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"Allô?
- Salut euh... c'est le gars de toute à l'heure j... j'voulais savoir ce qu...
Ta eu mon numéro OÙ?! je criais
-Oh calme toi, j'suis pas méchant wsh
J'me calme pas tu vas faire quoi?
-Je vais te détendre toi je voulais juste me renseigner vasy bye."

Le mec me raccroche au nez, tant mieux j'en ai rien à cirer je vois pas pourquoi ça l'intéresse autant.
Et je n'en parle à personne même Camélia n'est pas au courant. Je me sens trop différente face à ça. Je pense lui en parler bientôt mais pour l'instant je suis pas prête.

"27 mars 2014

Toi tu savais, et tu es toujours le seul garçon au courant de ce poids que je porte tout les jours. Et tu étais le seul qui pouvait me toucher avec attention, et tendresse. Je te récris plus tard quelqu'un toc à la porte et il n'y a personne chez moi, je t'aime.
Reviens.."

Je file vers la porte d'entrée, et en ouvrant je te vois. TOI. Tu es là, devant moi, tes cheveux décoiffés, tes joues rosées et tes beaux yeux en train de me contempler comme la 8ème merveille de ton monde.
"Je peux entrer? S'il te plaît.. Sa voix tremblait.
Mais euh oui oui entre."
ET MERDE. Il est là. Je ne comprend pas. Il entre et je ne peux pas bouger. Je suis paralysée, de joie, de bonheur, de tristesse, de colère, de haine , de tout les sentiments imaginables dans ce monde. Je le regarde partir en direction de ma chambre mais je reste là, accrocher à la poignée de la porte. Soudain je sens, ses mains se posés sur mes hanches alors je relâche toute la pression et je bascule en arrière, mon corps est flasque et Mathias prend peur il ne m'a jamais vu comme ça. Il me porte comme si j'étais sa princesse, je ne peux même pas me retirer à cause de mon manque de force remarquable. Il m'allonge sur mon lit, je reprend mes esprits petit à petit.

Tu vas mieux? dit-il
OUI BIEN SÛR TU RÉAPPARAIS COMME ÇA L'AIR DE RIEN, TU SAIS QUE JE NE SUPPORTE PAS TON ABSENCE ET TOI TU REVIENS QUAND ÇA TE LE CHANTE JE N'ACCEPTE PAS QUE TU ME CROIS À TA DISPOSITION MATHIAS JE T'AIME PLUS QUE TOUT ET MERCI D'ÊTRE REVENU T'ES UN BEAU CONNARD !! dit-je en criant
Je suis venu t'annoncer quelque chose, pas te pardonner. Cracha-t-il sèchement

Et je le regardais blanc dans les yeux, immobile, le souffle couper. Jamais il ne m'avait parler comme ça. Son regard était noir mais ses yeux triste. Des larmes apparu dans nos yeux respectives pendant que mes mains tremblaient de plus belle. C'était mauvais cette nouvelle. Si il ne venait pas me pardonner c'était grave, trop grave. J'avais peur, j'avais mal. Malgré tout, le pincement de mon cœur était moins intense, sa présence me calmait un minimum.
J'étais  confuse, pourquoi une apparition aussi soudaine et une nouvelle aussi importante?
À ce moment là, il ne parla plus. Il me prit dans ses bras, chose qu'il n'avait pas oser faire depuis le début de notre connaissance.
Je sentais son cœur battre contre le mien. Cette sensation me procura le bonheur que j'enviais à toutes ces filles tactiles.

Le bonheur speed.Where stories live. Discover now