La confrontation sans pitié

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Je n’arrête plus de penser à Damen depuis l’autre soir, mon addiction est revenue. Je ne pense qu’à lui j’ai même rêvé aussi à lui tout le week-end.

Et je suis sûr que ce n’est pas réciproque pour lui, j’ai fait quelque chose ce soir-là qui l’a terriblement mis en colère, j’en étais sûre, mais quoi? C’est ça le problème.

Nous sommes lundi aujourd’hui ce qui me reste 1 semaine pour le figurer, car si dans toute une semaine il ne m’a pas adressé la parole, ces sûr que j’ai fait quelque chose.

J’ai décidée de prendre l’autobus ce matin, pas envie de marcher alors qu’il fait -20 dehors, je déteste le froid. Je monte dans l’autobus, et attend que cette pénible journée soit fini.

-alors, t’as passé une bonne soirée finalement, me dit Jamie en prenant ces cahier tout comme moi.

-hum, on peut dire sa comme ça, dis-je en repensent a la super soirée, la meilleure de mon existence.

-oh mon dieu!, me dit-elle en m’agrippant le bras, tu étais avec un gars!

-quoi… non… p… pourquoi tu dis ça? dis-je en reconnaissant ma faiblesse pour les mensonges.

-trop!, aller je veux tous les détails, son nom, ce que vous avez fait et si tu es encore vierge!

Nous marchions pour aller à notre cour quand j’ai vu Damen qui me regardait au loin partit d’un rire, tellement doux, une chance qu’il n’est pas entendu ce que Jamie avait dit, ou peut-être que oui?

-chut! Jamie, mais non pas du tout voyons! Je ne suis pas comme eux, dis-je en pointant les filles d’a coter avec ma tête.

Il y avait trois filles justes à coter de nous, leurs vêtements ne pouvaient même plus être qualifié de vêtement, tellement il était déchirés et décolletés. Les filles étaient beaucoup trop maquillées, ce qui leur faisait paraitre comme un clown.

-ouais tu as raison, mais aller dit! Qui est le chanceux?

-si je te le dis tu te la ferme ok? lui dis-je en l’entrainant vers un coin.

Damen me regardait toujours mais en coin, et il pensait vraiment que je ne le voyais pas? Moi la fille qui l’épiait tous les jours du coin de l’œil, il me sous-estime quand même.

-Damen, dis-je en chuchotant.

-NON!, cria-telle.

Damen avait un vrai sourire plaquer sur le visage, impossible d’y résister, si vous l’aviez vu.

-chut!

-c’est pas vrai, tu te fou de ma gueule!

-pas un mot!, dis-je en entrant dans ma classe de français.

Le cours a été… normal? Exception, je n’ai que penser a Damen, la seul chose que je suis capable intellectuellement de penser en ce moment.

Lui ne fais même plus attention à moi, il passe à coter de moi dans les couloirs et m’ignore totalement. Je suis sûr que je n’ai qu’été une muse pour lui et il a vu que je n’embarquerais pas dans son jeu, donc il s’est enfui.

E je lui en veux pour m’avoir fait de faut espoir, en me tenant la main, en ce collant sur moi…

-tu viens t’asseoir ou quoi? me dit Jessy.

-oh oui, dis-je en m’assoyant.

-alors les amis quelques choses de nouveaux? nous dit à tous Kim.

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