Il parle, juché sur son pupitre face à une centaine d'étudiant. Je suis étudiante en seconde année en LLCE Anglais, je passe environ 7 heures par jours de ma vie à attendre cet homme. Il est grand, blond, avec une légère barbe, sa chemise blanche souligne une musculature saillante sans être omniprésente. Sa voix, sa prestance, il me captivait avec son petit accent British. Mister Polster était tout bonnement le professeur le plus sexy de cet face sans aucune concurrence réelle.J'étais toujours au premier rang lors de ses cours, je courais même afin d'avoir les meilleurs places afin de savourer les effluves de sa voix et de capter chaque mots prononcés par ses lèvres si appétissantes.
Je sais, je fantasme sur mon prof, un cliché parmi d'autre chose, une jeune étudiante charmée par son prof si sexy que l'histoire en devient indécente et ils finissent contre le bureau du fameux professeur, j'avoue ce serait tentant. Pourtant malgré mon cynisme je ne me prétend pas différente, il m'attire, beaucoup et cela depuis ma première année ici. La fin de ces heures de bonheur est annoncée, la cloche retentit et les étudiants quittent progressivement l'amphithéâtre.Alors que je range mon ordinateur ainsi que mes notes, mon professeur m'interpelle :
« Mademoiselle, je viens de corriger votre devoir, une critique de Hamlet, il fallait oser pour être convaincante à mes yeux, et vous venez de l'être,c'est constructif et argumentés, vous chamboulez la vision d'un amateur d'Hamlet, soyez fière de vous, c'est du bon travail .
-Merci, vraiment, j'avais peur de paraître ridicule avec des arguments pareils mais visiblement ça vous plaît, alors oui je suis fière de moi, au revoir et à jeudi. »
Je quitte le lieu,sautillante tellement je suis heureuse de ma note.
Pendant le reste de ma journée, je suis souriante et épanouie, en repensant à ma notebien sûr mais aussi aux compliments de mon professeur. Sa façon de me sourire pendant qu'il me parlait de mon devoir m'a chamboulé jusqu'au fin fond de mon âme.
L'attente pour le revoir me paraît interminable, chaque nuit je pense à lui, en train de me toucher, de m'embrasser, et pleins d'autres choses. Des nuits de transe qui semblent empirer au fur et à mesure du temps qui passe.
Jeudi matin, enfin, je rentre dans l'amphithéâtre, vêtue de ma plus belle robe, je fais attention à ma tenue à chaque fois que je suis sûre de le croiser,il parle avec un groupe d'élèves et me sourit en me voyant m'approcher de ma place habituelle. La sonnerie retentit, le cours commence et je suis déjà éprise de ses paroles....
«-Et n'oubliez pas de lire le plus vite possible ce passage afin de l'analyser chez vous,vos partiels approchent et les lectures obligatoires ne le sont pas pour faire jolies sur vos étagères...Mademoiselle Merlin je voudrais vous voir s'il vous plaît.
-Monsieur ? Un problème avec mon analyse ?
-Au contraire, je ne peux qu'en saluer la qualité, à vrai dire je viens plutôt vous proposez quelque chose.
-Je vous écoute.
-Et bien voilà...ma nièce est au lycée, en première littéraire, et elle peine vraiment à se mettre au travail en littérature anglaise. Je voudrais savoir si vous accepteriez de l'aider en lui donnant des cours, oh vous seriez rémunérée bien sûr, et puis entre jeunes filles le courant pourrait passer et vous êtes très charmante...
-Oh, euh...oui il faudrait juste que je puisse la contacter elle ou votre sœur afin d'en savoir plus, surtout savoir si elle veut de mon aide.
-Bien sûr, tenez voilà le numéro de ma sœur, elle ne travailler pas aujourd'hui au cas où vous auriez du temps pour l'appeler.
-Merci alors d'avoir autant confiance en mes capacités, je la contacte au plus vite et je vous tiens au courant. Au rev...
-Il y a également mon numéro, pour me tenir au courant. »
Toute la journée, il avait obnubilé mon esprit, j'avais son numéro dans ma poche, il me donnait accès à lui, certes pour sa nièce mais il me l'avait donné,pleins de films tournaient dans ma tête, des images de ce moments me revenaient en tête, et ce jusqu'au soir..
Allongée dans mon lit, je caressais le papier du bout des doigts, j'avais contacté il y avait de cela une heure, la mère de ma future élève, Katie avait des difficultés que son oncle et sa mère tentaient de résoudre, et les deux s'étaient mis d'accord sur le fait que je pouvais aider le jeune fille. Il m'avait demandé de le contacter sitôt mes engagements pris, pourtant j'hésitais, qu'est ce que je pouvais lui dire. A ma montre il était 19h30, mon professeur était sûrement encore présent dans l'établissement. Je pris alors mes clés, sorti de chez moi pour aller en direction de la fac.
Arrivée devant la porte,je vis de la lumière sous celle-ci. Je pousse alors la porte doucement, mon professeur est de dos, fouillant dans sa sacoche pour en sortir des documents. En descendant les marches, je tousse légèrement pour me faire entendre, il se retourne pour faire face.Son sourire, ses lèvres son regard, je m'enflamme et là le choc. Je m'avance, sans retenu, et je plaque mes lèvres sur les siennes. Pris par l'élan, je le pousse contre le bureau. Il ne me repousse pas, au contraire, ses mains se referment sur mon dos pour me coller à lui.Je ne pense plus à rien, mon désir a pris possession de mon corps et ma raison est envoyée vers les abysses.
Il passe sa main dans mes cheveux et je finis assise sur son bureau. Son envie est dure entre mes cuisses, ses mains agrippent mes fesses, nous ne sommes que deux corps bouillonnant de désirs. Ma main caresse son torse sous sa chemise, que je finis pas déboutonner, sa peau veloutée est douce et imberbe. Je sens ses muscles sous ma paume, il est doux et en sueur. Il embrassa mon cou pourtant sa course sur mon corps est arrêtée par mes vêtements.
Le tissu devient son ennemi, ennemi qu'il élimine sans pitié, mon haut rejoint le sol, ainsi que mon soutien gorge. Ses paumes agrippent mes seins, il titille la pointe,et je frémis, c'est bon, enivrant, il est sans pitié quand il les prend en bouche pour les sucer et les mordiller. Mon entrejambe est déjà en feu, je le veux en moi, sans tarder. Lui est dur, son érection doit être douloureuse tellement elle est tendue, je déboutonne son jean, et tire sur son caleçon
« Tu es sûre ? »Je ne répond pas, évidemment je suis sûre, je descend alors du bureau pour m'agenouiller et le prendre en bouche, il étouffe en râle, et tire sur mes cheveux quand ma langue caresse les endroits les plus sensibles. Il comprend mon envie, je le retire dans ma bouche, sitôt plaquée contre le bureau, mes seins écrasés contre le bois, il retire mon short ainsi que ma culotte.
Il entre enfin en moi, il est imposant, voire énorme, je suis comblée, il ne bouge pas,atteint que je le demande. Que je m'habitue, je veux qu'il bouge qu'il me fasse atteindre l'orgasme, j'ondule des hanches. Il embrasse la peau à l'arrière de mes oreilles et l'orchestre débute la symphonie. Il me plaque sur le bureau, agrippe mes hanches et ses coups tombent, sans répit, il me pilonne littéralement, je suis tétanisée sans force, je veux juste jouir, il grogne et gémit. Je me contracte autour de son sexe, mes muscles se crispent, ma bouche s'ouvre et l'orgasme sort, je hurle, lui aussi.
Je n'ai plus de force, je m'écroule contre le bois, il atterrit sur moi, nous sommes vidés..Mon professeur et moi...nous avons...oh mon dieu !
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Petits scénarios du soir
RandomPetits scénarios du soir raconte divers fantasmes masculins et féminins; deux jeunes étudiants passionnément amoureux , un dominant et sa jeune élève à la découverte du plaisir , un étudiant voulant remercier la jeune fille lui offrant des cours de...