsque nos regards se croisèrent, il esquissa un faible sourire et fit un pas en direction d'Arzhel, la mâchoire serrée.

« STOP !Arrête-toi sur le champ ou j'te tire dessus ! Je rigole pas ! »cria t-il

Arzhel était à moins de cinq mètres de Clément. Il ne s'arrêtait pas et accélérait même. Clément semblait perdu. Un coup de feu retentit. Arzhel s'effondra.

Clément courut à mes côtés et m'aida à m'asseoir.

« Georgia !Ma poule, ça va ? Enfin question con, je vois bien que ça va pas mais ça va aller maintenant, d'accord ? Je suis là, on va t'emmener à l'hôpital »

Des larmes roulèrent sur ses joues et il esquissa un grand sourire. Je sû que quelque chose n'allait pas lorsque son sourire disparu, il tourna de l'œil et tomba sur le sol, à côté de moi. Arzhel se tenait derrière lui, il expira bruyamment et regarda Clément.

« Putain,il a troué ma veste ce connard ! »

Il n'était pas mort. Pour être parfaitement honnête, il semblait êtreen pleine forme.

« Qu'est-ce...que... pour... quoi ? » tentai-je d'articuler péniblement

Illeva les yeux au ciel et m'assena un violent coup de pied au visage.Le parking devint calme, le vents'arrêta, le monde s'éteignit.

Je me réveillais avec un violent mal de tête, j'étais désorientée.J'ouvrais les yeux mais mon œil gauche était tellement gonflé que je le refermais instantanément .J'étais attachée à une chaise enfer, les mains derrière le dos. La corde qui attachait mes jambes était tellement serrée que je ne les sentais plus.

La pièce dans laquelle j'étais ressemblait à un garage, la lumière était faible mais je parvenais à distinguer une armoire en métal bleu, plusieurs bidons blanc sans étiquettes, une scie à métaux,beaucoup d'outils rouillés de tout genre et des seringues remplies.Ce n'était pas bon signe.

J'étais seule et j'espérais le rester le plus longtemps possible pour pouvoir trouver un moyen de m'enfuir. Je tentais de me concentrer malgré la douleur que je ressentais, mon corps était aussi sensible qu'une plaie ouverte.