Une nuit mouvementée. ( Rivamika) <3

Chapitre 4

- J'étais une petite fille , qui souriait beaucoup . Je rigolais à toute sorte de blague que me faisait mon père. Il était si drôle... Ma mère m'avait appris toute sorte de choses, comme écrire, compter ou encore lire . Elle était femme au foyer alors que lui était cultivateur. Nous vivions une vie heureuse , nous étions pas riche mais nous n'étions pas pauvre non plus . On s'avait se débrouiller, mangeant à notre faim . Je vivais dans une petite maison dans un champs . Un jour , le docteur Jäger devait venir nous ausculter , les maladies se propageaient à une vitesse hallucinante . Alors nous avions appelé un ami de mon père . Le père d'Eren . Un toc toc sur la porte  , et trois hommes sont entraient tuant mon père d'un coup de poignard. Ma mère et moi nous nous étions levés , et ma mère s'était dirigé vers les trois hommes pour me protéger. Elle m'avait hurlée dessus de partir . Mais j'étais paralysé. Un homme mit un rapide coup d'hache se qui tua ma mère sur le coup . Ils m'avaient attrapés et mise ko . Je me suis réveillé dans un endroit inconnu, me souvenant que deux hommes parlaient sur moi . Je ne me souviens pas vraiment des mots mais quelques uns ses incrustés dans mon cerveau . " jolie , bon prix, asiatique" . Je pense qu'ils voulaient me vendre pour de l'argent . Mais un coup de porte se fit entendre , je ne pouvais voir car j'étais allongé et ligotée. Mais j'avais entendue des bruits bizarre. Eren était arrivé tuant un malfaiteur devant moi , il hurlait en criant " crève, crève, tu vas plus jamais te relever ! Il me détacha , je pus voir des hommes par terre ou le sang coulait à flot . Il me raconta que son père était le docteur Jäger et qu' Eren l'avait simplement accompagné pour l'auscultation . Je lui avait dit qu'il restait un troisième homme , l'homme en question arriva donnant un coup de pied à Eren , puis le prit par le cou essayant de le tuer . Je m'étais mise début couteau à la main . Eren me disait de tuer l'homme mais j'étais encore une fois paralysé sans pouvoir rien faire . Ma tête tournée et mes jambes tremblaient . A cette instant , ça m'est revenue, s'était pas la première fois , que j'assistais à une scène d'une telle horreur. J'en avait toujours sous les yeux, seulement je faisais semblant de ne pas les voir . Oui , ce monde est cruel . C'est alors que mon corps cessa de trembler et depuis ce jour , je sais me contrôler, j'ai sue que tout était à ma portée. Une pulsion s'était ancrée en moi , me mettant du courage. Alors je planta le couteau dans le coeur de l'homme .
C'est depuis ce jour que j'ai pue contrôler ma peur . Puis les Jäger mon accueillît parmi eux .

Sasha resta muette . C'était une histoire si triste , émouvante. Et la mangeuse de patate ne s'avait pas quoi dire . Mikasa vue que son amie était dans un malaise . Sasha se demandait comment Mikasa pouvait encore avancer même avec çe passé affreux . Quand on voit l'asiatique, on ne se rend pas compte de qu'elle pouvait avoir un vécu de douloureux.

-Mais cette histoire est passée, ne t'en fais pas . Maintenant je m'occupe de mon présent, protégeant les gens que j'aime. Commenta t'elle .

L'asiatique souriait en roulant sur le lit écrasant Sasha , celle-ci rigola et poussa Mikasa . Et cette soirée partie en baston de fille , sur des belles promesses de pomme de terre .

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-Jäger ! Ce n'est pas en rêvassant que la poussière va se nettoyer.

Et encore une fois , Eren se remît à la tâche . Marmonnant quelques jurons envers son supérieur . De l'autre côté de la pièce se trouvait Armin frottant frénétiquement la vitre d'une fenêtre. Armin esquiva Conny qui passait avec la serpillère, Jean lui , passait le balai en ronchonnant. Le caporal scrutait chaques faits et mouvements des recrues. Aujourd'hui , c'était le jour du ménage , chacun étaient habillés exprès. Livaï l'éternel maniaque avait mis sa tenue spéciale , ainsi qu'un foulard cachant sa  bouche . Le caporal-chef détestait quand le QG était dans un mauvais état , çe qui était normal avec toutes les personnes qui y entraient et sortaient. Alors çe fut le jour du ménage, sous les directives du " nabot ". Le caporal et les recrues passèrent de pièce en pièce lavant chaques recoins possibles. Plusieurs soufflés et d'autres marmonnaient dans leurs barbes , jurant sur le Caporal . C'était encore le matin , et Livaï criait déjà donnant des ordres .