XII

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Le bruit du flash retentit, la photo est prise. Son beau visage aux traits fins est mémoriser dans mon appareil. Photographe de profession depuis un peu moins de cinq ans, je m'occupe à capturer les traits envoûtants de la jeune mannequin face à moi.

De l'autre côté de l'appareil, la jeune fille blonde semble timide. Elle est si belle, malgré tous les visages que j'ai vu, toutes les femmes qualifiées de « Modèle » qui ont été photographié ici elles les surpassent toutes, et de loin.

Elle est blonde, des yeux d'un vert si profond avec de légères effluves dorées, son visage est pure, sans défauts,elle est petite pour son métier, et face à moi uniquement vêtue d'un drap de soie et couvertes de fleurs fraîches.

Je reste malgré tout professionnel face à cette beauté, lui indiquant les poses à prendre selon les revendications de son agent, les expressions à adapter. Puis comme c'est ma signature, je lui demande d'être « elle-même » pour cette dernière photo, photo que je garde dans mon book.

Celui-ci est rempli de portraits, de femmes souriantes, de jeunes mariées radieuses, d'homme qui affiche une mine décontracté pourtant tirés à quatre épingles, de duos complices ou qui jouent la dualité. Il y a de tout et c'est unique,c'est mon métier.

A la fin du shooting, je remercie chaleureusement le jeune mannequin et lui indique la pièce pour qu'elle puisse se changer. Elle sourie face à ma chaleur et part se changer. Je ne m'inquiète pas en voyant les minutes défiler, les mannequins passent parfois une heure avant de ressortir pimpantes et fraîchement maquillées. J'entend la porte s'ouvrir derrière moi tandis que je range mon matériel de photographie. La seule chose qui me tire de mes occupations c'est sa main sur mes reins.

Je me retourne alors, elle est face à moi,totalement nue, ses lèvres sont gonflées de désirs et ses joues rosies par la gêne, elle s'approche de moi et dépose ses lèvres sur les miennes.

Surpris, plusieurs secondes se passent avant que jene réagisse, je répond à son baiser en appuyant ma bouche contrela sienne. Mon sexe gonfle légèrement et mon érection se réveille face à se corps nu.

Elle me pousse alors contre le canapé du studio.Assise sur mes genoux, nous nous embrassons avec passion, je caresse ses cheveux, son dos et ses côtes. Elle tire sur mes cheveux et gémis en m'embrassant, c'est putain d'agréable.

Je descend alors mes mains dans son dos et agrippe ses fesses entre mes mains. Elles sont douces et musclées, la belle demoiselle défait alors les boutons de ma chemise en continuant de m'embrasser, je me retrouve alors torse nu et les pointes de ses seins frottent contre mon torse, je bande encore plus.

J'inverse alors les positions, elle est maintenant sous moi, je retire ma chemise que je jette au sol, je défait ma ceinture et mon pantalon atterrit quelques mètres plus loin. En caleçon et entre ses cuisses, elle caresse mon érection à travers le tissu, celui-ci est tiré et elle baisse le vêtement.

Ses mains douces entrent en contact avec la peau rougie et tendue de ma bite, sa main caressant mon membre est un délice. Je me penche alors sur elle, prenant l'un de ses seins dans ma bouche, je suce celui-ci, en mordille les pointes, les malaxent,le mannequin en dessous de moi, gémis, respire bruyamment, elle peine à avaler sa salive.

Ma main descend alors entre ses cuisses, mes doigts frôlent son clitoris et entrent en elle. Elle est chaude et déjà tellement humide pour moi. Un doigt puis deux caressent son être.Elle gémit encore plus fort, m'implore de la prendre, ici et maintenant.

J'écarte ses cuisses, et cette fois c'est mon être qui entre en elle, elle frémit et jouit presque aussi immédiatement,je ne bouge pas pour la laisser s'habituer à moi. Ses hanches se soulèvent réclamant les miennes. Je bouge alors lentement mon bassin.

D'une lenteur atroce, « Plus vite, bon sang plus fort ! » je ne l'écoute pas, je la regarde m'implorer, être si proche mais si loin de l'orgasme, elle semble désespérée dans cette océan de plaisir, ses yeux se ferment, le moment parfait. Je lève ses hanches et la pilonne littéralement,mes coups de reins sont brutaux, assoiffés de sa chaleur, j'en veux plus c'est inassouvissable.

Je jouis en elle dans un râle, elle se mord les lèvres et hurle une dernière fois avant de s'endormir paisiblement.Nous sommes en sueur, je m'allonge contre elle, et je plonge moi aussi dans un profond sommeil..

Petits scénarios du soirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant