PDV Lou
Les cours ont repris depuis une vingtaine de minutes, cependant, je suis toujours dans les toilettes, à pleurer sur mon sort. Je m'étais attachée, maintenant, c'est sûr, plus jamais je ne tomberais amoureuse, j'aurai trop peur que ce ne soit à nouveau un stupide pari. Je me décide à rentrer chez moi, de toute façon, je n'aurai pas la force de me tenir en face de lui, pas maintenant. Rentrée chez moi, je monte dans ma chambre en faisant un détour dans la cuisine, n'ayant pas manger à midi, j'ai une petite faim. Je prends mes céréales et monte. J'appellerai les filles pour leurs expliquer pourquoi je suis repartie après, maintenant, je vais dormir. Je me glisse sous la couette et tombe dans les bras de morphee quelques minutes plus tard.
ELLIPSE 4 HEURES
Je suis réveillée par l'arrivée de ma mère, je regarde mon réveil, ouah ! Il est déjà 19 heures 30, j'ai dormis 4 heures. Ma mère monte voir ou je suis, elle à sans doute vu mon sac en bas. J'entends ses pas et elle ouvre la porte.
" Lou ? Tu es rentrée ? Tu es malade ?
- Oui, je ne me sens pas très bien je suis rentrée y'a environ 4 bonnes heures.
- D' accord repose toi bien alors, je viendrais te chercher quand nous mangerons si tu vas mieux.
- Merci beaucoup maman.
Je me décide a appeler olivia.
Conversation téléphonique :
" Allo ? Ça va ma belle ? Pourquoi tu es rentrée cet aprem sans prévenir ?
- Non, pas trop et je suis rentrée parce que pendant ma discussions avec Simon, il m'a dit pourquoi il était sorti avec moi.
- Attends, laisse moi deviner, un pari ?
- Comment tu sais ?
- j'ai entendu dans les couloirs qu'un des popus avait fait un pari pour sortir avec une fille mais je pensaisque c'était Tyler, quand il était avec Anna, je l'ai vu au centre commercial avec une blonde.
- Et non ! C'était moi et Simon, je me suis faite avoir par le seul gars qui m'aimait, enfin je croyais"
Mes larmes commençaient à couler, je ne me sentais vraiment pas bien.
" Pleure pas mon coeur, tu veux venir dormir à la maison?
- Je ne peux pas, j'ai dit à ma mère que j'étais malade.
- okay, si tu veux, j'appelle Maya et Elsa et je leurs explique comme ça, tu n'auras pas à expliquer cette histoire plusieurs fois...
- si tu veux, merci oliv...
- de rien, repose toi bien, si tu veux parler, tu m'appelle hein ?
- oui, merci d'être lá...
- je suis ta meilleure amie, je sers à ça non?"
Je laisse échapper un petit rire, je ne sais pas comment je ferai sans elle.
" non, tu sers pas que à ça. Bisous bisous a demain.
- oui a demain"
Après cet appel réconfortant, je décide de sortir, il y'a un parc derrière pas loin de chez moi avec quelques balançoire et deux, trois bancs, je l'aime beaucoup, petite, je m'y rendait souvent pour jouer avec mes amies du primaire. Je n'en vois pratiquement plus aucunes, nous nous sommes toutes éloignées. C'est cela donc j'ai peur, de perdre mes amies de maintenant, oliv, elsa et maya...je me demande que serai ma vie sans elles trois. Je descends et informe ma mère que je sors dehors pour prendre l'air.Je ne me remet pas de cette nouvelle, un pari ? Avec lui ? Lui qui pourtant mr rendait si heureuse ? Si comblée ? Certes, je n'ai que seize ans mais je me sentais bien avec lui, avec lui, chaque jour était beau. Je n'aurais jamais imaginer une seule seconde qu'il puisse jouer avec moi, nous étions si fusionnel.
Alors que je suis sur un banc à observer le couché de soleil qui est en passant, magnifique, je vois un chien courrir dans tous les sens, dès qu'il m'aperçois, il vient dans ma direction. Je me lève alors et le caresse quand il est à ma hauteur. D'un coup j'entend une voix :
" Toi ? Tu touches mon chien ? Lorsque je me retourne, je le reconnaît, le nouveau. Oh non ! Pas lui.
- Calme toi, il est venu vers moi c'est tout.
- Jazz lâcha t'il sèchement.
- Quoi ?
- il s'appelle jazz.
- okay alors ton chien, jazz, est venu vers moi, j'ai rien demandé alors pars et laisse moi tranquille.
- oh mais c'est que elle à du caractère la petite, pourtant, ce matin, on aurait pas dit vu comment tu pleurais comme une gamine, c'était trop drôle."
Et lá, de suite je blemit, comment pouvais t-il rire du malheur des autres ? En tout cas, je le savais il y'avais surtoutune bande de garçon à éviter. Les populaires. Je reprit :
" Pousse- toi. Je me barre.
- c'est ça, dégage gamine."
En partant, je lâchait un léger "connard", j'ai pensé un instant qu'il n'avait pas entendu mais d'un coup, il me prit par le cou et me plaqua au mur.
" Ne m'insulte jamais, tu sais pas à qui tu parles alors maintenant vas chialer dans ton coin et revient pas, salope.
- Lâche moi tu me fais mal.
- dégage.
Je partis, en pensant à tout ce qu'il venait de me dire, ce mec était vraiment sans coeur, comme sans doute tous ces amis. Je rentrais chez moi et me dirige dans ma chambre pour passer une bonne nuit de repos. Même le jour de la reprise, j'arrive à m'attirer des ennuis. Une bonne nuit me fera du bien.
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Leur pari
Teen FictionLou, 16 ans, évite les garçons plus que tout Mais un jour, tout va changer, un pari qui va la faire changer d'avis...