Chapitre 17

4.8K 401 24
                                    

La valise à la main debout dans cette énorme bâtiment qu'est l'aéroport. Ma mère et Lorie était derrière moi à me regarder. Je savais très bien que je pouvais laisser Lorie maintenant que ceux qui lui avait fait ça était parti en prison, elle ne risquer plus rien.
Une voix résonné dans l'aéroport informant que mon vole aller bientôt partir.
J'enlaçais ma mère tellement fort que j'allais l'étouffer.
Et Lorie je l'enlaçais tout en lui chuchotant.

- Prend soin de toi, je reviens très vite.

Je lui déposa un petite bisous sur la joue ainsi que sur celle de ma mère et partit sans même me retourner, le départ était déjà assez difficile comme ça.
Une fois assis dans l'avion, je regardé par le hublot. Je n'avais pas envie de partir, j'avais envie de rester chez moi et de surprotéger Lorie encore et encore, mais ma mère avait raison, un jour un homme la touchera et l'embrassera... Je sais très bien que je ne réagirais pas bien à ce moment là, il fallait que je parte pour réfléchir à tout ça. L'avion décolla et la seul chose que je pouvais faire pour me calmer était de dormir un peu.

L'avion se posa enfin sur les terres de l'Europe et surtout de la France. Ma tante vient me chercher en voiture et on aller chez elle, sur la route nous discutions.

- Alors qu'es ce qui ta pousser à venir en France Max ? Me demande ma tante.
- Une histoire longue et compliqué.
- Nous avons deux semaines tranquille toi et moi, tu peut me raconter si tu veux.
- Maman à dû te parler que Lorie, la jeune fille retrouvé venait à la maison ?
- Euh... Oh oui, elle était très nerveuse.
- Oui, bah elle est toujours à la maison, quand elle est arrivé, elle ne parlait à personne puis elle ma sortit une phrase alors que j'avais fait peur à la femme de ménage, "les blessures ne se réparent pas avec des excuses." un truc comme ça, puis elle à commencer à me parler plus souvent, puis à parler au autre, nous somme vite devenu ami et une nuit alors que j'étais... enfin avec une fille, j'ai dit le nom de Lorie au lieu de la fille. Maintenant je me rend compte que je ne voit plus Lorie comme la fille kidnappé il y a quinze ans mais comme une fille tout à fait normal qui à vécue beaucoup de chose. Je la surprotège et la dernière fois j'ai regarder ses fesses, c'était très bizarre, alors je suis venue ici deux semaines pour pas que mes sentiments... Augmente.
-Hmm... Effectivement, c'est une histoire bien compliqué, mais tu sais Max, si tu as des sentiments pour Lorie, que tu vienne ici deux semaines, un mois, un an tu aura toujours des sentiments pour elle, sa ne sert à rien de te voilé la face.
- Je ne sais pas, on verra bien.

Nous arrivions enfin chez ma tante, je montais ma valise et la posa sur le lit avant de redescendre pour aider ma tante à faire le repas du midi.

J'avais l'impression qu'être loin de chez moi faisais passer les journées plus longue qu'elle ne l'était déjà.

○○○

Je me promené dans les rues de France. C'était tellement beau comme pays, j'étais sûr que Lorie aimerais un jour y aller.
Il fallait que j'arrête de penser à elle.
Mais pourtant j'avais l'impression de voir son visage partout.

- Salut beau brun.

Je regardé qui me parlé, c'était une fille de mon âge à peut près.

- Salut.
- Jolie l'accent tu vient d'où ?
- L'Amérique et je crois que même si je pars je ne pense qu'à elle.
- À qui ?
- Tu pose trop de question pour une fille que je ne connais pas.
- En vrai je connais ta tante.
- Et comment tu sais que c'est ma tante ?
- Elle était toute contente de ta venue elle m'avait montrer une photo de toi et je t'ai reconnu, moi c'est Julie.
- Max, mais je pari que tu le sais déjà ?
- Effectivement.

Julie rigola à ma remarque. On continuer alors de discuter tout les deux en marchant pour apprendre à se connaître.

- Tu connais ma tante depuis longtemps ? 
- Bientôt deux ans, je l'ai rencontrer au feux d'artifice du quatorze juillet.
- Dans cinq moi sa fera deux ans.
- Oui, ta tante est vraiment super gentil et belle elle a l'air d'avoir vingt ans.
- Je vais t'avouer un secret, en vrai elle en à quarante.

Julie rigola son rire était hypnotiseur et contagieux.
Arriver devant chez ma tante, je l'invita à rentrer et elle accepta.

- Jane j'ai une invité que tu connais.

Ma tante sortit du salon et quand t-elle vis Julie, elle la serra dans ses bras.

- Je vois que vous vous avez fait connaissance. Dit-elle.
- Oui, nous nous somme rencontrer par hasard près du parc pour chien, je l'ai reconnu grâce au photo que tu m'a montré. Dit Julie.
- Il plus beau en vrai hein ?
- Il es pas mal, mais tu ma montrer toute ta faille et ils sont tous pas mal, tu pourrais me présenté des célibataire.
- Ah, et bien pas Max, car ce beau garçon à déjà une fille en tête.
- Elle est belle ?

Je sortit mon téléphone de ma poche, j'avais des photos de Lorie et moi à la plage. Je montrer l'une d'entre elle à Julie.

- Elle est tellement belle.
- Oui, je trouve aussi. Dis-je.

Ma tante pris mon téléphone des mains et examina la photo.

- Tu m'avait pas dit qu'elle était aussi belle.
- Tu me l'a pas demandé.
- Mais qu'es ce que tu fais la jeune homme? Va la rejoindre et embrasse là.
- J'aimerais, mais j'oserais jamais toucher à cette fille, il faut que j'oublie ce que je ressent pour elle.
- Max, on ne se connaît pas vraiment et je ne connais pas cette fille non plus, mais je suis sûr que si tu la soutient depuis que la connais et que tu prend soin d'elle, elle ressent quelque chose pour toi.

Je regarder Julie dans les yeux, j'aimerais pensé comme elle, mais j'avais vraiment peur de la toucher.

- À vrai dire on c'est déjà embrassé.
- Mais ça non plus tu nous l'avez pas dit.
- Elle voulais apprendre l'amour alors je lui es montrer une partie.
- Montre lui le cent pour cent de l'amour.
- C'est facile à dire, mais je n'ai pas le courage.

Ma tante se mis à réfléchir puis de posa devant moi les mains sur mes épaules.

- Écoute moi bien, tu veux du courage ? Alors dit toi, que si tu n'ose rien, un autre osera et ta chance sera terminé.
- Sa va faire bientôt une semaine que je suis partir, peut être qu'elle à déjà trouvé quelqu'un.
- Et moi je suis sûr qu'elle pense à toi. Dit Julie en souriant.
- Vous avez raison, je rentre à la maison dès demain soir.

Même si je n'avais pas le courage de lui révélé tout, je rester quand meme près d'elle et c'était le principal.

15 ANSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant