chapitre 14 : la solitude pour la vie

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Chapitre 14

La solitude pour la vie

Le dénie montait en moi, cela ne se pouvait pas. Passée la porte d'entrée. Le paysage était calme. Aucun corps et aucun flux de sang. Ce qui me rassura pour un bref moment. Je couru dans le premier corridor que je vue, ce qui me déboucha sur la cuisine.

Le corps de la jeune fille de cuisine que j'avais rencontré gisait sur le sol. Le dénie se transforma en tristesse, après avoir levée les yeux et vue le corps de la cuisinière et d'un valet. Je couru à toute vitesse vers le salon. Le temps d'ouvrir la porte du salon, un fond d'espoir c'était inséré en moi bien que ma raison fût déjà désespérée depuis longtemps.

À l'ouverture de la porte, je vis les murs brulés, mais le pire était les corps de mes sœurs transpercées par de nombreux coup au niveau du tronc. Quelques cadavres de villageois étaient étendus par terre : un était brûlé et l'autre on aurait dit qu'il s'était noyé sans avoir été dans un lac. Cette vue morbide fit monter la tristesse en moi, des pieds à la tête. Me rabaissant. Un poids insoutenable empoigna mon cœur. Je n'avais que comme seul envie, l'envie de crier. Alors je criai le plus fort que je pue. Toute les particules de cendres qui arpentaient le plancher se mis à voler dans les airs de façon nullement délicate.

La tristesse se transforma en colère prenais de plus en plus d'espace dans mon cœur. À ce moment précis, une telle force implosa en moi que nul aurait pu m'arrêter. Toujours debout à regarder ce massacre. Je me remis en marche vers l'extérieure.

À l'aide de mes deux bras et d'une pelle, je fis de profond trou. Assez de trous pour mettre toutes les victimes du massacre. J'aurais aussi pu aussi bien me morfondre sur mon sort traqué. Tous les auteurs de se chaos, mais à quoi bon jeté supposément le bon sur cette terre. Et si le bon côté se laissais envahir par la colère que pouvais-t-il arriver à cette terre ? Donc, j'assumai les derniers événement et déposa les dépouilles dans les trous. Je pris des objets de valeur plus quelque s'habit et partie.... 

 

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Étoile de la-haut :  le collier de sangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant