On the road with you (sous contrat Chez ÉDITIONS ADDICTIVES)

Mais tellement merci

Bon...

Je sais c'est stupide de dire ce mot tellement galvaudé, mais j'ai regardé dans le dico j'ai pas trouvé autre chose.

J'ai pas trop réagi sur vos derniers commentaires mais comment vous dire. J'ai dû avoir 300 a 400 notifs en 24 heures. On aurait dit que mon portable était possédé! Je vous dit pas la tête de Cro-mignon et les soupirs genre " ça nous gave ton machin" . Bref.

Et puis ça m'a un peu submergé votre gentillesse, votre fidélité, votre implication. Je me suis trouvée démunie devant tant de chose positive et gentille. Alors j'ai fait ma tortue, planquée dans ma carapace. Ce qui ne veut pas dire que je ne m'en suis pas gavée au-delà du raisonnable de toute ses bonnes choses.

Beaucoup m'ont remercié d'avoir partagé cette histoire. Mais vous plaisantez ? C'est moi qui vous dit merci d'avoir embarqué avec une illustre inconnue. L'écriture est un acte solitaire et isolant. La magie n'opère que quand le partage est la. Parce que quand on regarde bien, c'est une somme de coïncidences d'en arriver là. Il faut assez bien écrire pour que cela ne soit pas pénible à lire, il faut encore que le style plaise, puis que l'histoire vous parle, et enfin faut se trouver au milieu des océans que sont les réseaux sociaux...autant dire que c'est pas une évidence.

Bon allez, stop au 1/4 heure émotion. On se revoit bientôt? Vous pouvez me retrouver sur facebook si le cœur vous en dit. Ou ici bientôt pour de nouvelles aventures.

Ah...dernier point...Merci à Madame Nicole de Buron. Merci d'avoir écrit "c'est qui ce garçon?" "c'est quoi ce petit boulot?" "vas y maman!". Merci madame de m'avoir fait hurler de rire, pleurer et aimer. Merci de m'avoir fait comprendre que la vie "d'une mère de famille" pouvait être aussi intéressante et même plus que celle d'un espion international. Et pardon d'avoir essayé de faire aussi bien que vous...en sachant pertinemment que je n'y arriverai pas!