Chapitre 8

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Trois jours étaient passés depuis la soirée, je n'en revenais toujours pas d'avoir appelé la fille Lorie.
En parlant de Lorie, elle ne me disait plus rien, c'était à peine si elle me regarder mais moi je faisais que ça, me disant que cette fille qui avait vécue des choses  horribles aller être interné.
Ma mère avait réussi à faire d'écrire l'endroit dans lequel elle se trouver. Mais rien ne correspondait à la déscription. L'enquête menée de moins en moins à quelque chose.
Puis un soir alors que j'étais allongé dans mon lit je reçus un appel du chérif.

- Allô ?
- Max, c'est le chérif, nous avons enfin trouver l'endroit où Lorie à était retenu. 
- Vous avez trouver d'autre personne ?
- Non, mais il y a plusieurs cellule qui montre que des personnes vivent dedans, je pense qu'ils ont déplacés les autres, mais une chose est sûr c'est qu'il se passe vraiment quelque chose de bizarre.

Je raccroché avec le chérif et me lever précipitamment de mon lit. Je courrus  jusqu'à la chambre de ma mère et entra sans toquer.

- Maman, ils ont trouvé l'endroit où était retenu Lorie.
- Max tu pourrais toquer quand même !
- Désolé maman, mais il ont trouvé, le chérif vient de m'appelé.
- Je sais, il ma envoyer un message, mais tu peut me dire pourquoi il t'appelle toi ?
- Parce que.... Je l'ai supplié de me dire si il trouver quelque chose, maman je veux aidé Lorie.

Ma mère se leva de son lit, sa robe de nuit retombée sur ses genoux. Elle s'approcha doucement de moi.

- Max, euh... Lorie va être interné dans une semaine. Me dit elle doucement.
- Quoi ?! Mais elle se sent mieux maintenant, elle parle et....
- Elle a fait une tentative de suicide Max, heureusement que j'étais là pour l'arrêté.

Une tentative de suicide ? Mais pourquoi ?  Elle était sortit de cette enfer et maintenant elle voulait tout arrêté sa n'avait pas de sens.
Ma mère posa sa main dans mon dos et  m'entraina jusque dans ma chambre. Elle s'assit sur le bord du lit et je fis de même à ses côtés.

- Tu sais Max, Lorie parle et essaye de s'en sortir, mais il ne faut surtout pas oublier le faite qu'elle à vécue des choses horrible et effroyable, des choses dont la plupart des personnes n'aurait sûrement pas survécu. Elle à souffert pendant quinze ans et je suis sûr qu'elle a pensée au suicide pendant des années et des années et maintenant qu'elle en avait l'occasion elle a voulus tout arrêté pour retiré ses souvenirs de sa tête. Les blessures extérieur guérisse Max mais ce de l'intérieur ne disparaisse pas ont apprend à vivre avec mais quand elle sont trop lourde à porter on veut toute arrêté. 
- Mais, je lui est dit que j'allais l'aider.
- Je suis sûr qu'elle à comprit le message mais va tu l'aider à éffacer tout ses souvenirs, va tu l'aider à marcher dans la rue sans que personne ne la regarde en chuchotant, va tu l'aider à trouvé une famille et à reconstruire sa vie ?
- Oui je peux !
- Max tu peut l'aider à se sentir un peu mieux en enfermant les gens qui lui ont fait ça mais tu ne peux pas l'aider à refermer ses blessures si elle même ne souhaite pas les refermés.
- Pourquoi elle voudrait pas ? Demandais-je perplexe.
- Car on ne décide pas du jour au lendemain de tous les refermés, elle les referme petit à petit mais c'est pas sûr qu'elle sache faire le deuil sur son enfance voler et sur toute les blessures qu'elle à pus subir.

Je regarder ma mère qui avait l'air profondément triste par la situation de Lorie.
Lorie était devenue de plus en plus belle et elle parler, elle me raconter ce qui lui était arrivé sûrement pour que je l'aide à refermé ses blessures qui la ronge au fond d'elle.
Je me lavais de mon lit et me dirigea vers la chambre de Lorie. J'ouvris doucement la porte et la vis allongé dans le noir, elle ne dormait pas.
Je m'accroupie à côté de son lit au niveau de sa poitrine.

- Lorie, je vais t'aider à guérir tes blessures intérieur, je te le promet mais n'essaye plus jamais dans finir, c'est la pire des solutions.

Elle ne me répondait pas.

- Tu es devenue tres belle. Dis je doucement. Je suis sûr qu'un jour tu me sourira et que l'on rigoler ensemble de tout ça.
- Sourire?  Je croit que sa ne m'est  jamais arriver Max, apprend moi à sourire.

Je la regardé me chuchoter cette quelque phrase tout en s'endormant.
Je me redréssé et quitter sa chambre, je retourna dans la mienne qui était maintenant vide et m'allonger dans mon lit pour m'endormir profondément. Je te promet Lorie, je vais t'apprendre à sourire

15 ANSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant