Il est temps, temps que je dévoile enfin tout, que je me rende compte de tout. Que j'ose le dire.
Tu es rentré dans ma vie en avril 2014, et depuis je n'arrive pas à t'en sortir, ce qui est assez douloureux dans un certains sens. Tu hante toujours mes nuits, tu hante chaque partie de mon âme. Depuis toi, j'y arrive pas, j'ai essayé de m'attacher à d'autres personnes, vraiment, j'ai essayé d'aimer comme je t'ai aimé, j'ai essayé de te retrouver, mais c'était impossible, personne ne me connait comme toi tu me connais, tu sais tout mes points faibles, à toi je m'étais dévoilée. Puis tu t'es envolé du jour au lendemain, je me suis retrouvée seule, dans ce monde si terne sans ton rire, sans ta voix sans ton amour. Et je ne savais plus quoi faire, j'ai tourné en rond, je suis allée partout où nous allions ensemble, au pied de cet arbre, sur ce mur où tu m'a abandonnée, dans ce parc ou on s'est revu après près d'un mois loin l'un de l'autre. J'ai tout revécu, dans mes cauchemars dans mes moments de faiblesse où je te voyais, où je voyais ton fantôme partout, dans mon jardin, dans la cuisine, sur mon lit, ton sourire aux lèvres. Je m'écroulais au sol quand je réalisais que tu n'étais que le fruit de mon imagination. Alors j'ai fuit, je me suis mise avec un autre homme espérant que sa m'aiderait à t'oublier, mais sa n'a mener à rien, toutes nos habitudes à toi et moi elles avaient disparue et je me suis retrouvée avec un inconnu, au début sa m'a aidé, mais plus le temps avançait plus je me demandais où tu étais, si je te manquais. Et puis un jour je t'ai vu, avec elle. Et là, mon coeur s'est déchiré un peu plus fort, je n'arrivais plus a respirer, réellement, et les larmes n'ont pu s'empêcher de naître au coin de mes yeux. J'ai étouffé un cris dans mes coussins. En priant pour que sa ne soit qu'une image habituelle, un de tes fantômes, en vain. Depuis ce jour l'idée qu'une autre pose ses mains sur ton visage, qu'une autre se blottisse dans tes bras qui était sensé m'accueillir moi me tue. Je ne peux pas supporter cette image. Mais je ne peux vivre loin de toi non plus alors je préfère en souffrir que d'être loin de toi. Je te pardonne encore et encore et Dieu sait le nombre de fois que tu m'a abandonné, et le nombre de fois ou je t'ai laissé une chance. Alors j'attendrai que mon tour vienne. Car toi comme moi savons qui est la personne de l'autre, qui est la moitié de l'autre et qui sera la le jour du mariage de l'autre.
Je pensais t'avoir perdu à tout jamais, je pensais que plus jamais ton numéro n'apparaitrait sur mon écran. Et pourtant, on ne peut pas rester séparé, peu importe les risques. J'ai besoins de tes bras, j'ai besoins d'entendre ta voix, j'ai besoins d'être au près de toi. Parce que je t'aime et que je n'ai jamais cessé de le faire. Tu n'as pas besoins de prononcer le moindre mot, je te connais comme peu le peuvent. Je sais tout ce que tu pense, peut-être parce que à l'époque tu ne me disais pas ces choses que les filles entendent d'habitude. Mais moi sa m'allait, et je suis heureuse que ai été comme ça entre nous, parce que moi je te connais d'une façon que personne d'autres ne sait. Tu es mon ange, je t'attends. Comme toujours.
Tu n'es pas un premier amour banal, tu es probablement le seul grand amour de ma vie.
A bientôt mon ange.
Ta princesse restée sur le côté.
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Un brin de pensées
RandomParce que parfois de simples mots mit les uns à la suites des autres peuvent créer quelque chose de puissant...