Chapitre 9
Courir ou mourir
Il courait comme un acharné, hurlant de l'attendre. Quand je la vis, lui traverser le cœur! Une flèche venait de traverser le cœur de ce bel inconnu. Mon cœur avait subi la même chose, mais moi aucune flèche ne m'avait transpercé. J'étais sur ce cheval avec comme seule envie d'aller voir la dépouille du jeune homme cela ralentissant mon allure.
Nous avions fini par nous arrêter dans une vieille cabane à l'orée des bois. Elle était sale et puait, mais nous étions en sécurité. Personne ne parlait. Nous étions toutes les 3 centrées sur nos pensées. Dans ce silence effrayant, j'entendais le vent et les feuilles se frotter les unes contre les autres. Mais le pire était le froid glacial de la demeure. Je me suis vite tanné. Sortie de cette épouvantable maison et embarqua sur mon cheval et partie. Les filles me suivaient ne sachent quoi faire de mieux.
Nous ne nous étions pas arrêtés de chevaucher depuis la petite maison, nous étions rendus au manoir.
Il était chaleureux et calme. Les couleurs étaient vives, et tout était reposant. Je courus vers la porte et cognat comme une folle. Le major d'homme m'ouvrit la porte. Je le bousculai et partis dans la direction de ma chambre.
Je ne connaissais guère le chemin pour me rendre dans ma chambre, mais me perdre serais mieux que de rester dans un silence de misère avec mes sœurs, qui ne quitte le plancher des yeux pendant de longues heures en se demandant qui parlerais en premier.
Le corridor principal était long et ennuyant. Il était orné de vieille peinture de personne décéder et de paysage terriblement troublant. Je continuais mon périple juste qu'a sentir une merveilleuse odeur. Je suivais cette odeur juste qu'a un escalier en colimaçon qui descendait vers je ne sais où ! Je suivis se chemin et arriva dans une chaleureuse petite cuisine. De petits bancs étaient installés devant un comptoir garni de pâtisserie. Je m'installe sur un de ses bancs. Sorti le pendentif et le roula sur mes doigts, l'examinent de plus près pour trouver le moindre indice.
Puis d'un coup j'entendis le bruit de petit soulier sans talon et une douce voix approcher. Je Figea sur place me disent <tu es en sécurité> je l'étais, mais les souvenirs ne quittais les images que je pouvais voir quand je fermais les yeux. Je fini par voir le visage de la porteuse de cette voix douce. Il y avait une fille d'une vingtaine d'années. Elle resta choquée me voient dans la cuisine la plus âgée se redressa et fit un grand sourire et me salua.
- Je suis désolé je ne devrais pas être ici. Dis-je en me levant du tabouret.
- Non, ne vous excuser pointe madame.
- Oh ne m'appeler pas madame mais Étaine.
- Oh oui bien sur lady Étaine ! Dit-elle désoler.
- Quels est ton prénom ?
- Je m'appelle Tarence. Je suis cuisinière ici.
- Jolie prénom. Dit-je
- Que faite vous dans les cuisine lady Étaine ?
- je me suis bêtement perdu et bien je réfléchissais. Sur ce bête pendentif qui ne veut pas s'ouvrir. Jeune femme Avança vers moi. Tourna le médaillon dans mes doigts et ouvris un petit compartiment à l'arrière
Elle s'approcha passivement de moi pour me montre. Le pendentif s'ouvrir comme une petite boite deux photos était poser sur les coter. Je criai au revoir et parti ! Puis réfléchissais ne bougent d'une pousse et me retournais
- Ne seriez-vous pas où est ma chambre.
La jeune fille hacha de la tête puis l'accompagna juste que dans ma chambre. Elle me laissa sur le seuil de la porte telle un cavalier qui raccompagne sa princesse à son château. Mais je n'avais pu de prince et je n'étais guère une princesse a peau parfait agissement à la pointe des guides d'usage et je ne pouvais savoir quelle fourchette utiliser lors des soupers et je ne savais faire une révérence qui avait de l'allure.
Je rentrai dans ma chambre. Oublie de regarder la nouvelle décoration. Je m'assois sur mon lit enseveli par les nouveaux événements, je n'avais la force de toute façon pour bouger. Temps de personnes étaient morts, car je voulais venir à bout de cette maudite énigme, j'aurais dû fuir plus tôt. Mais, trop tard, ils sont morts !
J'écoutais le chant des oiseaux qui partaient pour l'hiver. Je sentais l'odeur de l'hiver. Je sentais le vent souffler sur mon visage. Je voyais de délicats flocons de neige descendre du ciel et qui disparaissaient une fois touchées le sol. L'hiver arrivait à grands pas. ....
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salut, désoler pour le retard problème de correction.
j'espère que vous avez aimer
prudy
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Étoile de la-haut : le collier de sang
Fantasy9 fois, 10 fois elle arrivera drapée de blanc dans cette Forêt méconnue. Porte le collier de sang. Elle aura la protection et elle le devra le protéger en retour. Elle tombe sur terre. Elle a plus de 20 mille ans. Elle est d'une beauté époustouflan...