Suite chapitre 1

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J'ai tout de suite réveillé Jacinthe qui c'était endormie devant Violetta comme d'habitude. J'ai sorti mon scooteur du garage (je crois que je n'avais jamais vu autant de poussière sur un seul objet, mais bon il fallait faire avec sinon c'était plus d'une heure et demie de route à pied jusqu'à l'hôpital). Je n'avais pas encore tout raconté a Jacinthe j'avais trop peur qu'elle tombe en dépression, comme la semaine après le décès de notre grand-père de qui elle était très proche ou encore lorsque qu'elle avait appris que sa meilleure amie avait une maladie qui lui bouffer l'os du bras gauche et qu'elle garderait cette maladie a vie.

Pour l'instant ce qui m'inquiétais le plus étais le coma de ma mère. Quand nous somme arrivées Jacinthe a commencé à me poser des questions alors je lui ai répondu que papa lui expliquerait ce qu'il se passait. Nous somme rentrées dans le hall de l'hôpital où papa m'avait dit de l'attendre. Nous avons attendu dix minutes puis j'ai vu mon père arriver vers la sortie des ascenseurs. Il nous a sautés dans les bras et Jacinthe qui ne comprenait pas s'est mise à pleurer (ce que je redoutais est arrivé). J'ai donc expliqué à mon père que je n'avais rien dit à Jacinthe et là il m'a presque hurlé dessus parce que je n'avais rien dit. Il m'avait tellement énervée que je lui ai demandé le numéro de la chambre de maman et il ne m'a pas répondu alors je suis allée à l'accueil. Quand j'ai écouté un homme demandait la chambre de « Laure Desfleur » (oui parce qu'en plus d'avoir un prénom de merde j'ai aussi un nom de merde). Alors sans réfléchir j'ai pris l'homme par le bras ; à vrai dire il n'a pas du tout apprécié.

- Tu te prends pour qui sale gosse m'a- t-il dit.

- Je suis sa fille et elle est dans le coma alors allez-vous faire voir, je ne sais pas qui vous êtes en plus alors je ne vous laisserai pas l'approcher.

Là l'homme est devenu blanc et mon père est arrivé en courant tout du moins en essayant car avec une jambe dans le plâtre ce n'est pas bien facile de courir et l'homme a dit une dernière phrase avant de partir et surtout avant que mon père n'arrive :

- Je euh... je repasserai la voir pl.... plus tard !!

On aurait dit qu'il avait vu un fantôme puis mon père est arrivé vers moi il était devenu tout blanc comme s'il allait mourir, mais il n'a rien dit sur cette homme à part qu'il ne fallait jamais que je l'approche car il était dangereux. Puis je n'ai pas cherchée à demander le numéro de la chambre de ma mère je suis rentrée à la maison car j'étais trop perturber par ce qui venait de se passer pour rester.


L'amour mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant