Eldarya-La Fille du feu

10- La transformation

Pdv extérieure

Talya s'écroula d'un seul coup l'Oracle debout devant son corps s'accroupit. Les quelques personnes présentes rester immobile, l'incompréhensions se lisant sur leurs visages. Miko fut la première à bougé, elle s'approcha lentement hésitante.

-Oracle .

Celles-ci se retourna vers Miko et lui sourit tristement, elle s'avança et lui pris les mains comme pour la rassurer. Elle disparus ainsi s'évaporant doucement.

Le corps de Talya fut déplacer dans l'infirmerie, quelques heures après les évènements le corps de Talya commença à changer, inquiètent tout le monde. Plusieurs jours passèrent et la nouvelle se répendit dans tous le QG. Le réveil de l'Oracle, le fragment de cristal disparus, et les changements apparue sur l'humaine suite à ça. Certains furent alors contraint de faire des recherches pour comprendre, d'autres partirent interrogée d'autre peuple.
L'agitation pris le QG pendant quelques temps. Les recherches furent principalement des échecs. L'accès à l'infirmerie fut restreinte, seul Ewelein Miko Leiftan et Valkyon furent autorisée à voir Talya, les changements qui était apparu restant encore un mystère. Ewelein interdit de faire des analyses sur son corps, le temps que son état n'était pas stable.

Pdv Talya

Je sentais mon corps bouillir, mais étrangement je ne souffrait pas, je me sentais comme dans un bucher en feu avec que des flammes autour de moi. Je ne sais combien de temps dura se calvaire, mais j'accueillis son arrêt à bras ouverts. J'enchaînais ensuite les rêves incompréhensible, rêvant de nouveaux à ces terres opale et montagneuses, me voyant grimper et grimper encore.
Je ne revis pas les dragons de mes rêves du moins pas avec leurs splendeurs passé, je ne vis que des étendue de cadavres squelettique, laissant la poussière recouvrir le sol d'un gris fantomatique. Ce cauchemar se répétait sans cesse, me laissant un goût de souffre dans la bouche. Les paroles de l'Oracle me revint en mémoire, ainsi que son geste envers moi. Et si je devenais comme cette femme, assoiffé de chaire.
Je me sentis paniqué du plus profond de mon être des tremblements ramenant mon corps à la vie.

Réveil toi.

Le sursaut me fit ouvrir les yeux. Il ne me fallut pas longtemps pour reconnaître l'infirmerie. J'analysa rapidement les sensations de mon corps, je me sentais courbaturé et la chaleur recouvrait de nouveaux mon corps, j'avais du dormir longtemps car de long ongles allongé mes doigts, alors que je regardais mes mains je fut surprise de trouver des liens me tenir le poignet droit m'empêchant de me lever.

Je portais les mêmes vêtements que quand j'avais perdus connaissance. Les bandages qui recouvrait, avant mon bras gauche avait disparu et mes blessures avec. Une simple palpation au niveau de mon cou m'indiqua que celui-ci avait aussi était enlevait. Mais quelques choses m'interpella je sentis sous mes doigts comme des petites écailles dans l'arrière de mon cou et qui semblait continuer dans mon dos. La panique me prenant il fallait que je me lève, mais les liens m'empêcher de m'éloigner du lit et de m'approcher de la glace près de la porte.
La colère montait en moi un coter de moi ne comprenais pas ces liens, se sentent trahi, d'un autre côté après les explications que j'avais eu je comprenais leur crainte, j'imagine que je devais me sentir heureuse d'être encore en vie. Mais je ne pouvais consentir plus longtemps à être attaché ainsi, même si c'était en vain il fallait que j'essaye. Sautant sur mes pieds, je me tendis sur les pointes de pieds pour attraper un espèce de ciseau posé sur le bureau d'Ewelein tirant ainsi que mon poignet. En moins de temps qu'il en faut pour souffler je me retrouva tête la première la joue contre le sol les fesse en l'air. Je regarda surprise mon poignet qui c'était détacher du lit. Je ne m'attarde pas en réflexion et me dirigea d'un pas rapide vers la glace.
Je du me retenir à une chaise pour ne pas tomber, je restais choqué devant la transformation qu'avait pris mon corps.

*illustration*
Mon visage c'était allongé et mes oreilles c'était allongé en pointe pas aussi grande qu'un elfe mais toute fois plus grande qu'un vampire. Mon visage était aussi plus rougi qu'avant, il me semblait aussi trouver ma peau plus foncé. Je fus de plus surprise quand je vis mes cheveux qui était devenu rubis brillant d'un éclat presque mystique. Prenant une grande inspiration je souleva mes cheveux qui me sembla avoir poussé quelques peu, comme je l'avais pensé des écailles rubis était apparu dans mon cou et descendait jusqu'à mes omoplates formant une espèce de losange dans mon dos.
Je me laissa tomber sur mes genoux choqué par ces changements, j'étais devenu un monstre sans signification. Je ravala mes larmes qui chatouiller ma gorge. Je tourna les yeux vers la fenêtre, on devait être en milieu de journée le soleil était haut dans le ciel dégagé de tout nuage. Je trouva mes chaussures près de mon lit, je les enfila et me dirigea vers la porte, j'hésita quelques minutes mais cela faisais déjà un moment que j'étais réveiller, je ne pouvais attendre plus longtemps sans réponses.
Je poussa lentement la porte passant ma tête dans l'entrebâillement. Personne dans nos hall. Bizarre. Mais pas le temps de réfléchir il me fallait des réponses, d'un pas assurée toute en étant sur mes garde je me dirigea vers la salle de cristal.
Je du m'arrêter quand je vis un garde tourner près de la salle. Je pris peur quand il fit demi tour venant vers moi sans réfléchir dans la première pièce à ma droite. Je resta le dos coller à la porte essayant de respiré le moin fort possible. Je me sentis gêner de réagir aussi bizarrement. Rien de plus suspect qu'une personne qui cherche à se cacher.
Curieuse de nature je ne pus m'empêcher de jeter un petit coup d'il autour de moi. La chambre était sombre les rideaux était fermée ne me permettant pas de bien voir, je cligna quelques fois les yeux et pu alors devinait qu'une personne se trouver non loin de moi, je n'eu pas le temps de devinait qui c'était que l'ombre disparus.
Sentant un frisson parcourir mon dos je m'apprêtais à sortir précipitamment quand une main referma la porte en me plaquant presque à celles-ci.
Une voix sensuel mais dangereuse se fit entendre.

-Je peux vous aider ?