Chapitre 3 -

908 38 46
                                    

[ Ceci est un brouillon datant d'il y a plusieurs mois, je ne voulais pas le poster avant, trop de choses a corriger comme l'orthographe, grammaire ect.. Mais je ne l'ai jamais fais.
Alors au lieu de laisser ce chapitre pourrir dans mes brouillons, je le poste, sachant que je ne terminerais sans doute jamais cette histoire.
Encore désolé !]

La lune brillait dans le ciel. Je regardais les étoiles, dans les bras de mon ami.
Ses courts cheveux blancs volaient au vent et les reflets de la lune les rendaient argentés.
Je n'étais pas sortit depuis longtemps, sûrement depuis plusieurs mois.
La chaleur d'un corps humain à proximité était devenue rare tellement j'étais seul.

Je regardais mon porteur. Ses doux yeux bleus n'avaient pas changés, ils étaient toujours aussi brillants et plein de vie.
Son regard dévia en ma direction, je baissa la tête de peur qu'il me lance encore un de ces regards noirs que je redoutais. Je savais qu'ils étaient faux, mais ils me donnait tout de même la chair de poule.
Je les détestais.

Killua: Tu veux marcher?

Son ton parut sérieux. Il allait réellement me faire marcher ?

Killua: Je... Je t'aiderai.

J'acquiesca d'un petit hochement de tête et il me déposa à terre.
Sa main gauche se posa sur ma hanche et l'autre me tenait par le bras. J'avançais, pas à pas, sur l'herbe glacée par la nuit.

Killua: Dis, Gon. Je... Je suis désolé pour tout à l'heure.

Il s'excusait. Encore?
Je lui avait pourtant assuré que c'était de ma faute, pourquoi continuait-il?
Il continuait de me faire avancer, pas à pas.

Killua: Je m'inquiète juste... Regarde-toi. Ton cas s'empire...

Il n'avait pas tort malheureusement. J'étais devenu un jeune enfant brouillé par sa tristesse.
Il n'avait pas tort malheureusement. Mais j'étais devenu trop inexistant à présent, tout le monde avait oublié la personne qui vivait avant.
Une personne nommée Gon Freecs.
Ayant toujours le sourire aux lèvres.

Je le fit m'arrêter, le vent caressait mon visage fin et mes longs cheveux noirs.
Il me tenait debout, attendant un signe de ma part.

Gon: Je prends les responsabilités qui s'en suivent. Alluka et toi formez un beau duo, plus tard je vous rejoindrai. Mais pour l'instant...

Je leva la tête vers le ciel rempli d'étoiles.

Gon: Je dois rester ici.

Killua semblait effectuer un mouvement derrière mon dos, puis s'avisa. Il me reprit dans ses bras et se dirigea vers l'hôpital.
Ma prison, ma douce prison.
Quesque je ferais pour y sortir, la vue de l'énorme bâtiment me rendait anxieux. Killua, interloqué par mon rythme cardiaque qui s'accélérait, me déposa à terre.

Killua: Il faut que tu te tiennes tranquille, je ne vais pas pouvoir atteindre ta chambre​ sinon.

Me tenir tranquille était une bien grande phrase. Le faire, en était une autre.
Une douleur venant de ma cage thoracique me fit tousser, en manque de souffle.

Killua ne savait pas quoi faire. Il paniquait en me secouant.
Quelle mauvaise idée, cela ne faisait qu'empirer mon cas.

Quinze bonnes minutes passèrent ainsi, ma respiration redevint normale et les douleurs disparurent.

Killua: Gon...

Il se stoppa, hésitant. Il hésitait à finir sa phrase.

Killua: Non, je ne préfère plus savoir.

Please save my life again. (En cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant