9 fois, 10 fois elle arrivera drapée de blanc dans cette Forêt méconnue. Porte le collier de sang. Elle aura la protection et elle le devra le protéger en retour.
Elle tombe sur terre. Elle a plus de 20 mille ans. Elle est d'une beauté époustouflan...
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Je visualisai, la rose venir vers moi. Je la visualisais. S'envoler, flotter dans l'air tel une plume qui se balance. Puis, j'ouvris les yeux, la rose était en suspension dans le vide. Elle volait ! Je clignai des yeux, trop bête pour comprendre ce qui se passait. Je refermai les yeux et continuais à visualiser cette rose se déplacer lentement mais surement. Je l'imaginais se déposer dans mes mains, placer côte à côte quand je sentis la vrai se déposer sur ma peau. J'ouvris les yeux voyant cette fragile fleur dans mes mains. J'avais une envie intense de sautiller comme une fillette.
Je laissai mes souliers et mes bas à leur place. Je partis à la marche rapide vers la porte de ma chambre côté jardin. Je rentrai dans ma chambre, déposa la fleur sur ma commode et partie chercher mes sœurs.
La rosée avait mouillé mes pieds et je faisais de petites marques de pied partout dans les corridors. Je trainai ses maques de pied jusqu'au petit salon ou mes sœurs et lady Agnès parlaient. Je rentrais dans la pièce comme une sauvage en ouvrant les 2 portes grandes ouvertes. Mes sœurs me dévisageaient. Lady Agnès était estomaquée par le geste que je venais de poser et moi je m'enfonçais encore plus creux en disant avec mon ton de voix surexciter
« Je l'ai trouvé »
Lady Agnès se leva choqué, frustré et déboussoler. Corélia, elle se leva et me poussa hors de la salle. Pour sa part, Néha resta dans la salle démêlant les bêtises que je venais de commettre.
Corélia me serrait le poignet en me trainant dans ma chambre et tout cela à une vitesse extrême.
Arriver dans la chambre elle se mis à me gronder
« Qu'est-ce qui t'a pris !? »
« Tu aurais pu ruiner notre couverture »
« Une chance que Néha est là pour réparer tes bêtises » à ce moment-là je n'étais vraiment dans les faveurs de Corélia. Elle se tue à l'arrivée de Néha qui ressemblait plus à un chef aux yeux de Corélia qu'a une sœur.
- Alors que voulais-tu nous dire? Me demanda Néha.
Je partis chercher la rose. Mes sœurs ne comprenaient guère l'importance de cette rose.
- La première partie elle est à l'intérieur. Mais les pétales sont clos.
- Ce n'est pas un problème. Me dit Néha. Peux-tu aller me chercher une bassine Cordé?
Corélia était revenu avec une bassine remplie d'eau. Mon aîné fit signe de déposer la fleur dessus l'eau. J'obéis aussi tôt! Déposent cette fragile chose dans cette eau tiède. Je n'avais guère l'envie de la briser. Néha demanda à mon autre soeur de faire un feu doux à partie de ses paumes de main.Tout cela était tellement impressionnant. Ça ne prit qu'un court laps de temps que la fleur était ouverte ! Les pétales du centre recouvraient un objet brillant. C'était un pendentif, il était argenté. Le pendentif était rond, le contour était assorti de petit diamant . Mais il manquait la pièce du milieu la plus importante quoi ! Néha et Corélia s'échangeaient un regard puis elle me donna des consignes. Par la suite, elles partirent me laissant seule avec le pendentif incomplet. Puis je retournai au pays des rêves. C'était simple, ce rêve me ferait penser au jardin de la maison. Je m'avançais entre les jacinthes et les pétunias. Mon cœur battait la chamade puis j'entendis une voix.
< quitte se manoir nous sommes en danger > nous se mots résonnais dans ma tête.
- Qui ça, nous ??
Ma question fut sans réponse et je me réveillai dans ma même chambre. J'étais là à pourrir sur mon lit quand j'entends des hurlements. Je me levai d'un bon et courut voir ce qui pouvait se passer. Je suivais les Cries de dame qui retentissait partout dans le manoir. Je finis par arriver à la porte d'entrée. Puis je vue ... s'était épouvantable ! Le corps d'une jeune servante. Le crâne explosé par la chute de 6m du 2e balcon. Il y avait du sang partout. Ses mains en étaient pleines puis des roses étaient étalées dans son sang. Cette vision me disait vaguement quelque chose. Puis se souvenir refit surface. Le mystère s'enfonçait encore plus. Je ne pouvais pas avoir ces réponses non. Juste plus de mystère et maintenant de la souffrance. Si une des visions que j'avais eues la nuit d'avant s'était réalisée le serait-elle toute?
Je voulais fuir, fuir ce manoir maudît. Mes jambes branlaient. Le poids se retrouvait sur mes bras. Mon cœur battait à mille à l'heure. Je sursautais au moindre bruit.
J'avais PEUR !!! Je retournai dans ma chambre et ferma la porte à l'aide du verrou. Je tirai la grosse malle dans laquelle étaient tous mes effectifs. J'y enfonçai mes robes qui étais accroché dans ma penderie
< fuit pendant qu'il est encore temps. Sauve-nous !!> j'étais terrifié. Une femme morte, le crâne explosé, les roses sur ses mains mortes. La voix qui me dit que je ne sais d'où elle provient.
J'étais assis sur ma malle, pour la fermer quand mes sœurs entraient dans la chambre. Elle était surprise de me voir assis sur ma valise de manière, disons peu commode ! Je ne leur dis qu'une chose à cet instant précis.
- Je fuis
Mes sœurs étaient estomaquées par la réponse que je leur avais transmise.
- Vite aller faire vos valises. Dis-je sur une voix stresser et paniquer.
- Pourquoi ? demandaient-elles.
- On doit se protéger. Vite
Vite fut le dernier mot de cette conversation avant d'entendre d'autres cris. Puis cette satanée voix me dit de me dépêcher.
Ma sœur aux cheveux roux était partie avertir le clocher. Durant ce temps, j'essayais tout bien tout mal de pousser ma valise vers la porte du jardin. Bien, la réalité c'est que je ne peux pas pousser quelque chose d'aussi lourd.
Je fermai les yeux, instaurais la paix dans mon esprit. Visualisa la valise lever dans les airs et flotter en direction du jardin. En ouvrent les yeux la malle était en suspension dans les airs. Justqu'a ce qu'un autre hurlement qui me fit perdre ma concentration. Mon cœur se remit à battre la chamade. Mes sœurs arrivaient porte-jardin sur de superbes chevaux.
- Lâche tout et monte.
Obéis sur l'adrénaline du moment. Monter sur cette bête n'était pas une chose naturelle chez moi, mais je finis par y arriver. Je voulais partir loin et ce cheval m'aidait à y arriver.
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SALUT LECTEUR, sorry pour le retard problème de temps. j'espère que vous avez aimer. écrivez un commentaire ou déposer un vote si ses le cas.
