Chapter fifteen | part three

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PDV ALYA

Après avoir terminé la discussion par télépathie avec Jeff, je me reconcentra sur le vieux pervers qui était au dessus de moi.

En même temps c'est vrai, il existe depuis des millions d'années, alors il n'est qu'un gros pédophile.

- Alors, tu acceptes de devenir mon proxy ? Me dit-t-il d'une voix sensuelle.

Attend que je réfléchis... non, non et non.

- Et si je refuse ? Le provoquais-je.

Il faudrait peut-être que j'arrête de provoquer les gens, en particulier les violeurs.

- Comme tu le souhaites, tu vas en payer les conséquences.

À mon plus grand étonnement, il se releva et se dirigea vers la porte de sortie.

Bon, au moins, je ne me ferais pas violer, c'est déjà ça.

- Nina, appela-t-il, tu veux t'occuper d'elle ?

Oh non, pourquoi cette poufiasse ?

En fait, je préfère qu'il me viole.

Il se retourna vers moi, un grand sourire qui montra toutes ces dents pointus.

- Je n'ai jamais apprécié la torture, et encore moins devoir le faire sur toi. Alors, Nina va le faire à ma place. Que ça doit être excitant deux magnifiques femmes couvertes de sang.

Je roula des yeux devant cette remarque, tandis que Ninapute arriva dans la pièce.

Offender lui murmura quelque chose dans l'oreille, et il me fit ensuite un clin d'œil, avant de sortir, refermant la porte.

Avec son sourire narquois dans sa gueule élargie, elle s'approcha de moi telle une bête chassant sa proie.

Je viens tout juste de remarquer les outils de torture en tout genre sur ma droite.

- Alors, tu as refusée de devenir proxy ? Dit-elle en prenant au passage un canif.

- Je n'ai jamais refusée, répliquais-je, je lui ai juste demandée ce qui arrivera si je dis non.

Elle fronça les sourcils tout en tournant le canif dans ses doigts, ce qui me donna la pression.

- Bah, maintenant tu le sais.

Avec un élan, elle essaya de rentrer le canif dans mon ventre.

Mais puisque mes pieds n'étaient pas attachés, j'ai eu la brillante idée de lui donner un gros coup de pied dans le visage, ce qui lui fit sortir un juron tout en se tenant le nez.

Je souria bêtement en la voyant dans cette position.

- Connasse, comment tu oses toucher mon magnifique visage ! Grogna-t-elle, le nez en sang.

- Je crois que ça doit faire quelques années que tu ne t'ai pas regardée dans le miroir, dis-je, cachant difficilement mon rire.

Moi, creepypasta ? [en réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant