Chapitre 8 : Un plan presque parfait, si ...

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Nous étions vendredi et demain aller se dérouler notre plan. J'étais stresse mais Ilian me rassurer en me disant qu'il ni aurai personne donc que je n'avais aucun soucis à me faire. Je ne pouvais m'empêcher de me dire que quelque chose aller mal tourner demain mais je mis se pressentiment dans un coin de mon esprit et me reconcentrer sur le film que nous regardions en ce moment même dans la chambre d'Ilian, il avait voulus mettre «Annabelle» même si au final c'est lui qui flippait et moi qui rigolais. J'étais fatiguée de ma semaine et je crois que c'est quand l'ascenseur (dans le film) commença à s'ouvrir et se fermais que je tombai dans les bras de Morphais. Ce matin je me réveillai dans les bras confortable d'Ilian, celui-ci me regarder un grand sourire aux lèvres puis m'embrassa. Nous sommes descendus déjeuner et avons passé la matinée à discuter de tout et rien. Madina venait de partir avec les enfants et Ilian, Alonzo et Nathan étais partir après le repas chez un de leurs potes.

Je décide donc d'aller fouiller le bureau de Miguel, le temps qu'il était partie. Il n'y avait personne dans la maison. Je m'approchais petit à petit de la porte du bureau quand mon téléphone ce mis à sonner. C'était Aglaé, je fis un renvoie d'appel. Je continuais. J'étais arrivée devant la porte du bureau. Je mis la clef dans la serrure et la porte s'ouvrit. Le bureau était comme dans mes souvenirs. Grand avec un bureau dans le fond, un canapé rouge devant, une tête de buffle au-dessus d'un placard derrière le bureau. Je commençais à me diriger vers le bureau, et ouvrit le premier tiroir. Dedans se trouvait une bouteille de jacks daniel's et un couteau. J'ouvris le deuxième il y avait des range document alphabétique. Je commençais à prendre le premier dossier un dossier en A bien sûre. Son nom «Annalena». Mais avant que je ne puisse l'ouvrir une personne m'attrapa la bouche ce qui m'empêcher de pouvoir crier. C'était une main d'homme, je ne sais pas son âge, mais il avait de la force. Je sentais une autre main mais elle n'était pas sur ma tête mais sur mes seins puis elle descendait petit à petit le long de mon ventre. Je commence a pleuré sachant pertinemment ce qui allais m'arrivée. La personne me retourna violement contre le bureau, putain il portait un masque (bas oui abrutis tu à crus que le mec qui allais te violer aller en plus de te montrer son visage écrire en gros sur une pancarte son nom). Il plaça ses mains sous ma robe quand il les plaça sur mon legging qu'il fit descendre le long des mes jambes. Je me débattais de plus mais rien à faire, il avait plus de force que moi. Puis d'un coup il m'arracha ma culottes, je pleurer mais personnes n'entrait dans se maudis bureau. J'étais pétrifier et mes cris étaient étouffer par cette énorme main. Je n'écouter rien, mes oreilles bourdonnais puis d'un coup j'écoutai un bruit de ceinture puis de fermeture éclair, puis plus rien. L'homme releva ma robe et je senti quelque chose se briser en moi. Je savais qu'après cela je ne serais plus la même. Un coup, deux, trois, quatre, cinq, six et le septième, le coup de grasse, celui qui me fit m'écrouler au sol et ne me fit jamais relever. Jamais je ne m'en relèverais. Je le vis se rhabillé, puis il partit en me laisse seul, c'est je que j'ai toujours étais de toute façon. Je suis restée là pendant bien vingt minutes à fixer un point imaginaire. Au bout d'un certain temps, je me suis relevée, j'ai reposé le dossier et je suis parti. Je suis rentrée dans ma chambre en faisant bien attention de la fermée à clés, je m'assois sur mon lit et me mis a pleuré encore et encore sans pouvoir m'en arrêter. Je me relève et décide de faire ma valise, je ne voulais pas rester dans cette maison, j'avais trop peur que l'homme revienne. Il était quatorze heure trente quand je rappelle Aglaé. Quand elle me répondit je lui ai juste dit «vient me cherche je t'en supplie» et j'ai raccroché sans attendre de réponse de sa part.

Dix minutes plus tard, Aglaé étais devant la maison. Je l'attendais assises sur le trottoir le regarde dans le vide. Je mis mon sac à l'arrière de la voiture et je monte ensuite sans rien dire. Elle me parlait mais je ne l'écoutais pas trop perdus dans mes pensées. Elle démarra donc et au bout de dix minutes nous étions arrivées, elle sortit ma valise et je la suivis jusqu'à son appartement toujours sans rien dire. Elle s'inquiété cela se voyer sur son visage. Puis je partis m'enfermée dans sa chambre d'amis et je m'endormis.


L'amour mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant