Petits scénarios du soir

X

Je salue mes potes près de la piscine, Tom mon meilleur pote prend la bouteille de champagne et s'éloigne vers la cuisine. Ce soir c'est la fête, environ une centaine de jeunes se dandinant près de la piscine. Il est minuit passé, beaucoup d'entre eux sont bourrés et les gémissements au premier témoignent des abus de la soirée. Je croise alors mon ex,elle est en maillot de bain vert échancré et me regarde félinement en se mordant les lèvres. Cette fille est cinglée, juste en manque de sexe, et visiblement seule ma bite semble la calmer. Je l'ignore royalement et je me dirige vers le buffet pour prendre un verre.

Près du bar, une fille assise sur un tabouret sirote un coca light. La belle est brune, une cascade de cheveux déferle dans son dos, elle porte une robe au dessus du genou, noire avec un dos nu dévoilant une sublime chute de reins. Je m'installe à ses côtés :

« Un mojito pour moi, et pour mademoiselle ?

-Je vais m'en tenir au coca light, merci. »

Elle n'ose pas me regarder dans les yeux mais je devine un sourire gratifiant sur son beau visage. A travers les cheveux qui le cache, je devine des belles joues rondes, un regard en amande où de magnifique perles vertes trônent au centre. Malgré la foule autour de nous j'ai l'impression de ne voir qu'elle, son odeur possède des effluves douces de vanille, elle est légèrement maquillée et tout bonnement attirante. Je sens mon entrejambe se tendre doucement, elle m'excite.

« Un coca light alors, je suis désolé de te paraître lourd, mais je te trouve très jolie, c'est la première fois que je te vois ici, non ?

-Je suis effectivement pas habituée des soirées mais mon amie m'a traîné ici, donc je me fais aussi discrète que possible et je l'attend.

-C'est dommage, je pense que des tas de mecs voudraient danser avec toi.

-Pour ensuite me peloter et essayer de me mettre dans leur lit ? Non merci.

-Et bien si je ne peux t'inviter à danser, ça te dirait de monter à l'étage pour parler dans un coin tranquille ?Il y a une terrasse isolée au premier.

-Huuum, d'accord pour parler ça me va. »

Je la mène jusqu'à l'escalier en lui indiquant la direction à prendre en arrivant en haut. Lorsqu'elle gravit les marches, je ne peux m'empêcher de détailler la longueur et la courbure de ses jambes, mon regard remonte jusqu'à ses fesses qui sont moulés dans sa robe. Elles sont rondes et fermes. Ma bite se dresse encore plus contre le tissu, bordel !

Arrivés à la terrasse, je prend deux fauteuils que je place côte à côte, elle s'installe et moi aussi. Nous regardons le ciel en parlant de tout et de rien. Elle est charmante et intelligente, cultivée sans être rabat joie.

Parfaite ne semble même pas être une exagération pour la décrire, mon dieu je deviens romantique et ça c'est pas normal. Je la regarde alors, elle est pensive et ne me regarde pas,je détaille ses cheveux, ses yeux tournés vers le ciel, sa bouche pulpeuse et ses lèvres délicieuses.

Je ne peux pas résister plus longtemps, je pose ma main sur son avant bras, elle me regarde surprise, et je m'approche doucement d'elle, je ferme les yeux et je l'embrasse. Délicatement au début, pour sentir son consentement, elle ne me repousse pas quand mon autre main se pose sur ses côtes, ni quand ma langue quémander sa bouche.

Nous nous relevons et je la colle contre moi, mon érection grossit et dans se faire sentir car nos bouches se détachent. Elle me regarde, son regard est doux, tendre. Et là,elle me surprend. Elle m'embrasse sauvagement plaquant mon dos contrela rembarre. Ma main se pose sur ses reins dévoilés, sa peau est douce, sans défauts. Je descend alors ma paume baladeuse que je pose sur ses fesses. Ses mains caressent mon torse par dessus ma chemise,dont elle ouvre les boutons. Je me détache d'elle, prend sa main et l'entraîne dans la première chambre venue.

J'ai envie d'elle, mon érection en devient douloureuse, il faut que je touche son corps qu'il soit contre le mien. Je verrouille la porte et la jette sur le lit, je retire sa robe, dévoilant un tanga en dentelle noire, pas de soutien gorge pour me cacher sa poitrine. Celle ci est ronde et ferme, et plus que désirable. Je retire ma chemise entre-ouverte et mon pantalon, je suis en caleçon face à elle qui ne me paraît plus aussi timide.

Elle se mord la lèvre de désir, sa peau en est recouverte du fine couche de sueur, ses joues sont rouges d'envie.Elle me désire et moi. Je m'allonge sur elle, mes mains dans ses long cheveux, je l'embrasse pleinement heureux contre elle. Ses mains caressent mon dos et l'une descend sur mes fesses. Je lui donne un dernier baiser avant de descendre.

Ma bouche suçote son cou et y laisse une légère marque rouge et j'attaque sa poitrine. Sa peau douce et son téton gonflé de désir sont humidifiés par ma salive et elle se tord sous ma langue.

Elle appuie sur mon crâne me demandant intimement de descendre encore. Huum, elle veut que je la goûte, alors j'obéis.Ma bouche sillonnent de baisers son ventre, ses côtes. Je retire le tanga humide au niveau de l'entrecuisse. Sans attendre, je plonge et embrasse son intimité, elle est trempée, ma langue lèche chaque recoins chaque parties d'elle. Elle gémit, jouit même. Elle m'implore, supplie, elle me veut en elle.

Cette fille m'hypnotise, elle est belle, sexy, m'a impressionnée par son intelligence, bordel, mon entrée en elle est accueillit par un jouissement puissant. Je la laisse s'habituer à moi, elle m'attire contre sa bouche, et j'entame de lents vas et viens. Nous respirons fort, nos corps en sueurs frottent l'un contre l'autre. J'écarte ses cuisses pour entrer plus profondément en elle. Elle hurle littéralement, je voudrais la prendre plus loin,plus fort, c'est un réel besoin. Je jouis en elle, mes muscles tétanisés, je suis épuisé, mes yeux comment à se fermer. Elle m'embrasse, puis s'endort dans un dernier soupir d'extase. Je me retire d'elle, déposant un baiser sur son front. Je rabat la couverture sur nos deux corps, et la prend dans mes bras. Je n'ai jamais connu un pareil plaisir avec du sexe brutal, avec de la baise.Avec elle, c'est différent, c'est doux, je m'endors son corps contre le mien épuisé et reput.